Flash CSE septembre 2023
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L'AKKAsse sociale - Saison 4 Episode 4
Décembre 2022
Des sujets graves sont évoqués dans les différentes instances des filiales du groupe Akka dont particulièrement au CHSCT EKIS France qui a mandaté le cabinet Syndex pour une expertise "Risque grave", refusée catégoriquement par la direction jusqu'à assigner le CHSCT au tribunal judiciaire.
Cette expertise avait été votée suite au suicide d'un salarié toulousain de la filiale d'Akka /Akkodis.
Le 19 décembre, la direction d'Akka décide de mettre fin à toutes les instances d'Akka unilatéralement.
Cette décision étant totalement illégale, seul un juge ayant le pouvoir de cette décision si et seulement s'il doit statuer sur cette question, la CGT Akka a adressé à plusieurs reprises un rappel au Droit à la direction puis saisi les inspections du travail.
Les inspections du travail de Nanterre Paris La Défense, Lyon et Toulouse ont adressé un courrier commun d'injonction de reprise des instances dès le 23 décembre puis, ayant essuyé un refus, un deuxième courrier le 9 janvier 2023 en demandant, pour chacune des injonctions, de les partager aux représentants du personnel.
Bien évidemment, la direction d'Akka s'est bien gardée de partager de tels courriers, alors que celle-ci fait croire à tout son personnel (service RH, encadrement, managers, etc.) qu'elle peut décider de mettre fin à des instances sans aucun jugement !
Nul n'est censé ignorer la Loi.
Les CE/CSE d'Akka Ingénierie Produit, d'Akka High Tech, d'Akka I&S, d'Aéroconseil et d'Ekis France ont assigné les sociétés respectives filiales du groupe Akka au Tribunal Judiciaire. La CGT s'est portée partie intervenante afin de condamner la direction d'Akka. L'audience prévue initialement le 14 février a été renvoyée au 7 mars à la demande de la direction. Il est évident que la direction d'Akka veut faire passer cette affaire après les élections professionnelles.
En attendant, le personnel "encadrant" d'Akka se rend ainsi complice de ce management toxique en harcelant les représentants du personnel par des propos tels que : "Vous n'êtes pas sans savoir que vous n'avez plus d'heures de délégation puisqu'il n'y a plus d'instances!", et jusqu'à modifier les pointages des représentants pour les mettre en "intermission" sur l'outil interne d'Akka, ce même outil que l'inspection du travail a pointé du doigt, dans ses mises en demeure de décembre 2021, car illégale.
Nous connaissons trop bien la gestion du personnel en "intermission" à Akka/Akkodis qui fera l'objet de l'épisode 5 de la saison 4 de notre série "L'AKKAsse sociale"...
Télécharger le courrier d'injonction des inspections du travail du 23 décembre 2022
Télécharger le courrier d'injonction des inspections du travail du 9 janvier 2023
Télécharger notre communication de campagne
Cliquer sur l'image pour télécharger le Flash CSE de la CGT Akka
1er Avril 2020 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/00/504170438.2.pdf
10 Avril 2020 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/01/1820844528.pdf
Mai 2020 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/02/490677953.pdf
Juin 2020 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/02/02/3000429707.pdf
Octobre 2020 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/02/02/2243038358.pdf
Novembre 2020 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/01/916581262.pdf
Mars 2021 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/02/00/3501345148.pdf
Juin 2021 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/02/3549787720.pdf
Décembre 2021 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/01/02/1902467264.pdf
Janvier/Février 2022 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/00/3565271525.pdf
Mai 2022 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/02/1780380600.pdf
Septembre 2022 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/02/1928977829.2.pdf
Octobre 2022 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/02/328029491.2.pdf
Comme vous avez pu le constater, la CGT AKKA est depuis plusieurs années et particulièrement ces 3 dernières années, sur tous les fronts (voir notre site internet, notre blog et les réseaux sociaux).
D’une crise sanitaire, AKKA a contribué à la crise sociale pour sauver les finances des principaux actionnaires qui ont fuit le navire AKKA non pas dans des embarcations de fortune mais bien au chaud dans leur yacht.
Ainsi le groupe AKKA a compté plus de 1400 départs contraints en 2 ans (2020 et 2021) et plus de 1600 démissions.
Avec plus de 30% de turn-over et les difficultés à attirer les candidat.e.s, autant vous dire que la réputation d’AKKA est belle et bien connue et reconnue sur le marché !
