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Actualités - Page 9

  • CGT Airbus Toulouse - RASSEMBLONS-NOUS !

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    Faisant suite aux annonces de suppression d’emplois, nous vous communiquons la déclaration CGT qui sera lue cet après-midi en CSE-C. La CGT refuse que l’industrie aéronautique et l’emploi soient sacrifiés.
    Aujourd'hui, jeudi 2 juillet, une réunion d’information syndicale est organisée au M90 à 11h par FO, CFE-CGC et CFTC. La CGT demandera à s’exprimer à cette occasion car nous souhaitons organiser la riposte à ces annonces dans l’unité de tous les syndicats présents dans Airbus. Nous vous invitons à nous rejoindre sur place et d’ors et déjà à réserver le 9 juillet à 12h pour participer au rassemblement du secteur aéronautique proposé par la CGT au Rd point Dewoitine (Arrêt Tram 2 Nadot).

     

    DECLARATION CSE-C JEUDI 2 JUILLET

    NON AUX SUPPRESSIONS D’EMPLOI

    AIRBUS casse l’emploi et met en danger toute la filière aéronautique

    10 ans de carnet de commande, 7600 avions à construire, un plan de soutien à la filière de 15 milliards et pourtant AIRBUS veut dégager plus de 17 000 salariés (15 000 dans l’aviation commerciale et 2600 dans la défense et l’espace) !

    Déjà des centaines d’intérimaires au niveau d’Airbus et des milliers de salariés au niveau de la filière ont perdu leur emploi. C’est un très mauvais signal envoyé par Airbus qui va déclencher par effet domino restructurations et licenciements dans toute la filière.

    Derrière chaque emploi, il y a un savoir-faire. La casse des emplois est une catastrophe sociale mais aussi industrielle. Certes il y a une baisse d’activité pendant une période dont personne ne peut prédire la durée, mais celle-ci devrait être compensée par du chômage partiel longue durée rémunéré à 100% ou du partage du temps de travail sans perte de salaire pour maintenir l’emploi. C’est ce qui permettrait de maintenir les capacités de la filière pour faire face lors de la reprise d’activité sans accentuer la pression sur les salariés ou à repartir dans une politique de délocalisation inacceptable. Et que dire des risques pris sur la qualité des produits si des savoir-faire sont perdus.

    La CGT propose que les départs de salariés en retraite anticipée soient tous compensés par des embauches. Ainsi Airbus contribuerait à répondre aux attentes des jeunes de tous niveaux de qualification et profiterait de la période de baisse de charge pour les former.

    Un plan de soutien sans contrepartie

    Le plan de soutien à la filière consacre plus de 10 milliards aux compagnies aériennes pour limiter les retards dans les livraisons. Mais avant de mesurer les impacts positifs, Airbus profite de la situation pour massacrer l’emploi dans sa volonté de rassurer le « marché » des spéculateurs boursiers. Voilà ce qui arrive quand le gouvernement refuse de mettre des contreparties aux aides publiques.

    Une partie du plan de soutien est consacrée à l’innovation pour réduire l’impact de l’aviation sur l’environnement. Là encore, pas de contreparties demandées par le gouvernement. On peut légitimement craindre que cet argent permette aux donneurs d’ordre comme Airbus d’économiser sur les investissements autofinancés dans la R&D. Pourtant, il est de la responsabilité d’Airbus, notamment, de prendre sa part dans une aviation bas carbone. 

    Pendant deux décennies, Airbus a engrangé des bénéfices considérables mais essentiellement dilapidés dans la rétribution des actionnaires par le biais des dividendes et des opérations de rachat / destruction d’actions. Les salariés ont déjà payé un lourd tribut à la crise sanitaire (congés forcés, rattrapage d’heures, activité partielle...). Mais là encore, les accords signés l’ont été sans contraintes notamment pour protéger l’emploi.

    Airbus est en train de transformer une crise conjoncturelle en crise structurelle. Il faut empêcher le massacre de cette filière en commençant par interdire les licenciements et les externalisations d’activités ou de cessions de sites.

    La CGT est favorable à une riposte à ces annonces dans l’unité de tous les syndicats présents dans Airbus.

    La CGT demande au gouvernement (l’Etat est actionnaire et est pourvoyeur de fonds pour la filière) d’agir au plus vite pour stopper ces décisions qui auraient des impacts sociaux, industriels et économiques catastrophiques.

