Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Communiqués de Presse

  • Communiqué de presse de la CGT du 22/03/2023

    Télécharger le COMMUNIQUÉ DE PRESSE  de la CGT

    La colère est légitime ! Le Président est irresponsable !

    Le président de la République vient de confirmer, ce jour, au journal de 13h, le maintien de la loi sur le passage à 64 ans et les 43 années de cotisation malgré la revendication de son retrait par les organisations syndicales et les millions de manifestants qui, depuis des mois, font grève, manifestent dans le calme et la dignité.

    Il dit « écouter la colère » des Français après l'adoption contestée du texte par un 49-3 au Parlement, tout en affirmant que « la foule » n'a pas de « légitimité » face aux élus de la République et, comme s’il ne se passait rien, il déclare que cette loi poursuivra le chemin parlementaire…

    Le gouvernement espère que tout cela va se régler en lançant un débat sur la pénibilité du travail des séniors alors qu’il va réduire encore la possibilité pour des millions de travailleurs de partir en retraite en bonne santé… Il n’a eu de cesse de minimiser la crise sociale et politique actuelle dans le pays en la réduisant à une incompréhension.  

    Alors que les manifestations et mouvements de grève s’élargissent et se durcissent contre la réforme des retraites à travers la France, et que de nouveaux secteurs rentrent dans l’action à travers des grèves, des ralentissements de production, après le rejet de deux motions de censure – dont une à neuf voix près - véritable déni de démocratie parlementaire, il en appelle à la responsabilité des citoyens, des syndicats, des oppositions…

    Mobiliser 12 000 forces de l’ordre pour la grande journée de mobilisation interprofessionnelle unitaire de ce jeudi montre la fébrilité et l’absence de sérénité de ce gouvernement.

    Jusqu’où est-il prêt à aller dans son aveuglement ?

    Ce n’est plus du mépris, c'est de la folie !

    Alors que la crise sociale et politique s’installe, à quoi joue le chef de l’État ? Que cherche-t-il ? Des débordements issus de la colère ?

    Son intervention aura produit l’effet inverse de ce qu’il recherchait, il redonne encore plus d’énergie aux salariés, aux jeunes, aux retraités et même celles et ceux qui jusque-là n’étaient pas sortis.es dans la rue vont le faire !

    Il ne voit pas que rien n'entame la détermination de la population majoritaire jusqu’au retrait !

    La CGT appelle les travailleurs actifs, retraités, privés d’emplois et la jeunesse à participer massivement aux grèves reconductibles et aux manifestations sur l’ensemble du territoire, ce 23 mars et après si nécessaire.

    Montreuil, le 22 mars 2023

    Version en ligne disponible ici ➡️ https://urlz.fr/l61r

  • Tract Ugict-CGT d’appel aux ingés cadres techs sur la réforme des retraites

    Télécharger la communication de l'UGICT-CGT

    IMG_20230322_234255.jpg

    Toutes et tous en grève, aux manifestations, mobilisé.e.s dans les entreprises !

     

     

     

  • COMMUNIQUE DE PRESSE CGT AKKA : Toutes les filiales d’AKKA France mises en demeure par la DDETS de Haute-Garonne !

    Télécharger le Communiqué de presse du 5/01/2022

     

    LOGO-CGTAKKA.jpg

     

    Blagnac, le 5 janvier 2022

    Procédure d’alerte pour Danger Grave et Imminent (DGI) : Toutes les filiales d’AKKA France mises en demeure par la DDETS de Haute-Garonne !

    Télécharger les mises en demeure :

    AKKA INGENIERIE PRODUIT – AKKA SERVICESAKKA HIGH TECHAKKA I&SAEROCONSEILEKIS

     

    Suite à l’hospitalisation d’un salarié en juillet 2021, la CGT AKKA a immédiatement lancé une alerte pour danger grave et imminent auprès du CSE d’une des filiales du groupe AKKA.

    9 jours ouvrés après, la Direction d’AKKA concluait à aucune anomalie dans le traitement de ce salarié. Autrement dit : « Circulez ! Il n’y a rien à voir ! ».

    Pendant ce temps, les représentants de la CGT AKKA ont poursuivi leur enquête en recueillant tous les éléments. Les faits démontrent un management toxique, dévalorisant et récurrent.

     

    L’inspection du travail, après enquête, vient de valider nos constats et nos conclusions en adressant fin décembre à la direction d’AKKA une mise en demeure auprès de toutes les filiales du groupe AKKA et concernant tous les établissements AKKA en France afin de corriger sous 45 jours toute une série d’irrégularités et de faits caractérisant entre autres « l’existence d’un risque pour la santé mentale des salariés ».

     

    Ces mises en demeure viennent appuyer toutes nos communications et nos alertes sur nos sites internet et les réseaux sociaux (@CGTAKKA) dénonçant la casse sociale à AKKA depuis des années et accélérée puis amplifiée par la crise sanitaire encore d’actualité aujourd’hui.

     

    Après la sortie hors PSE de près d’un tiers des salariés des effectifs en moins de 14 mois (2400 sur 7700 en France), la famille RICCI et la famille FRERE nouvellement arrivée (investissement de 150 Millions d’euros en décembre 2020 et parts rachetés par ADECCO en 2021 le double, soit environ 300 Millions d’euros…de quoi s’interroger…) décident de quitter le navire AKKA, les poches bien remplies. La CGT AKKA condamne ces individus qui ont profité de la crise sanitaire pour s’enrichir à très court terme par la destruction des emplois tout en bénéficiant d’aides financières publiques.

     

    Cette gestion « court termiste » a développé un management oppressif et offensif qui conduit encore actuellement à une surcharge émotionnelle et physique des salariés ayant pour conséquence la détérioration de leur santé alors que, comme le rappelle l’inspection du travail de la DDETS de Haute-Garonne : « L’employeur a pour obligation de mettre en œuvre des mesures d’organisation appropriées à la préservation de la santé mentale des salariés conformément aux principes généraux de prévention (articles L.4121-1 et L.4121-5 du Code du Travail). »

    Pendant que les capitaines sautent du navire, les salariés d’AKKA, la tête sous l’eau, écopent.