Aujourd’hui, face à l’AKKAsse sociale, il n’y a pas 36 solutions, il y en a 2 :
La Mobilisation et le Droit
La CGT AKKA appelle tous les salarié.e.s à la mobilisation pour une retraite heureuse, valorisée et en pleine santé non pas en la repoussant encore et encore au gré des différents gouvernements du CAC40 mais dès 60 ans au gré des travailleuses et des travailleurs, pour celles et ceux qui le souhaitent !
« A 50 ans, l’entreprise te fait comprendre que t’es trop vieux/vieille pour te garder et à 60 ans, l’état te fait croire que t’es trop jeune pour t’arrêter ! »
Pour assurer l’équilibre de notre sécurité sociale et de notre pouvoir d’achat par rapport à la montée des prix à la consommation et de l’énergie, il est évident que les salaires doivent être augmentés considérablement.
La CGT AKKA a demandé dès septembre 2022 l’ouverture des Négociations Annuelles Obligatoires (NAO) portant notamment sur les salaires. La Direction d’AKKA nous a baladé durant des mois en nous assurant que les négociations sur les salaires à AKKA auraient lieu avant la fin de l’année 2022. Au lieu de cela, la Direction a mis fin à toutes les instances représentatives du personnel pour sortir une série de décisions unilatérales issues uniquement de la société MODIS et portant sur des augmentations de salaires dérisoires et discriminantes, distribuées selon la date d’entrée des salarié.e.s, une prime illusoire versée en 2 fois, et des frais professionnelles au rabais !
Sans consultation des instances représentatives du personnel qu’elle a décidé de supprimer le 21 octobre 2022 pour AKKA Ingénierie Produit, AKKA I&S et AKKA Services, et le 18 décembre 2022 pour AKKA High Tech, Aéroconseil et EKIS, la Direction d’AKKA prend le risque de voir toutes ses décisions unilatérales annulées par la justice et l’obliger ainsi à entreprendre des négociations loyales et sincères.
En effet, l’AKKAsse sociale se combat par le respect du Droit donc en saisissant les tribunaux.
La CGT AKKA saisit et/ou aide à saisir la justice dès lors que AKKA s’attaque aux droits des salarié.e.s :
le tribunal judiciaire lorsqu’il s’agit de l’atteinte aux instances représentatives du personnel,
le conseil des Prud’hommes pour assister les salarié.e.s qui demandent réparation face à une atteinte à leurs droits individuels,
le juge d’instruction pour condamner le harcèlement moral institutionnel et permettre à tous les salarié.e.s concernées de se porter partie civile (détérioration de la santé des salarié.e.s du fait d’actions répétées de représentants de l’employeur pouvant aller jusqu’à la surcharge mentale et physique – burn-out – voire la volonté de nuire à sa propre intégrité physique).
Priver les salarié.e.s de toute représentation du personnel sous prétexte qu’elle organise les élections professionnelles, demandées depuis des années par la CGT AKKA, est irrecevable, irresponsable et abjecte au vu de la situation dramatique que vivent des salarié.e.s encore plus sous pression, le management soutenant qu’il n’y a plus de représentants du personnel pour les soutenir et les relever.
La CGT AKKA appelle à la mobilisation, à la solidarité, à venir toutes et tous nous rejoindre dans la rue dès ce jeudi 19 janvier pour nos RETRAITES, pour nos SALAIRES, contre l’AKKAsse sociale.
Travailler plus pour gagner moins, c’est non !
Pour nos retraites,
mobilisons-nous dès le 19 janvier
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Contacts CGT AKKA :
06 67 95 74 61 du lundi au vendredi de 8h à 18h
GRAND EST / PACA : Emanuel (emanuel.lagie@gmail.com)
GRAND OUEST / SUD-OUEST : Franck (franck.cgtakka@gmail.com)
NORD / ILE-DE-FRANCE : Emanuel (emanuel.lagie@gmail.com) et Franck (franck.cgtakka@gmail.com)
Télécharger l'appel de l'intersyndicale à la mobilisation
Télécharger l'appel à la mobilisation et candidatures élections professionnelles
Télécharger le tract CGT national
Télécharger le tract CGT : la réforme, un danger pour les femmes !
Télécharger le tract CGT : Attention danger pénibilité !