    Pour refuser la casse d'un pan industriel stratégique pour la France et pour l’Europe, la CGT appelle les salariés d’Airbus et de toute la filière à se mobiliser en se rapprochant des organisations CGT au sein de leur entreprise ou de leur territoire.

    Declaration CSE-C jeudi 2 juillet 2020.pdf Declaration CSE-C jeudi 2 juillet 2020

  • Aéronautique, secteurs privé et public, fonctions publiques Pas question d'accepter le massacre annoncé de l'emploi !!

     

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    Jeudi 2 juillet, à partir de 18 Heures à la Bourse du travail de Toulouse

    Grand Meeting pour l'emploi, les salaires et la réduction du temps de travail,

    pour la dignité et une vie meilleure pour toutes et tous !!!

     

    Meeting avec les prises de paroles de tous les  secteurs: Aéronautique ( Airbus et sous traitance, Air France, Aéroport) , des sociétés d'études, des commerces et services, de l'hôpital, de la construction, des services publics .....

     

    Tout le monde à la Bourse du travail pour préparer la riposte et la Gagne !!

     

  • Coordination CGT Aéronautique - Adresse aux salariés de la filière aéronautique en Occitanie

     

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    Imposer d’autres choix pour l’avenir de nos emplois et de notre territoire, c’est possible et légitime ! La CGT appelle les salariés de la filière AERO, du plus petit sous-traitant au plus gros donneur d’ordre à prendre toute leur place dans cette démarche démocratique sous toutes ses formes, en s’inscrivant dans le débat et en se joignant à tous les mouvements de mobilisations coordonnées de la filière pour GAGNER! Afin d’apporter des perspectives d’action coordonnée à cette démarche la CGT appelle l’ensemble des salariés de toutes les entreprises de la filière, et à tous les salariés, privés d’emploi, étudiants, retraités de tous les territoires à s’engager avec conviction et détermination dans: la première JOURNÉE RÉGIONALE D’ACTION organisée partout dans les territoires le jeudi 9 juillet 2020.

     

    Parmi  tous  les  secteurs  touchés,  la  pandémie frappe   deux   piliers   de   l’économie   régionale : l’aéronautique et le tourisme.

    L’aéronautique,  c’est  110 000  emplois  directs constituant le 1er employeur privé dans plusieurs départements. Tout en n’ayant cessé d’alerter sur   les   risques   d’une   économie   dépendante d’une mono industrie, la CGT appelle les salariés à ne pas céder aux discours fatalistes sur le déclin qui  conduirait  au  paradoxe  de  la  région  la  plus épargnée   par   la   crise   sanitaire   mais   la   plus impactée par la crise économique !

    Dans ce cadre, la CGT, 1re organisation syndicale représentative de la Région Occitanie a décidé de s’adresser solennellement à l’ensemble des salariés de la filière, du plus petit sous-traitant au plus grand donneur d’ordre.

    Cette  adresse  de  la  CGT  est  fondée  sur  la conviction  et  la  détermination  que  de  réelles perspectives économiques et sociales sont possibles et  légitimes.  Pour  cela,  la  CGT  a  considéré nécessaire    et    indispensable    d’apporter    les éléments d’analyse et des propositions concrètes à l’ensemble des salariés directement concernés mais  également,  pour  tous  les  emplois  induits. Notre volonté est d’ouvrir le débat démocratique partout  sur  les  lieux  de  travail,  les  territoires en vue de la construire la mobilisation gagnante!

    Téléchargez notre document de synthèse (4 pages) et mobilisons-nous toutes et tous ensemble le 9 juillet pour nos emplois :

    Adresse aux salariés de la filière aéronautique en Occitanie

     

     

  • CGT AKKA - Pas question d'accepter le massacre annoncé de l'emploi !!

    ACTION DU 2 JUILLET

    Jeudi 2 juillet, à partir de 18 Heure à la Bourse du travail de Toulouse!
    Grand Meeting CGT pour l'emploi, les salaires et la réduction du temps de travail,
    pour la dignité et une vie meilleure pour toutes et tous !!!

    Meeting avec les prises de paroles de tous les secteurs: Aéronautique ( Airbus et sous traitance, Air France, Aéroport) , des sociétés d'études, des commerces et services, de l'hôpital, de la construction, des services publics .....