     

    Nous invitons les salariés d’AKKA à continuer à nous transmettre leur témoignage : cgtakka.france@gmail.com.

     

    La CGT AKKA félicite l’inspection du travail de la DDETS de la Haute-Garonne pour ses décisions et veillera à l’application de ces mises en demeure.

     

    Pour que cesse l’AKKAsse sociale, par le Droit et la Mobilisation !

     

    La CGT AKKA

     

    logo3DCGTAKKA.jpg

  • CGT AKKA : L'Akkasse sociale assumée par la Direction d'Akka continue! Condamnons-la toutes et tous ensemble!

    364852322.2.jpg

    Les propos scandaleux et assumés de la Direction d'Akka lors d'un tchat vidéo aux salariés toulousains le 22/10/2021 !
    L'Akkasse sociale en 20 mois a généré plus de 2400 départs dont la moitié contraints, soit presque 1/3 des effectifs en France et 5 PSE générant des risques psychosociaux élevés et un management déshumanisant ciblant les salariés au départ contraint. 
    Et que dit Benjamin Tichané, Directeur Régional Akka Occitanie :
    "On a du mal à recruter parce qu'on a un marché en France qui est pénurique au niveau des ingénieurs et donc il faut aller chercher les compétences là où elles sont. On peut mettre autant de recruteurs et de recruteuses qu'on veut, si le marché est pénurique, on touche un plafond de verre et donc il faut qu'on aille chercher les compétences là où elles sont. 
    En Inde, par exemple, il y a chaque année des centaines de milliers d'ingénieurs qui sont disponibles là où il y a des dizaines de milliers en France. Il faut qu'on casse les barrières qu'on peut avoir en tête et qu'on utilise beaucoup plus le off-shore que ce qu'on fait actuellement. Quant à notre capacité à recruter, on a un plan d'actions spécifiques sur le sujet parce que c'est devenu le nerf de la guerre."
    L'Akkasse sociale est loin d'être terminée!! Elle continue avec la bénédiction et le financement des pouvoirs publics :
    Ministère du Travail 
    Ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance 
    La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée 


    La lutte continue !
    Par le Droit et la Mobilisation !
    STOP au financement public de ces patrons voyous qui détruisent les salarié.e.s !
    STOP à la casse de nos techniciens et ingénieurs pour plus facilement exploiter la main-d'œuvre en Inde, Roumanie, Maroc et ailleurs!
    STOP à ce management qui dévalorise les salarié.e.s sans mission jusqu'à les virer pour des fautes construites, abusives !
    STOP

    La CGT Akka compte sur tous les salarié.e.s qui subissent ce management destructeur pour nous transmettre leur témoignage et condamner ainsi cette Direction irresponsable et dangereuse.

    Le résultat d'enquête d'une alerte pour danger grave et imminent, suite à l'hospitalisation d'un salarié toulousain en juillet dernier durant 1 mois et demi, démontre la pleine responsabilité du management d'Akka (enquête anonymisée à disposition des médias).

    La santé au travail n'est pas négociable!

    L'heure est à l'attaque et à la condamnation de toutes ces pratiques et de toutes ces personnes qui les mettent en oeuvre !

     

    cgtakka.france@gmail.com

  • Activité partielle à Akka... De l'argent public détourné contribuant à surévaluer la vente du groupe!

    962008819.jpg

    L'utilisation de l'argent public à des fins privés sans aucun contrôle, sans aucun objectif, sans aucun bilan ... On en parle ?

     

    "L’activité partielle est un outil au service de la politique publique de prévention des licenciements économiques qui permet à l’employeur en difficulté de faire prendre en charge tout ou partie du coût de la rémunération de ses salariés. Elle est encadrée par les articles L. 5122-1 et suivants et R. 5122-1 et suivants du code du travail. Ce dispositif a montré toute son efficacité pour soutenir l’emploi en période de baisse d’activité."

    (Source : https://travail-emploi.gouv.fr/le-ministere-en-action/coronavirus-covid-19/poursuite-de-l-activite-en-periode-de-covid-19/chomage-partiel-activite-partielle/article/fiche-activite-partielle-chomage-partiel )

    Bilan de l'activité partielle à Akka du 1er avril 2020 au 30 juin 2021:

    21 Millions d'€ d'aide publique
    + 912 départs contraints
    + 970 démissions
    + 5 PSE totalisant + de 300 suppressions de postes
    = LAKKAsse sociale financée par les contribuables avec la complicité du Ministère du Travail 

    Aujourd'hui, comme le dispositif de l'activité partielle doit prendre fin le 31/12/2021, AKKA veut mettre en oeuvre l'APLD (Activité partielle de longue durée) avec toujours et encore le financement de l'État. Dispositif que la Direction d'Akka a refusé de lancer pour éviter les 5 PSE en novembre 2020 sous prétexte que ce n'est pas adapté à nos métiers!!! 
    Comment les inspections du travail pourront homologuer ces dispositifs après autant de suppressions d'emploi ?!?
    Tout simplement parce qu'aucun bilan n'est demandé! 
    Pas de bilan sur l'activité partielle !
    Pas de bilan sur les formations (financées aussi par l'État)!
    Pas de bilan sur les risques psychosociaux dans le groupe Akka dont les salariés sans activité facturée se trouvent en situation de fragilité psychologique, d'autant plus durant toute cette crise sanitaire!

    Sans toutes ces aides publiques et toutes ces suppressions d'emploi, à combien serait valorisé le groupe Akka, racheté 2,1 Millards d'€ par le groupe Adecco!?!