Comment faire grève ? Télécharger la marche à suivre
Simulateur et Pétition, cliquez sur l'image ci-dessous :
Téléchargez la communication de la CGT AKKA : 202210-FLASH_CSE-CGT-SPECIAL_RPS-SALAIRES.pdf
REUNIONS D’INFORMATIONS
en présence de Maître RILOV, avocat au Barreau de Paris
Mardi 11 octobre 2022 de 12h30 à 14h00
devant le site AKKA/AKKODIS de Blagnac Andromède,
7 boulevard Henri Ziegler
Jeudi 27 octobre 2022 de 12h30 à 14h00
site AKKA/AKKODIS de Paris La Défense,
devant la tour Pacific, 11/13 cours Valmy
Ces deux premières réunions ont pour but de vous informer sur la possibilité d’engager une action au Conseil de Prud’Hommes (CPH) en vue de faire annuler la clause de mobilité du contrat de travail, ainsi que sur le harcèlement moral dont vous, ou un collègue, êtes actuellement victime, comme vécus par de nombreux salariés en intermission.
Venez nombreuses et nombreux !
Téléchargez la communication de la CGT AKKA : 202210-FLASH_CSE-CGT-SPECIAL_RPS-SALAIRES.pdf
Cela concerne tous les salariés : licenciés depuis moins de 2 ans pour réparation ou présents pour stopper la pression durant la période d’intermission, par exemple. La mobilité contrainte est un des facteurs de risque primaire ayant des conséquences directes sur la santé. La crise de France Telecom de 2008/2011 (hyper-stress, burn-out, suicides) a été stoppée dès que la direction a mis fin aux mobilités forcées (métier et géographique) en février 2011. L'arrêt du 30/09/2022 de la cour d’appel de Paris reconnaît sans ménagement le « harcèlement institutionnel caractérisé » des ex-dirigeants qui ont mis en place « une politique ayant pour effet de créer pour tout le personnel un climat anxiogène ». Ainsi, à la question de savoir si « les dirigeants d'une grande entreprise peuvent se voir reprocher des faits de harcèlement moral résultant non pas de leurs relations individuelles avec leurs salariés mais de la politique d'entreprise qu'ils avaient conçue et mise en œuvre », la cour répond donc clairement « oui » (Sources : Les Echos - Le Monde).
La société Matis, devenue AKKA High Tech, a pourtant été condamnée sur cette clause abusive de mobilité dès 2012, clause dite "nulle" encore utilisée par le groupe AKKA pour licencier des salariés « non rentables ».
Autre bataille, autre facteur de risque primaire : la surcharge de travail. Voir l'impact destructeur sur les salariés de Renault en 2006/2009 : « la cour d'appel de Versailles a reconnu en 2011 la "faute inexcusable" de l'entreprise Renault, responsable du suicide d'un ingénieur survenu en octobre 2006. Les juges ont reproché à l'entreprise de n'avoir pas eu conscience de la gravité de la situation du salarié et de n'avoir mis en place ni système d'évaluation des risques psychosociaux ni mesure de la charge du travail. » Un outil de décompte des heures travaillées doit être mis à disposition par AKKA aux salariés permettant le paiement et le suivi de leurs heures supplémentaires et ainsi prévenir la surcharge de travail.
3ème facteur de risque important : la dévalorisation salariale.
Des salariés ne sont pas au bon coefficient et/ou ne sont pas cadres malgré la détention d'un diplôme d'ingénieur, ou sont toujours au coefficient 95 (cadre débutant) malgré des années d'ancienneté et d’expériences, ou bien sont au coefficient 130 alors qu'ils ont un rapport hiérarchique vis-à-vis d'autres salariés que mentionne pourtant le coefficient 150, des salaires avec ancienneté en-dessous du marché faute d'augmentations régulières et conséquentes, créant un fossé avec les nouveaux embauchés, autrement nommés uniquement le temps de l’embauche … les « talents ». Ces incroyables talents mettront moins de deux ans pour fuir AKKA/AKKODIS et sa politique sociale et salariale déplorable. Le turn-over est actuellement de plus de 28% … !