    Tout le monde à la Bourse du travail pour préparer la riposte et la Gagne !!

     

    ACTION DU 9 JUILLET

    Manifestation pour l'Aéronautique et l'emploi dans tous les secteurs privés et publics dès le 9 juillet à Blagnac à 12 heures (départ rond point Dewoitine )

     

    https://www.facebook.com/495121820666279/posts/1574735912704859/

     

  • CGT AKKA - Autre archive de la gestion des crises par AKKA...

    Source : https://blogs.mediapart.fr/nicolas-sene/blog/181111/la-douteuse-gestion-de-la-crise-dakka-technologies

    La douteuse gestion de la crise d'Akka Technologie

     

    Akka Technologies rejoint Groupe Open dans le grand bal des faux-cul de la gestion de la crise. La société de services lyonnaise est ainsi soupçonnée d'avoir maquillé un plan social en utilisant ses salariés comme variable d'ajustement. Dans le même temps, elle commence à revenir sur les acquis sociaux des salariés d'Aéroconseil qu'elle a avalé cet été.

    En pleine crise, Akka Technologies a su ménager ses actionnaires et la fortune personnelle de son patron, Maurice Ricci (à lire ici). La Tribune de Lyon lève une partie du mystère qui explique désormais l'insolente santé boursière de la société de services informatique : "Pendant la crise du secteur automobile en 2009, plusieurs consultants d'Akka Technologies se sont retrouvés sans mission. Plutôt que de payer ces salariés à ne rien faire, le groupe a procédé à des licenciements sous des motifs personnels bidons comme, par exemple, des problèmes de comportement. Le but est d'éviter la mise en place d'un plan de sauvegarde de l'emploi plus long à mettre en place et plus couteux"raconte Fabien Rouméas à La Tribune de Lyon.

    Fabien Rouméas est avocat et il défend une vingtaine de salariés d'Akka Technologies qui ont poursuivi le groupe aux prud'hommes de Lyon. Le tribunal a d'abord estimé qu'il y avait bien fraude au "licenciement économique" et condamné Akka Technologies "à indemniser quatre premiers plaignants à hauteur de douze mois de salaire", poursuit le magazine lyonnais. Akka Technologies n'a pas fait appel et hier quinze autres cas similaires devaient être jugés.

    Le bon filon des départs volontaires

    La manœuvre est désormais connu depuis que Groupe Open, la société de Guy Mamou-Mani le patron du syndicat professionnel du secteur (à lire ici), a usé du procédé. Pendant la crise les effectifs ont fondu et dès que l'activité est repartie, voilà le patron en manque de main d’œuvre. A écouter les directions, ce ne sont que des départs volontaires ou, dans le cas d'Akka, des arguments fumeux autour du comportement de ses subordonnés qui étaient en intercontrat (la période de latence entre deux missions).

    Ces départs qui semblent avoir été forcés ont évité de mettre en place des plans de sauvegarde de l'emploi (PSE), des plans sociaux qui exige des règles précises de prise en charge des salariés. L'inconvénient, l'opération est longue et coûteuse et nos professionnels du flux tendu ont bien d'autres soucis à gérer, comme celui de rassurer leurs actionnaires.

  • CGT AKKA - Rappel...Comment AKKA s'est fait condamner pour ses licenciements abusifs lors de la crise du secteur automobile en 2009...

    AKKA Technologies à nouveau épinglé pour sa gestion du personnel. Le groupe d’ingénierie lyonnais, dirigé par Maurice Ricci, a été condamné par le conseil des prud’hommes de Lyon pour le licenciement, en mars 2009, de dix de ses consultants « sans cause réelle et sérieuse ». Dans la quasi-totalité des cas, les motifs invoqués sont identiques : les ex-collaborateurs étaient jugés « peu ouverts » et « proactifs », ne manifestant pas le « comportement professionnel » attendu par le groupe. « Ces licenciements effectués au cours de la même période comportent la même motivation, ce qui rend le caractère personnel de ces licenciements sans réalité », considère le conseil, qui condamne Akka Technologies (1) à verser, au total, 120 000 euros de dommages et intérêts à ses ex-salariés. 