    Arrêt des aides publiques à Akka!
    Remboursement de toutes les aides perçues!
    Arrêt de lAKKAsse sociale et mise en conformité du droit social à Akka!
    Revalorisation de tous les salaires!
    Semaine à 32 heures pour l'emploi de toutes et tous!

     

    https://www.lefigaro.fr/flash-eco/adecco-leve-232-millions-d-euros-pour-financer-le-rachat-d-akka-technologies-20210908

     

    Envoyez-nous vos réactions et témoignages : cgtakka.france@gmail.com

  • INTERSYNDICALE AKKA CFE-CGE CGT FO UNSA - COMMUNIQUE DE PRESSE DU MERCREDI 26 MAI 2021

     

    CGTAKKA-MANIF.jpg

    Télécharger le Communiqué de Presse de l'intersyndicale Akka CFE-CGC, CGT, FO et UNSA

     

    20210526-CDP-INTERSYNDICALE.jpg

    BANNIERE-INTERSYNDICAL.png

    Communiqué de Presse de l’intersyndicale AKKA

    CFE-CGC, CGT, FO, UNSA

     

    Blagnac, le 26 mai 2021

     

    Le PDG d'AKKA, Monsieur RICCI, s'est adressé aux salarié·es dans le cadre d'un "Virtual Tchat" ce 19 mai. Encore une communication à sens unique où les questions relatives aux PSE ont été littéralement et ouvertement écartées. Plus de 1000 salarié·es sont concerné.es par les PSE de 5 filiales en France pour plus de 300 licenciements envisagés, mais Monsieur ne veut pas en parler… Mauvais pour la vitrine AKKA !

    Alors nous allons en parler et en reparler ! Et plus globalement reparler de la casse sociale à AKKA :

    • Plus de 2000 départs de janvier 2020 à mars 2021, dont 1 millier sont des départs contraints ;
    • Plus d’1 millier de salariées sont en-dessous des classifications de la convention collective SYNTEC appropriées à leur diplôme, expérience, âge, responsabilité ;
    • En fin de mission, les salariées sont en danger de licenciement pour faute imaginaire ou refus de mobilité, ou mis au placard jusqu’à démission ;
    • Depuis 2014 et une décision unilatérale de la Direction, les frais professionnels de déplacement ne sont pas intégralement pris en charge par AKKA ;
    • Les salarié.es ne touchent ni d’augmentation cohérente à l’inflation et l’acquis de leur expérience et responsabilité, ni participation, ni intéressement depuis des années, pendant que la plus-value de leur travail est indécemment détournée vers les actionnaires et investisseurs ;
    • Une gestion des emplois et des parcours professionnels inexistante, sans moyens financiers, matériels et humains, privant les salariées de toutes perspectives ;
    • AKKA pratique le « Low-Cost » non seulement en France mais aussi à l’étranger avec plus de 80 ETP (Equivalent Temps Plein) prévus dès septembre 2021 en Inde et d’autres encore en Roumanie et au Maroc.

    L’entreprise aurait dû profiter de la crise sanitaire pour souder ses salarié·es, développer la solidarité et créer plus de liens, avec une gestion des ressources Humaines humanisante. Bien au contraire, AKKA a profité de l’isolement des salarié·es par le télétravail, le chômage partiel et les missions chez les clients pour accélérer ses restructurations : baisse de la masse salariale, fermeture d’établissements, lancement des PSE, réorganisation de l’encadrement, etc.

    Et pendant ce temps, l’argent public continue de couler à flot chez AKKA, avec la bénédiction des pouvoirs publics.

    Depuis 2013, plus de 170 Millions d’euros de crédits d’impôt (CICE, CIR) et depuis mars 2020 plus de 21 Millions d’euros de financement de l’activité partielle afin de « maintenir les emplois » ! Aujourd’hui, l’Etat continue à financer la casse sociale AKKA sans contraintes, ni contrôles. La Région Occitanie finance 1 Million d’euros pour le projet ERA (avion régional électrique) dont est partenaire AKKA. La Région Occitanie finance ainsi indirectement la casse sociale à AKKA, sans contraintes, ni contrôles.

    Ces situations insupportables doivent être combattues conjointement par la lutte avec l’ensemble des salarié·es, par la législation avec l’ensemble des politiques et par le Droit en multipliant les procédures auprès des tribunaux, afin que cessent définitivement la déshumanisation de l’Entreprise AKKA en France et le détournement de la richesse générée par le travail de toutes et de tous les salarié·es.

     

    banniere-CGT-AKKA.jpg

  • COMMUNIQUE DE PRESSE - Coordination CGT de l'Aéronautique - AKKA - Rassemblement et grève Mercredi 26 mai à partir de 10h

    Télécharger le Communiqué de Presse de la Coordination CGT de l'Aéronautique

     

    20210526-cdp.png

  • INTERSYNDICALE AKKA - ASSEMBLEES GENERALES DES SALARIES AKKA FRANCE ET MOBILISATION DU 26 MAI 2021

    Télécharger la communication de l'intersyndicale AKKA CFE-CGC, CGT, FO, UNSA

    BANNIERE-INTERSYNDICAL.png

    ASSEMBLEES GENERALES des SALARIE·ES AKKA FRANCE

    Visio-conférences de  12H30 - 14H00

    MERCREDI 19/05 : Paris, Guyancourt, Lezennes, Gonfreville L’Orcher

    JEUDI 20/05 : Belfort, Dijon, Strasbourg, Lyon, Eybens, Clermont-Ferrand, Bollène, Aix-en-Provence, Marignane, Marseille, La Valbonne, Cannes - La Bocca

    VENDREDI 21/05 : Toulouse, Blagnac, Pau, Montpellier, Mérignac, Pessac, Aytré, Nantes, Brest, Cesson-Sévigné

    Inscription via mail professionnel à cgtakka.france@gmail.com

    En communiquant votre adresse mail personnelle pour recevoir le lien de la visio-conférence.