Des inégalités salariales femmes/hommes cachées par la direction, présentées par les rapports d'expertise Syndex 2022 sur l'année 2021 au niveau de l'UES Akka France et de la filiale Akka High Tech. Ces inégalités ne figurent par dans les états des lieux décrits dans le projet d’accord égalité professionnelle F/H rédigé par la direction et proposé à la signature aux organisations syndicales d'Akka High Tech. La Direction d’AKKA emploie les mêmes artifices de tromperie et de manipulations pour cacher des réalités honteuses. Heureusement, selon le baromètre Ugict-Cgt/Secafi/Viavoice, une forte proportion de cadres se dit prête à se mobiliser pour défendre les salaires et la retraite : y compris par la manifestation ou par la grève. «A l’opposé de la caricature individualiste qui leur est souvent associée, les cadres se disent ainsi prêts à se mobiliser pour défendre leurs droits », souligne Sophie Binet, secrétaire générale de l’Ugict-Cgt. Collectivement, y compris par la grève pour obtenir une augmentation de salaire (35%). Ils sont encore plus nombreux à s’y déclarer prêts pour défendre leur retraite (42%), motivés par leur opposition à un report de l’âge légal : une majorité (56%) souhaite en effet un rétablissement de l’âge de départ à 60 ans, avec une prise en compte des années d’études, financée par une mise à contribution des dividendes (53%). Nous vous invitons à lire cette étude. Vous pourrez compter sur la CGT afin d’organiser la mobilisation pour le Bien-Être au Travail, pour obliger l’employeur à veiller à la santé et à la sécurité de ses salariés, pour la revalorisation des salaires et pour l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.
Rejoignez-nous nombreuses et nombreux lors de nos réunions d’informations du 11 et du 27 octobre…
« L'avenir n'est pas ce qui va arriver, mais ce que nous allons faire. » (Henri Bergson)
Copie : Inspections du travail
Pourquoi la CGT Akka est absente du comité de coordination RPS créé par la Direction d’Akka ?
Selon la Direction, le premier enjeu du plan d’action RPS et donc de ce comité est de « Fédérer les principaux acteurs autour de la démarche collaborative (coordination des actions et visibilité de la démarche) » (présentation faite le 16/09/2022 aux membres de la commission de suivi de l'accord 2012 sur la prévention des risques psychosociaux et de la Qualité de Vie au Travail).
Pourtant, cette même Direction n'a pas laissé le choix aux membres du comité de groupe d'Akka pour la constitution de ce comité de coordination RPS : les membres devaient décider de la présence de représentants des organisations syndicales ou de représentants des CHSCT/CSSCT des filiales d'Akka mais pas les deux !
Définition de "fédérer" selon le Larousse : "Rassembler, regrouper autour d'un projet commun : Fédérer les énergies."
Définition de "fédérer" selon la Direction d'Akka : désunir, réduire, restreindre ("pour éviter d'être trop nombreux" : argumentaire apporté par la Direction le 16/09/2022).
La Direction défend sa définition comme elle peut en prétextant qu'elle ne veut pas d'un comité « à 30 ou 40 personnes », a t’elle déclaré le 16/09/2022. Encore de la manipulation quand nous savons qu'1 représentant CHSCT/CSSCT pour les 6 filiales représente au total : 1 x 6 = 6 personnes, soit un comité de 22 personnes (16 actuellement + 6 = 22). Ni 30, ni 40, ni 200! Non 22...
Si la Direction ne peut travailler ( = imposer ces décisions unilatérales) avec un comité de 22 personnes, comment peut-elle prétendre travailler avec un futur CSE unique composé de minimum 30 élu.e.s titulaires et 30 élu.e.s suppléants!?!? Nous comprenons mieux ses réticences et ses fautes dans l'organisation des élections professionnelles dans l'UES Akka France attendues par les salarié.e.s et leurs représentant.e.s depuis tant d'années.
Si la Direction avait laissé le choix au comité de groupe d'intégrer des représentants des organisations syndicales ainsi que des CHSCT/CSSCT, il est évident que les membres du comité de groupe auraient opté pour cette option naturelle au vu du sujet très important et urgent que représente la prévention des RPS.
Aujourd’hui, non seulement la Direction d’Akka affirme à tort que le comité de groupe n’existe plus mais aussi elle remet la cause de l'absence de représentants des CHSCT/CSSCT aux membres du comité de groupe qui « a validé cette gouvernance » et refusait encore le 16/09/2022 malgré notre argumentaire de les intégrer et malgré nos interventions en CSE AKKA High Tech.