    FAUX MOTIFS A la différence d’une première condamnation en avril dernier portant sur six autres cas, les juges n’ont cette fois pas requalifié les ruptures de contrats en « licenciement économiques ». « Pour l’essentiel, mes clients étaient des cadres affectés par Akka Technologies auprès de différents entreprises. Pendant la crise du secteur automobile en 2009, plusieurs consultants se sont retrouvés sans mission. Plutôt que de payer ses salariés à ne rien faire, le groupe a procédé à des licenciements avec de faux motifs personnels », commente l’avocat des salariés, Me Fabien Rouméas qui va demander en appel la requalification des faits. « Avec les mêmes dossiers, le premier jugement a retenu le motif économique, et Akka Tchnologies n’a pas fait appel », poursuit l’avocat. En invoquant des motifs personnels, le groupe coté en bourse a évité les coûts financier et la mauvaise presse d’un plan social, tout en pouvant cibler les départs. Un choix assumé : lors d’un comité de groupe en 2009, la direction d’Akka a déclaré avoir « conscience » du risque d’un reclassement des renvoies en licenciement économique. Et fait part de son intention de « défendre sa position (devant les prud’hommes) en cas de litige ». Le jugement en appel est prévu dans quelques mois.

     

    (1) Le groupe et son avocat ne souhaitent pas s’exprimer.

     

    Vincent Lonchampt

     

    Source: https://tribunedelyon.fr/2012/03/05/akka-technologies-encore-condamne-par-les-prudhommes/

    Akka Technologies encore condamné par les prud’hommes

  • Des avions, des hommes et des femmes, quel futur pour l'aéronautique à Toulouse

     

     

     

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    Débat Mardi 16 juin à 20 h 30 au Bijou, 123, avenue de Muret débat public autour du futur de l’aéronautique à Toulouse animé par Gaël Cérez, journaliste à Médiacités.

    La CGT Airbus participera au débat . Nous y présenterons les premiers résultats de l’enquête lancée par la coordination Aéronautique, enquête à laquelle vous pouvez encore répondre jusqu’au 18 juin (>>> Accès à l’enquête en ligne <<< ).

    Les règles en vigueur concernant le déconfinement partiel limitent à 60 participants sur place avec port de masque obligatoire ; une transmission en direct du débat par TV Bruits a donc été organisée.

    Pour le suivre se connecter sur : http://tvbruits.org/

    Suite aux nombreux articles rédigés, par différentes associations, des collectifs de chercheurs, des syndicalistes et alors que le gouvernement a dévoilé son plan aéronautique, nous souhaitons mettre en commun, nos analyses et nos différentes propositions. Ce débat public a pour objet un échange des points de vue sur les conséquences et les perspectives de la crise actuelle du transport aérien sur le tissu industriel toulousain. Participeront au débat :

    • Gabriel Colletis, en tant que représentant du MAI (Manifeste pour l’Industrie)
    • Maxime Léonard pour La coordination CGT de l’aéronautique
    • Vincent Salles syndicaliste à Air France
    • Chantal Demandeer présidente du CCNAAT (Collectif Contre les Nuisances Aériennes de l’Agglomération Toulousaine)
    • Madeleine d’Arrentières représentante des signataires le la tribune publiée dans Le Monde par les jeunes ingénieurs ISAE-Supaéro
    • Un représentant de l’Atécopol (ATelier d’ÉCOlogie POLitique)

    Organisé en partenariat avec la Fondation Copernic, Attac-Toulouse et l’Université populaire de Toulouse.

    La CGT Airbus Commercial Toulouse

  • CGT AKKA - Flash CSE du 1er JUIN 2020

    Télécharger le Flash CSE de la CGT AKKA du 1er juin 2020

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  • Rapport d'enquête CGT “Le travail sous épidémie” : 100 questions, 34 000 réponses, et 60 propositions pour sortir de la crise

    L’Ugict-CGT publie un rapport d’enquête qui offre un panorama complet et inédit sur les conditions de travail et d’exercice de la responsabilité professionnelle durant le confinement, et 60 propositions pour sortir durablement et rapidement de la crise sanitaire, sociale, économique et environnementale.

    [Lire le communiqué]

     

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  • CGT AKKA - Déclaration de la Coordination CGT de l'Aéronautique : lancement de l'enquête pour refonder la filière aéronautique

    Cher-e-s collègues,

     

    La crise Covid-19 est une crise sans précédent depuis la 2ème guerre mondiale. Elle affecte profondément les économies. Des acteurs mondiaux comme Airbus, dont l’activité dépend principalement du trafic aérien, n’y échappent pas.