    + de 200 millions d’euros d’argent public versés à AKKA depuis 2013 (création de l’UES AKKA France) en crédits d’impôt emploi et recherche dont 21 millions pour financer l’activité partielle.

    Quel est le but de ces versements ?!

    Assurer l’employabilité des salariés ?

    Développer des projets tout secteur ?

    Maintenir l’emploi ?

     

    Quels constats aujourd’hui ?

    • Dans le Groupe AKKA 2020 et 2021 sont des années éprouvantes pour l’ensemble des salarié·es, pour tous les collègues en pleine crise COVID, avec de nombreuses personnes isolées, dans des conditions improvisées de télétravail, et/ou par la violence de l’activité partielle qui perdure…
    • Une restructuration massive impactant toutes les filiales, tous les établissements. Des suppressions d’emploi sans précédent : +de 1000 départs contraints depuis janvier 2020, 4 fois plus de licenciements
    • 5 PSE (AKKA Ingénierie Produit, AKKA High Tech, Aéroconseil, EKIS, AKKA Services) : + d’1 millier de salarié·es concerné·es et +de 300 suppressions d’emploi !
    • +d’un millier de salarié·es ne sont pas associé·es à la bonne classification de la convention collective SYNTEC. Conséquence (possible) : des minimas salariaux non respectés depuis des années !
    • Intermission : la mobilité est imposée générant un stress supplémentaire dans cette période compliquée
    • Des frais professionnels à la charge des salarié·es (extrait alinéa 1 de l’article 50 de la CCN Syntec : « Les déplacements hors du lieu de travail habituel nécessités par le service ne doivent pas être pour le salarié l’occasion d’une charge supplémentaire ou d’une diminution de salaire.»
    • Les temps de trajets (agence/lieu de mission) ne sont pas considérés comme du temps de travail effectif. Selon la jurisprudence, ce temps est du travail effectif !
    • Pas d’entretien professionnel tous les deux ans pour trop de salarié·es, pourtant obligatoire depuis 2016.
    • Les formations (reskilling et autres) ne sont pas accessibles à toutes et tous, pourtant primordiales pour garantir notre employabilité.

     

    Une CASSE SOCIALE qui dure et perdure !

    Elle concerne tous les salarié·es : hier, aujourd’hui, demain ?!

    Nous vivons le commun de ces réalités, chacun dans son service, chacun dans son quotidien où que nous soyons en France. Pour ne pas se résigner à subir et à s’abimer individuellement, Pour s’épauler et compléter nos forces, Pour que nous, salarié·es, soyons dans les actions collectives à venir, Pour porter haut et fort nos revendications pour toutes et tous !

     

    Sous l’impulsion des salarié·es présents au rassemblement du 6 mai 2021, une nouvelle mobilisation a été votée pour le 26 mai, avec la participation de l’intersyndicale :

    BANNIERE-INTERSYNDICAL.png

    MOBILISATION le 26 mai 2021 !

    Appel national à la Grève / Débrayages à partir de 10h devant tous les établissements AKKA

    Toutes et tous ENSEMBLE, pour se soutenir, pour agir et pour exprimer notre résistance active contre cette casse sociale !

    GREVE-EXPLICATION.jpg

    Télécharger la communication de l'intersyndicale AKKA CFE-CGC, CGT, FO, UNSA

  • AKKA - Communiqué de presse Intersyndical CFE-CGC - CGT - FO - UNSA

    Télécharger le communiqué de presse

    BANNIERE-INTERSYNDICAL.png

    AKKA / Communiqué de Presse de l’intersyndicale CFE-CGC - CGT - FO - UNSA

     

    L’intersyndicale CFE-CGC - CGT - FO - UNSA demande encore à la Direction Générale AKKA de mettre un terme aux 5 PSE mis en œuvre par le groupe. De janvier 2020 à mars 2021, la casse sociale a provoqué le départ de 2000 salarié·es sur le périmètre France dont 1000 départs contraints en complément des PSE.

    Aujourd’hui, ces 5 PSE concernent encore 1024 salarié·es et 308 emplois seront supprimés par la Direction : 238 à Toulouse-Blagnac, 37 sur Le Havre, 20 en Ile de France et 13 à Lyon. Ces procédures  sont réalisées en dépit du bon sens et en totale contradiction avec certaines règles juridiques, voire même des règles morales. Par le droit auprès des inspections du travail et des tribunaux, et par la mobilisation des salarié·es, nous ne laisserons pas la Direction casser, en toute impunité, nos vraies valeurs qui ont contribué depuis tant d’années à enrichir les actionnaires.

    Il est temps de remettre l’humain au cœur de l’entreprise, par la lutte, par le Droit !

    Nous refusons ce principe de roulette russe et continuons à mettre tout en œuvre pour défendre nos métiers, nos compétences, nos expériences reconnus par nos clients et essentiels pour relever les défis actuels et à venir.

    Nous appelons tous les salarié·es, ainsi que les pouvoirs publics, les acteurs-trices locaux, les représentants de la région Occitanie, des villes de Toulouse et Blagnac, tous nos soutiens des derniers mois, à un rassemblement solidaire ce jeudi 6 mai 2021 à 12h devant les locaux d’AKKA Blagnac Andromède, 7 boulevard Henri Ziegler, avec prises de parole de 12h30 à 13h30.

    FIN DES 5 PSE !  FIN DE LA CASSE SOCIALE !