Deuxième enjeu du plan d’actions RPS :
« Définir une gouvernance claire et acceptée (instances paritaires et pluridisciplinaires) »
Cette gouvernance n’a pas été acceptée mais imposée par la Direction. Quel employeur pourrait se permettre d’écarter les représentants des CHSCT/CSSCT pour établir un plan d’actions RPS ?!?
Nous réclamons que les membres du comité de groupe, toujours existant, demande l'organisation d'une réunion extraordinaire afin de voter cette option permettant d'intégrer légitimement les représentants des CHSCT/CSSCT à ce comité de coordination, en plus des représentants des organisations syndicales.
Nous demandons que chaque CHSCT/CSSCT désigne un de ses membres pour participer au comité de coordination RPS.
Nous ne donnerons aucune légitimité à ce comité dépourvu des représentants des CHSCT/CSSCT de chacune des filiales du groupe AKKA France.
Mensonges et manipulations sont encore les moyens utilisés par cette direction pour installer le cabinet d'expertise de leur choix, un cabinet qui n'aurait jamais travaillé pour Akka afin d'éviter toutes interprétations ou malversations et discréditer ainsi leurs résultats.
Malheureusement, nous apprenons ensuite, lors de la commission du 16/09/2022, que le fameux cabinet choisi est actuellement en contrat avec ADECCO depuis plus de deux.
Plus rien de surprenant quant à ses manœuvres ayant pour objectif de réduire la voix des représentants du personnel.
La CGT Akka intégrera ce comité ayant notamment pour but de fédérer lorsque les actions seront en adéquation avec la théorie, lorsque les actes seront cohérents avec la vitrine reluisante que tente de se donner la Direction d’Akka, à commencer par une composition fédératrice de ce comité de coordination.
Les décisions unilatérales et irresponsables de la Direction sur des sujets aussi importants que la santé et la sécurité des salariés vont à l'encontre de nos valeurs fédératrices.
La CGT Akka
Télécharger le Flash CSE CGT Akka de SEPTEMBRE 2022
Ce nouveau bulletin de la CGT Akka aborde les points suivants :
- C’est la rentrée, ce que vous devez savoir si vous travaillez chez AKKA ... - Page 1
- La rentrée syndicale après un été chaud ! - Page 2
- L’AKKASSE SOCIALE… : le Procureur de la République saisi ! - Page 3
- Comment AKKA prend soin de la santé des salariés ? - Page 4
- Début rapide de la revente en détail d’AKKA - Page 4
- Les salariés d’AKKA SERVICES privés des œuvres sociales ! - Page 4
- AKKA a du mal à recruter et départ massif des salariés - Page 4
Télécharger le Flash CSE CGT Akka de SEPTEMBRE 2022
Télécharger le Flash CSE CGT AKKA de JANVIER/FEVRIER 2022
Le nouveau Flash CSE CGT Akka est sorti !
Au programme :
- Nos vœux pour l'année 2022 (bon..., nous sommes en février... mais au vu du contexte, nous pouvons nous permettre de formuler des vœux toute l'année ! )
- L'égalité professionnelle entre femmes et hommes chez Akka
- Les Akkariens : sous-espèce mutante (1er coup de gueule !)
- Deux rendez-vous pour découvrir la CGT, organisés par la cellule formation de la CGT Akka
- Appel à vos revendications ! La base du syndicalisme : nos revendications proviennent des salariés, donc ... à vos plumes! (précision pour nos jeunes salariés/camarades : "à vos plumes" est une expression utilisée au 20ème siècle pour désigner l'action d'écrire).
- Votre argent (suisse) m'intéresse ... (2ème coup de gueule !... Au fait...vous pouvez nous envoyer vos coups de gueule, nous en ferons plusieurs épisodes et saisons !)
- Un retour sur le sondage Télétravail : merci aux 392 contributeurs/trices !
- Et enfin le bilan 2021 de la CGT Akka et la mise en demeure de la DREETS Occitanie pour finir en beauté l'année, aboutissement du travail de toute une équipe et de nombreux salariés face à une année éprouvante de toutes les luttes : par le Droit et la Mobilisation !
Bonne lecture
Solidairement,
La CGT Akka
Dans le groupe Adecco, c'est tous les jours :
Des réorganisations, des restructurations, des PSE, des contrats précaires …
c'est insupportable!