     

    Alors que la production est réduite, le vieux réflexe serait licenciements et plans de compétitivités en rognant sur les salaires et les conditions de travail. Nous pensons que d’autres solutions sont possibles. Les salarié-e-s ne doivent pas payer la crise, au contraire, les salarié-e-s sont la solution pour sortir par le haut de la crise.

     

    Forts de nos expertises individuelles et collectives, nous mettons en œuvre nos savoir-faire chaque jour au sein de nos entreprises de l’aéronautique.

     

    C’est pourquoi nous vous proposons ici de répondre à une enquête afin de recueillir votre vision et vos idées quant aux perspectives possibles pour refonder la filière aéronautique, la mettre au service de l’humain et construire un après démocratique, écologique et social dans la société comme dans les entreprises.

     

    >>> Accès à l’enquête en ligne <<<

     

    Date limite pour saisir votre contribution : le 8 juin 2020 au plus tard.

     

    Vous trouverez dans le document joint la déclaration de la coordination CGT de l’aéronautique* relatif au lancement de cette enquête.

    Afin que cette enquête soit diffusée et répondue largement, nous vous encourageons à transmettre ce message aux personnes avec lesquelles vous travaillez.

     

    Pour toute question, merci d’écrire à enquete.aero@laposte.net

     

    Comptant vivement sur votre contribution,

     

    La coordination CGT de l’aéronautique*

     

    ---

     

    * La coordination CGT de l’aéronautique regroupe les syndicats CGT des entreprises suivantes :

    AIRBUS, CAPGEMINI, ALTRAN, AKKA, SOPRA STERIA, EXPLEO, ALTEN, CELAD, AUSY, ADP, MODIS, GFI, LATECOERE, MECAHERS, SOCATA DAHER, LABINAL, RATIER-FIGEAC, SAFRAN ENGINEERING SERVICES

     

    Télécharger notre communiqué : Déclaration de la Coordination CGT de l'Aéronautique

  • CGT AKKA - Nouvelle publication sur FB - Négociation accord Télétravail à AKKA High Tech

    Retrouver cette publication sur la page FB de la @CGTAKKA

     

    Mardi 19/05 9h45-12h30 : 2ème réunion de négociation d'un accord de Télétravail à AKKA High Tech.
    La Direction voulait initialement faire un copier/coller de l'accord Télétravail de l'UES AKKA France. La CGT AKKA a demandé d'améliorer cet accord en prenant en compte les retours du terrain de l'accord UES et le contexte actuel exceptionnel de télétravail subit par les salarié-e-s avec plus ou moins de difficultés selon l'environnement privé.
    La Direction n'est pas fermée et nous (Direction et organisations syndicales) déroulons l'accord avec nos remarques respectives. Prochaine réunion de négociation : mercredi 3/06 9h30-12h30
    Pour nous faire part de vos retours d'expériences sur le Télétravail :
    cgtakka.france@gmail.com

     

    https://www.facebook.com/cgtakka/

     

  • CGT AKKA - Flash CSE du 14 mai 2020

    Télécharger le Flash CSE du 14 mai 2020

    Bonne lecture

    Prenez soin de vous et de vos proches

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    Toute l'équipe de la CGT AKKA

  • CGT AKKA - Comment vous mobiliser le 1er Mai, journée internationale de luttes des travailleuses et travailleurs?

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    1er Mai : Le jour d'après je veux quoi ?

    Alors que le monde entier fait face à la pandémie, ce 1er Mai sera plus que jamais la journée internationale de luttes des travailleuses et travailleurs.

    Depuis le début de la crise sanitaire, des millions de personnes sont confinées. De nombreux pays vivent grâce aux oublié·e·s, aux invisibles de nos sociétés, qui continuent à travailler, le plus souvent au risque de leur propre vie.

    Les paroles de reconnaissance des gouvernements n’ont pas été suivies d’actes forts. Les mots sont évidemment insuffisants pour exprimer notre colère et notre détermination à faire changer les choses.

    Nous porterons ce 1er Mai 2020, bien que confiné·e·s, les revendications qui sont plus que jamais d’actualité.

    Signez la Pétition !

    Lire la suite