    POUR UN PLAN DE DEPARTS VOLONTAIRES GROUPE

    POUR UNE VRAIE GESTION DES EMPLOIS ET DES PARCOURS PROFESSIONNELS…

     

    Télécharger le communiqué de presse

     

  • AKKA - Communiqué de presse Intersyndical CFE-CGC - CGT - FO - UNSA

    Télécharger le communiqué de presse

    BANNIERE-INTERSYNDICAL.png

    AKKA / Communiqué de Presse de l’intersyndicale CFE-CGC - CGT - FO - UNSA

     

    L’intersyndicale CFE-CGC - CGT - FO - UNSA demande encore à la Direction Générale AKKA de mettre un terme aux 5 PSE mis en œuvre par le groupe. De janvier 2020 à mars 2021, la casse sociale a provoqué le départ de 2000 salarié·es sur le périmètre France dont 1000 départs contraints en complément des PSE.

    Aujourd’hui, ces 5 PSE concernent encore 1024 salarié·es et 308 emplois seront supprimés par la Direction : 238 à Toulouse-Blagnac, 37 sur Le Havre, 20 en Ile de France et 13 à Lyon. Ces procédures  sont réalisées en dépit du bon sens et en totale contradiction avec certaines règles juridiques, voire même des règles morales. Par le droit auprès des inspections du travail et des tribunaux, et par la mobilisation des salarié·es, nous ne laisserons pas la Direction casser, en toute impunité, nos vraies valeurs qui ont contribué depuis tant d’années à enrichir les actionnaires.

    Il est temps de remettre l’humain au cœur de l’entreprise, par la lutte, par le Droit !

    Nous refusons ce principe de roulette russe et continuons à mettre tout en œuvre pour défendre nos métiers, nos compétences, nos expériences reconnus par nos clients et essentiels pour relever les défis actuels et à venir.

    Nous appelons tous les salarié·es, ainsi que les pouvoirs publics, les acteurs-trices locaux, les représentants de la région Occitanie, des villes de Toulouse et Blagnac, tous nos soutiens des derniers mois, à un rassemblement solidaire ce jeudi 6 mai 2021 à 12h devant les locaux d’AKKA Blagnac Andromède, 7 boulevard Henri Ziegler, avec prises de parole de 12h30 à 13h30.

    FIN DES 5 PSE !  FIN DE LA CASSE SOCIALE !

    POUR UN PLAN DE DEPARTS VOLONTAIRES GROUPE

    POUR UNE VRAIE GESTION DES EMPLOIS ET DES PARCOURS PROFESSIONNELS…

     

    Télécharger le communiqué de presse

     

  • CGT AKKA - Salarié.e.s d'AKKA, il est désormais temps de passer à l'action !

    banniere-CGT-AKKA.jpg

    1252 salarié.e.s d'AKKA ont reçu début avril un mail déshumanisé de la "communication AKKA France" les invitant à participer dans la même journée à une réunion en visioconférence annonçant qu'ils/elles figuraient dans les catégories professionnelles concernées par les PSE à AKKA. Le surlendemain, ils/elles recevaient la confirmation par courrier postal.

    Ce que nous redoutions s'est produit.

    Chocs, coup de massue en pleine tronche, sentiment de trahison, d'abandon, d’isolement, d'injustice, perte de perspectives, perte de repères, incompréhension,  etc. puis, après un temps de digestion, nous voilà dans la construction de la réaction, de la riposte.

    Désormais deux possibilités :

    - soit les salarié.e.s d'AKKA se combattent entre-eux/elles pour défendre son propre nombril, sa légitimité à rester dans cette entreprise plutôt qu'un/une autre,

    - soit ils/elles se regroupent pour défendre le collectif, la force de travail qu'ils/elles représentent dans l'entreprise sans qui rien ne pourrait être produit.

    Vos témoignages, vos réactions légitimes, sont unanimes et convergeant.

    Nous appelons tous les salarié.e.s d'AKKA à être solidaires et à se lever contre cette Direction qui utilisent ses salarié.e.s comme de la main d'œuvre jetable, qui dénature la valeur Travail en dévalorisant ses salarié.e.s considéré.e.s uniquement comme des coûts en crise et qui détourne le fruit de leur Travail en dividendes lorsque tout va bien, qui récolte sans vergogne l'argent public servant au final à augmenter la cassette des actionnaires et investisseurs, à supprimer les emplois et à délocaliser d'autres pour des coûts et des conditions de travail moindres au Maroc, en Inde et en Roumanie.

    Nous appelons les salarié.e.s d'AKKA à se mobiliser pour refuser la roulette russe qu'implique tout PSE : les salarié.e.s concerné.e.s ont en moyenne une chance sur trois de se faire licencier !

    Au total Akka France, 441 suppressions d'emplois sur 1252 postes concernés.

    Toulouse : 360 suppressions d'emplois sur 844 postes concernés, soit presque 1 chance sur 2 !!!

    Le Havre : 38 suppressions d'emplois sur 51 postes concernés, soit 2 chances sur 3 !!!

    Paris : 5 suppressions d'emplois sur 127 postes concernés; soit 1 chance sur 25!

    Saclay : 25 suppressions d'emplois sur 181 postes concernés, soit 1 chance sur 7 !

    Lyon : 13 suppressions d'emplois sur 49 postes concernés, soit 1 chance sur 4!

     

    Voulez-vous prendre le risque sans rien faire, sans rien dire, en cédant votre destin à votre bourreau?

    Comment nous, salarié.e.s d'AKKA, pouvons-nous ne rien faire ?!?

    Comment pouvons-nous tourner le dos à nos collègues jeté.e.s en patûre ?!?

    Comment pourrons-nous nous croiser sans se dire que nous n'avons rien fait pour elles/eux?!?

    Aujourd'hui certain.e.s ne sont pas concerné.e.s mais demain... lorsque vous serez en période d'intermission et que votre hiérarchie vous fera ressentir que vous êtes un coût pour l'entreprise et qu'elle s'évertuera à vous culpabiliser, à vous harceler, à vous dévaloriser, jusqu'à ce que la sortie soit pour vous la meilleure solution car libératrice d'un étau qui se resserrait autour de vous..., qu'elle sera votre réaction ? Vers qui vous vous retournerez ? Appellerez-vous à la solidarité ?