Télécharger la communication de l'intersyndicale CGT ADECCO / CGT MODIS / CGT AKKA
ou cliquer sur l'image :
Le constat est amer : Il y a les collègues qui craquent, celles ou ceux qui sont jetés comme des
moins que rien et celles ou ceux qui restent pour des salaires médiocres.
• Les accords télétravail sont soit inexistants soit minables.
• La gestion de la pandémie dans l'entreprise sert de pilote à la déshumanisation des relations
sociales.
• Le groupe Adecco s'est endetté de plusieurs milliards d'euros jusqu'en 2082 en rachetant
AKKA étonnamment survalorisé, permettant au passage l'enrichissement de quelques fortunes
individuelles...
• Dans un monde où les connivences d'intérêt entre les politiques et les actionnaires semblent
facilement identifiables, l'argent du contribuable est majoritairement accaparé au maintien des
dividendes.
• Les salariés sont des variables d'ajustement et ils ont comme seule raison d'être : la rentabilité
donc le maintien des profits pour les actionnaires.
• Au profit des actionnaires Adecco maximise la plus-value et sur le dos d’intérimaires sous-payés vivants dans la pauvreté.
• Là où les objectifs de l'indice "satisfaction" des consultants sont bien en dessous des
objectifs "satisfaction" pour les salariés support et structure, l'entreprise crée une politique
salariale à 2 vitesses (source: dernière orientations triennale chez modis).
Côté AKKA, LAKKAsse sociale perdure avec plus de 3100 sorties hors PSE, soit 40% des
effectifs, en 2 ans (du 01/01/2020 au 31/12/2021), dont plus de 1300 en départs contraints. La
Direction d’AKKA a appliqué hors PSE ce qu’elle avait annoncé dès octobre 2020 : « plus de
1150 postes devraient être supprimés ». Suite aux démarches de la CGT AKKA, la DREETS
de l'Occitanie a adressé fin décembre 2021 à toutes les filiales du Groupe AKKA une mise en
demeure mettant en exergue la responsabilité de l'employeur concernant tous les
établissements en France. En effet, il a été démontré que « l’employeur n’a pas satisfait à son
obligation de mettre en œuvre des mesures d’organisation appropriées à la préservation de la
santé mentale des salariés conformément aux principes généraux de prévention (articles
L.4121-1 à L.4121-5 du code du travail) ». La Direction d'AKKA a jusqu'à mi-février pour
changer à 180° son management oppressif et destructeur et proposer des actions pour
notamment prévenir les risques psychosociaux.
Le rachat d’AKKA par ADECCO conforte l’adage : « Qui se ressemble, s’assemble ! »
Il est de notre intérêt à tous d’être solidaires pour imposer un management bienveillant et
tourné vers l’épanouissement professionnel, augmenter les salaires, reconnaître la
contribution de tous les salariés et en finir avec les contrats précaires.
Les syndicats CGT Modis, CGT Adecco et CGT Akka sont unitaires et défendront
ensemble les droits de tous les salariés.
Aucun salaire en dessous de 2000 € net par mois partout en Europe, et au-delà en fonction
des diplômes (https://www.cgt-modis.fr/nao-modis-2022/)
Pour toutes et tous 400 € d'augmentation de salaire.
Une égalité femme/ homme sur les salaires à poste équivalent mise en place dans l'année
(pas dans les 20 prochaines années).
Pour la garantie de l’emploi pour tous les salariés et le droit à la sécurité sociale
professionnelle :
Rejoignez les mobilisations syndicales le 8 mars dans toutes les grandes villes
Pour une grève féministe et antisexiste et la fin des discriminations !
Télécharger le Communiqué de presse du 5/01/2022
Blagnac, le 5 janvier 2022
Procédure d’alerte pour Danger Grave et Imminent (DGI) : Toutes les filiales d’AKKA France mises en demeure par la DDETS de Haute-Garonne !
Télécharger les mises en demeure :
AKKA INGENIERIE PRODUIT – AKKA SERVICES – AKKA HIGH TECH – AKKA I&S – AEROCONSEIL – EKIS
Suite à l’hospitalisation d’un salarié en juillet 2021, la CGT AKKA a immédiatement lancé une alerte pour danger grave et imminent auprès du CSE d’une des filiales du groupe AKKA.
9 jours ouvrés après, la Direction d’AKKA concluait à aucune anomalie dans le traitement de ce salarié. Autrement dit : « Circulez ! Il n’y a rien à voir ! ».