    Des centaines de salarié.e.s ont été viré.e.s en dehors des PSE à AKKA car rien ne bouge, aucune réaction si ce n'est individuelle de désespoir. Aujourd'hui, nous sommes des centaines de salarié.e.s à réagir, à témoigner et désormais particulièrement motivé.e.s à se mobiliser !

     

    Ainsi, à l'appel d'une intersyndicale forte d'AKKA composée de la CFE-CGC/CGT/FO/UNSA, nous vous invitons à participer massivement à une après-midi de rassemblement :

    le jeudi 6 MAI 2021 à 12h00 

    7 boulevard Henri Ziegler - BLAGNAC

    avec prises de parole à partir de 12h30

    (En plus de l'attestation de déplacement, téléchargez et complétez l'attestation pour chacune des manifestations : 202104-Autorisation déplacement dérogatoire manifestation avril 2021.docx)

    - pour l'arrêt immédiat des PSE dans les filiales Aéroconseil, AKKA High Tech, AKKA Ingénierie Produit, AKKA Services et EKIS,

    - pour le retrait de la réforme de l'assurance chômage qui touchera tous les salarié.e.s dès le 1er juillet avec des impacts désastreux pour les contrats précaires jusqu'aux cadres,

    - pour une Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels valorisante et assurant l'employabilité de toutes et tous,

    - pour l'égalité professionnelle Femme / Homme durant tout le parcours professionnelle et au niveau salarial,

    - pour l'application immédiate des minimas salariaux de la Convention Collective SYNTEC pour tous les salarié.e.s d'AKKA et plus généralement de tous les salarié.e.s dépendant de la CCN SYNTEC (respect des dispositions des coef.115/130/150),

    - pour une réforme de la politique salariale d'AKKA dont la plus-value du travail ne sert que les investisseurs et actionnaires et non la reconnaissance du Travail,

    - pour le partage du temps de travail avec le passage à la semaine de 32 heures,

    - pour la valorisation des salarié.e.s en temps partiels qui doivent bénéficier des mêmes avantages que les salarié.e.s en temps plein proratisés, mettant fin à toutes les discriminations actuelles.

     Nous complèterons et finaliserons les revendications par vos retours : cgtakka.france@gmail.com

    Nous recueillons actuellement vos réactions, réclamations, revendications, propositions d'actions pour les jours suivants (grèves, journées d'action, mobilisation devant les inspections du travail, devant les principaux sites des donneurs d'ordre AIRBUS, SAFRAN, RENAULT, ALSTOM, ... montage d'une SCOP en ingénierie pour concurrencer AKKA avec ses salarié.e.s que le groupe met dehors ?!?). Toutes les idées seront les bienvenues.

    Ces actions seront concertées et votées en Assemblée Générale le 6 mai.

     

    Les Mobilisations à venir : 

    La CGT AKKA sera présente et interviendra lors de la MOBILISATION INTERPROFESSIONNELLE DU 23 AVRIL à 14H à Toulouse : Place De Gaulle (Mo Capitole) POUR LE RETRAIT DE LA REFORME DE L'ASSURANCE CHÔMAGE

    La réforme de l'assurance chômage... quel impact pour les salarié.e.s des sociétés d'études?

    Communication de la Fédération CGT des Sociétés d'Etudes :

    La réforme de l’assurance chômage un temps différée pendant la pandémie, devrait s’appliquer ce 1er juillet 2021. Le décret prévoit d’appliquer de nouvelles régressions pour limiter l’accession aux allocations chômage. Ce décret tourne autour notamment des mesures suivantes :

    Un nouveau mode de calcul du Salaire Journalier de Référence (SJR) d’où est tiré le montant de l’allocation. Il est destiné à faire des économies sur le dos des salarié.e.s. Ainsi, la baisse des indemnités chômage pourrait atteindre jusqu’à 17% en moyenne.

    L’allongement de 4 à 6 mois des seuils d’ouverture des droits à indemnisation. Cette mesure pourrait entrer en vigueur fin 2021, début 2022. C’est encore une nouvelle régression.

    La dégressivité des indemnités des cadres. Cette mesure inefficace pour le retour à l’emploi a déjà été en vigueur et supprimée en 2001. Elle va ainsi inciter les salarié.e.s à prendre des emplois moins qualifiés et moins rémunérés. Elle va donc injustement sanctionner ces salarié.e.s.

    En plus de l'attestation de déplacement, téléchargez et complétez l'attestation pour chacune des manifestations : 202104-Autorisation déplacement dérogatoire manifestation avril 2021.docx

     

    MOBILISATION DU 1er MAI : 

    La CGT AKKA sera présente dans les manifestations à l'appel des Unions Départementales CGT, de la Fédération CGT des Sociétés d'Etudes et de la Confédération CGT.

    Venez nombreux.ses nous rejoindre !

    A Toulouse, nous avons une banderole qui attend patiemment de faire une balade ! Les camarades d'AKKA qui veulent la brandir haut et fort, contactez-nous : cgtakka.france@gmail.com

     

    En plus de l'attestation de déplacement, téléchargez et complétez l'attestation pour chacune des manifestations : 202104-Autorisation déplacement dérogatoire manifestation avril 2021.docx

     

  • Communiqué de Presse - Intersyndicale AKKA CFECGC-CGT-FO-UNSA

    Télécharger le Communiqué de Presse de l'intersyndicale AKKA 

    Communiqué de Presse de l’intersyndicale AKKA

    CFE-CGC, CGT, FO, UNSA

     

    Blagnac, le 23 mars 2021

    MONTEBOURG / RICCI, complices ou frères ennemis ?