Pendant ce temps, les représentants de la CGT AKKA ont poursuivi leur enquête en recueillant tous les éléments. Les faits démontrent un management toxique, dévalorisant et récurrent.
L’inspection du travail, après enquête, vient de valider nos constats et nos conclusions en adressant fin décembre à la direction d’AKKA une mise en demeure auprès de toutes les filiales du groupe AKKA et concernant tous les établissements AKKA en France afin de corriger sous 45 jours toute une série d’irrégularités et de faits caractérisant entre autres « l’existence d’un risque pour la santé mentale des salariés ».
Ces mises en demeure viennent appuyer toutes nos communications et nos alertes sur nos sites internet et les réseaux sociaux (@CGTAKKA) dénonçant la casse sociale à AKKA depuis des années et accélérée puis amplifiée par la crise sanitaire encore d’actualité aujourd’hui.
Après la sortie hors PSE de près d’un tiers des salariés des effectifs en moins de 14 mois (2400 sur 7700 en France), la famille RICCI et la famille FRERE nouvellement arrivée (investissement de 150 Millions d’euros en décembre 2020 et parts rachetés par ADECCO en 2021 le double, soit environ 300 Millions d’euros…de quoi s’interroger…) décident de quitter le navire AKKA, les poches bien remplies. La CGT AKKA condamne ces individus qui ont profité de la crise sanitaire pour s’enrichir à très court terme par la destruction des emplois tout en bénéficiant d’aides financières publiques.
Cette gestion « court termiste » a développé un management oppressif et offensif qui conduit encore actuellement à une surcharge émotionnelle et physique des salariés ayant pour conséquence la détérioration de leur santé alors que, comme le rappelle l’inspection du travail de la DDETS de Haute-Garonne : « L’employeur a pour obligation de mettre en œuvre des mesures d’organisation appropriées à la préservation de la santé mentale des salariés conformément aux principes généraux de prévention (articles L.4121-1 et L.4121-5 du Code du Travail). »
Pendant que les capitaines sautent du navire, les salariés d’AKKA, la tête sous l’eau, écopent.
Nous invitons les salariés d’AKKA à continuer à nous transmettre leur témoignage : cgtakka.france@gmail.com.
La CGT AKKA félicite l’inspection du travail de la DDETS de la Haute-Garonne pour ses décisions et veillera à l’application de ces mises en demeure.
Pour que cesse l’AKKAsse sociale, par le Droit et la Mobilisation !
La CGT AKKA
Télécharger le FLASH CSE du 1er décembre 2021
Au sommaire :
Les moyens de nous contacter et nous suivre sur le net et les réseaux sociaux (plus vous serez nombreux.ses, plus nous serons surmotivé.e.s à faire des directs, balancer des nouvelles fraiches, distribuer des codes promos pour obtenir des augmentations, offrir des jours de congés, des propositions de missions dans de magnifiques goulags histoire de souffler avec le management d'AKKA, bref, suivez-nous, réagissez, participez ! (attention de ne pas non plus vous mettre en "danger" vis-à-vis d'AKKA, la direction est une fidèle lectrice de toutes nos communications !)
L'Edito de la CGT AKKA sur la question des aides publiques finançant LAKKAsse sociale;
Les infos de dernière minute;
Une alerte sur les allergies aux akkariens;
Notre retour sur le 11ème congrès de la fédération CGT des sociétés d'études;
L'actualité sur les négociations et l'attitude irresponsable de la direction d'Akka face à ses obligations légales;
Les tests "maison" d'AKKA pour justifier une "insuffisance professionnelle" : un scandale à dénoncer immédiatement en nous contactant !
La Casse sociale à AKKA amplifiée par l'isolement : "Ne restez pas seul.e.s !";
Et enfin, le coup de gueule d'une salariée.
Bonne lecture
La CGT AKKA
Télécharger le FLASH CSE du 1er décembre 2021
Les propos scandaleux et assumés de la Direction d'Akka lors d'un tchat vidéo aux salariés toulousains le 22/10/2021 !
L'Akkasse sociale en 20 mois a généré plus de 2400 départs dont la moitié contraints, soit presque 1/3 des effectifs en France et 5 PSE générant des risques psychosociaux élevés et un management déshumanisant ciblant les salariés au départ contraint.