    L’intersyndicale AKKA CFE-CGC, CGT, FO, UNSA enjoint Monsieur Arnaud Montebourg à se prononcer fermement pour l’arrêt des PSE chez AKKA, et plus généralement de la casse sociale que nous subissons depuis plus d’1 an. Nous demandons aussi à Monsieur Arnaud Montebourg en sa qualité de représentant de la société « Les Equipes du Made In France », elle-même présidant la société SICEF, filiale d’AKKA Services, de se lever contre les délocalisations de nos emplois en Inde, en Roumanie et au Maroc. . Nous demandons enfin une rencontre avec Messieurs Arnaud Montebourg et Jules-Henri Morel (DG de la SICEF), pour les aider à rester des ardents défenseurs de l’industrie française.

    Nous condamnons les propos mensongers de Monsieur Ricci, PDG du Groupe AKKA, affirmant en direct le 17 mars dans un média, qu’il n’a « pas vu beaucoup les syndicats sur des solutions ». Pour voir les syndicats à l’œuvre, encore faut-il être ouvert aux propositions qui sont faites, être ouvert aux négociations loyales et concernant ces propositions. Faudrait-il aussi qu’il participe sincèrement aux réunions que nous avons provoquées dans le but de renouer un dialogue constructif ! En janvier déjà, nous condamnions Monsieur Ricci dans un communiqué de presse. Or, via ses représentants, il a refusé d’échanger sur toutes les solutions proposées par les syndicats alors qu’elles auraient pu maintenir les emplois et éviter les départs contraints :

    • C’est lui qui a refusé d’appliquer l’Activité Partielle de Longue Durée (APLD) sur 24 mois. Or cela aurait permis de conserver nos forces vives le temps de regagner des marchés et de développer la diversification, en multipliant des plans de formations ambitieux avec l’appui des collectivités telles que la Région Occitanie et la Région Normandie.
    • C’est aussi lui qui a refusé de lancer le Plan de Départ Volontaire que nous avons proposé dès novembre 2020. Ce plan aurait été plus attractif à ce moment-là car il aurait permis aux salariés de toutes les entités d’AKKA France de sortir dignement de cette ambiance anxiogène alimentée par la Direction Générale et donc autant de postes sauvés.
    • C’est toujours lui qui a refusé d’échanger sur d’autres dispositifs tels que le temps partiel, la réduction du temps de travail, l’échange de compétences avec d’autres entreprises, etc.

    Les syndicats ont été, sont et resteront force de proposition. Pour avancer dans le bon sens, il faudrait une Direction loyale, cohérente et respectueuse de ses salarié·e·s et ayant cette honnêteté intellectuelle digne d’un dirigeant contemporain conscient des enjeux du monde d’après. Monsieur Ricci se dit créateur de valeur alors qu’il supprime des postes par centaines ! Mais de quelles valeurs parle-t-il, si ce n’est de cette seule valeur individualiste et financière qui le pousse à capitaliser hors de France avec l’aide des fonds publics ?

    Les salarié·e·s créent la richesse de l’entreprise et les syndicats défendent la valeur humaine. Cette valeur humaine qui aurait pu faire d’AKKA, durant cette crise sanitaire, économique et sociale, une entreprise plus solidaire, plus grande et plus forte. Monsieur Ricci l’a refusé pour une gestion à court terme, destructrice mais soi-disant plus rentable. Les salarié.e.s démontreront que, sans elles, sans eux, toute solution sera un échec.

     

  • Coordination CGT de l'Aéronautique/T-Systems - Distribution de tracts JEUDI 11 MARS 8H00 Rond-Point de la Crabe

    T-Systems.....T-Viré !

    TOULOUSE - Jeudi 11 MARS à partir de 7h30 

    Distribution de tract au rond-point de la Crabe, entrée St Martin du Touch d’Airbus, pour mettre en évidence la responsabilité de la direction d'Airbus

    Les salarié.es de T-Systems sont en grève spontanée. 

    44 postes supprimés car T-Systems ferme le site de Toulouse (Golf Park - rocade Arc-en-ciel).

    Pourquoi ? Parce que Airbus a donné le contrat à un autre prestataire pour que ce dernier délocalise l'activité en Inde.

    En mai les salarié.es auront perdu leur emploi.  

    Ça n'est donc pas la Covid ou le transport aérien qui en est la cause mais bel et bien un choix délibéré et assumé d'Airbus!

     

    Télécharger le Communiqué de Presse de la Coordination CGT de l’Aéronautique Midi-Pyrénées

    Télécharger le tract de T-Systems

     

    FORCEDETRAVAIL.jpg

    AKKA est aussi concerné par la multiplication de l’usage de la sous-traitance dans les pays dits «à bas coûts». Les entreprises se permettent d’avoir recours à des PSE pour supprimer des centaines d’emplois locaux et travailler avec des centaines d'emplois sous-traités dans les pays "à bas coûts"! La faute de la crise sanitaire ?!?

    AKKA, ce sont 170 millions d'euros de crédits d'impôt (CICE/CIR) depuis 2013 et le financement par nos impôts de l'activité partielle depuis mars 2020!

    Les aides publics (nos impôts) doivent-elles permettre la délocalisation des emplois ?

    Les aides publics (nos impôts) doivent-elles permettre la suppression des emplois ?

    Les aides publics (nos impôts) doivent-elles être destinées au capital ?

    Les aides publics (nos impôts) doivent-elles permettre la suppression des emplois ?

    Les aides publics (nos impôts) doivent-elles être attribuées sans aucun contrôle ?

     

    Le législateur doit condamner ces « patrons voyous » qui détournent l’argent public pour un usage qui profite principalement au capital.

    La responsabilité des élu.e.s et candidat.e.s politiques est engagée : qui devez-vous représenter ? Les « patrons voyous » qui profitent de cette crise pour faire le grand nettoyage et augmenter à très court terme leurs profits, OU BIEN celles et ceux qui bossent et qui contribuent à la richesse de l’entreprise par leur savoir-faire !

     

    banniere-CGT-AKKA.jpg

  • INTERSYNDICALE AKKA - MOBILISATION DES SALARIES MERCREDI 24 FEVRIER BLAGNAC ANDROMEDE

    Télécharger le tract de l'intersyndicale AKKA : 20210224-TRACT-IntersyndicaleAkka.pdf

    20210224-Bandeau_IntersyndicaleAkka.png

    MOBILISATION DU 24 FEVRIER 2021

    L'intersyndicale d'AKKA CFE-CGC/CFTC/CGT/FO/UNSA organise un FORUM DE L'EMPLOI avec des STANDS DE RECRUTEMENT le mercredi 24 février de 12h à 16h devant les locaux AKKA : 7 bd Henri Ziegler à Blagnac (ZAC Andromède).

    Nous invitons les recruteurs/trices des entreprises "concurrentes"/partenaires et des donneurs d'ordre à venir rencontrer les salarié.e.s en quête d'avenir dans une entreprise respectueuse et reconnaissante de leurs compétences, de leurs "talents" !

    Un stand Presse sera aménagé pour répondre aux questions de nos correspondants des médias qui suivent et relaient notre lutte. 

    Prises de parole entre 12h30 et 13h00.

    Les représentants des organisations syndicales seront à votre disposition pour vous informer sur la procédure PSE en cours.

    1747 salariés toulousain d'AKKA vont recevoir une lettre de demande d'informations relative à la procédure PSE par la Direction d'AKKA dans les prochains jours/semaines. Un électrochoc supplémentaire dans ce contexte anxiogène lié à la crise sanitaire.

    La mobilisation est essentielle pour construire ensemble la lutte qui nous amènera jusqu'au maintien de tous les emplois.

    Chacun.e de vous à un rôle à jouer : la Solidarité est la clé pour exiger à cette direction de négocier des solutions alternatives à la destruction des emplois.

    La peur ne doit pas intérioriser notre force mais doit être justement extériorisée par la défense de nos droits ! 

    Nous appelons tous les salarié.e.s à venir défendre les emplois, nos métiers, notre bassin d'emploi.

    Nous appelons tous les camarades des syndicats (entreprises, unions locales, unions départementales) à venir nous rejoindre dans la lutte contre la casse sociale.

    Nous appelons les élu.e.s des collectivités territoriales, les représentants de la Mairie de Blagnac, de la Région Occitanie, nos députés qui défendent nos bassins d'emploi à l'Assemblée Nationale, les ministères du Travail et de l'Economie qui financent toutes les subventions et crédits d'impôt aux entreprises pour sauvegarder les emplois et non pour les détruire !

    Les aides publics doivent être stoppées dès lors qu'une entreprise décide de lancer un PSE !

    Il n'est pas question que nos impôts financent la destruction de notre propre emploi !

    Que proposent concrètement nos élu.e.s pour stopper cette hémorragie ? Les soutiens sont les bienvenus, les actions seront encore plus appréciées !

    Nous invitions les candidats aux prochaines élections pour nous parler de leurs solutions face à ces dirigeants qui utilisent l'argent public et le contexte sanitaire de pandémie pour accélérer leur restructuration programmée depuis plusieurs années (à AKKA : CLEAR22 de 2019 à 2022). Quel avenir dans l'industrie aéronautique et dans les autres secteurs dans le bassin toulousain ? 

    Pouvons-nous nous permettre de détruire des emplois ? 

     

    LA MOBILISATION EST ESSENTIELLE POUR PERMETTRE DE PRENDRE EN MAIN NOTRE AVENIR.

    NE SUBISSONS PAS, AGISSONS !

    banniere-CGT-AKKA.jpg

     

    20210224-tract-page1.png

    20210224-tract-page2.png

     

    Télécharger le tract de l'intersyndicale AKKA : 20210224-TRACT-IntersyndicaleAkka.pdf

     

  • Communiqué de Presse - Intersyndicale AKKA CFDT/CFE-CGC/CFTC/CGT/FO/UNSA

    Télécharger le Communiqué de Presse : 20210108-Communiqué-de-Presse-Intersyndicale_Akka.pdf

    INTERSYNDICALE-AKKA.png

    Communiqué de Presse de l’Intersyndicale AKKA  
    CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, UNSA 
     
    Blagnac, le 8 janvier 2021 
     
    Suite à l’annonce de 900 suppressions d’emplois chez AKKA, l’intersyndicale (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, UNSA) souhaite débattre d’alternatives concrètes à ce plan de restructuration. Mais la Direction reste sourde à nos demandes et se pose en seule victime de la crise actuelle. Or, sur certaines activités, les difficultés sont aussi liées à des choix stratégiques. 


    Au regard des pertes exceptionnelles constatées en 2020, ce plan vise une rentabilité à très court terme en conservant les objectifs d’avant crise. Le but est de rassurer les investisseurs et les actionnaires. En plus de détruire des centaines d’emplois, cela pourrait nuire à la pérennité de l’entreprise et peser lourdement sur les finances publiques.  


    Il existe des moyens, des outils, des dispositifs pour maintenir les compétences et éviter les départs contraints : Plan de Départs Volontaires, Activité Partielle de Longue Durée (APLD) … Nous serions ainsi au rendez-vous du redémarrage de l’activité. 


    En conséquence, l’intersyndicale demande la suspension du projet de restructuration et l’ouverture de négociations loyales pour étudier les solutions qui permettraient d’éviter un plan social.   


    Nous attendons aussi des pouvoirs publics qu’ils soutiennent les salariés des sociétés d’ingénierie sous-traitantes de l’aéronautique. 


    Nous invitons les salariés d’AKKA à se mobiliser pour appuyer cette demande, en espérant la présence des pouvoirs publics à leurs côtés. Une journée de mobilisation et d’échanges sera organisée le 21 janvier devant le site de Blagnac Andromède.