Et que dit Benjamin Tichané, Directeur Régional Akka Occitanie :
"On a du mal à recruter parce qu'on a un marché en France qui est pénurique au niveau des ingénieurs et donc il faut aller chercher les compétences là où elles sont. On peut mettre autant de recruteurs et de recruteuses qu'on veut, si le marché est pénurique, on touche un plafond de verre et donc il faut qu'on aille chercher les compétences là où elles sont.
En Inde, par exemple, il y a chaque année des centaines de milliers d'ingénieurs qui sont disponibles là où il y a des dizaines de milliers en France. Il faut qu'on casse les barrières qu'on peut avoir en tête et qu'on utilise beaucoup plus le off-shore que ce qu'on fait actuellement. Quant à notre capacité à recruter, on a un plan d'actions spécifiques sur le sujet parce que c'est devenu le nerf de la guerre."
L'Akkasse sociale est loin d'être terminée!! Elle continue avec la bénédiction et le financement des pouvoirs publics :
Ministère du Travail
Ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance
La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée
La lutte continue !
Par le Droit et la Mobilisation !
STOP au financement public de ces patrons voyous qui détruisent les salarié.e.s !
STOP à la casse de nos techniciens et ingénieurs pour plus facilement exploiter la main-d'œuvre en Inde, Roumanie, Maroc et ailleurs!
STOP à ce management qui dévalorise les salarié.e.s sans mission jusqu'à les virer pour des fautes construites, abusives !
STOP
La CGT Akka compte sur tous les salarié.e.s qui subissent ce management destructeur pour nous transmettre leur témoignage et condamner ainsi cette Direction irresponsable et dangereuse.
Le résultat d'enquête d'une alerte pour danger grave et imminent, suite à l'hospitalisation d'un salarié toulousain en juillet dernier durant 1 mois et demi, démontre la pleine responsabilité du management d'Akka (enquête anonymisée à disposition des médias).
La santé au travail n'est pas négociable!
L'heure est à l'attaque et à la condamnation de toutes ces pratiques et de toutes ces personnes qui les mettent en oeuvre !
cgtakka.france@gmail.com
Télécharger le Communiqué de Presse de l'intersyndicale Akka CFE-CGC, CGT, FO et UNSA
Communiqué de Presse de l’intersyndicale AKKA
CFE-CGC, CGT, FO, UNSA
Blagnac, le 26 mai 2021
Le PDG d'AKKA, Monsieur RICCI, s'est adressé aux salarié·es dans le cadre d'un "Virtual Tchat" ce 19 mai. Encore une communication à sens unique où les questions relatives aux PSE ont été littéralement et ouvertement écartées. Plus de 1000 salarié·es sont concerné.es par les PSE de 5 filiales en France pour plus de 300 licenciements envisagés, mais Monsieur ne veut pas en parler… Mauvais pour la vitrine AKKA !
Alors nous allons en parler et en reparler ! Et plus globalement reparler de la casse sociale à AKKA :
L’entreprise aurait dû profiter de la crise sanitaire pour souder ses salarié·es, développer la solidarité et créer plus de liens, avec une gestion des ressources Humaines humanisante. Bien au contraire, AKKA a profité de l’isolement des salarié·es par le télétravail, le chômage partiel et les missions chez les clients pour accélérer ses restructurations : baisse de la masse salariale, fermeture d’établissements, lancement des PSE, réorganisation de l’encadrement, etc.
Et pendant ce temps, l’argent public continue de couler à flot chez AKKA, avec la bénédiction des pouvoirs publics.
Depuis 2013, plus de 170 Millions d’euros de crédits d’impôt (CICE, CIR) et depuis mars 2020 plus de 21 Millions d’euros de financement de l’activité partielle afin de « maintenir les emplois » ! Aujourd’hui, l’Etat continue à financer la casse sociale AKKA sans contraintes, ni contrôles. La Région Occitanie finance 1 Million d’euros pour le projet ERA (avion régional électrique) dont est partenaire AKKA. La Région Occitanie finance ainsi indirectement la casse sociale à AKKA, sans contraintes, ni contrôles.
Ces situations insupportables doivent être combattues conjointement par la lutte avec l’ensemble des salarié·es, par la législation avec l’ensemble des politiques et par le Droit en multipliant les procédures auprès des tribunaux, afin que cessent définitivement la déshumanisation de l’Entreprise AKKA en France et le détournement de la richesse générée par le travail de toutes et de tous les salarié·es.