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Publications/Médias

  • Solidarité avec le peuple palestinien

    La CGT AKKODIS appelle à se rassembler lors de la Manifestation de solidarité avec le peuple palestinien le 2 décembre partout en France !
    En effet la CGT est signataire du Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens et nos revendications sont :
    – Halte aux massacres à Gaza et en Cisjordanie:
    – Cessez-le feu total, immédiat et permanent !
    – Arrêt définitif des bombardements et des déplacements forcés de la population !
    – Levée immédiate, complète et durable du blocus de Gaza !
    – Protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie !

    Retrouvez les nombreux points de rassemblement en France à cette adresse: https://www.cgt.fr/actualites/international/halte-aux-massacres-gaza-et-en-cisjordanie

     
  • SCOOP à AKKA !! Maurice RICCI, PDG AKKA Technologies : "J'aimerais qu'on aime un peu plus les ingénieurs en France" !

    Incroyable déclaration de Maurice RICCI, PDG du Groupe AKKA Technologies, qui risque de bouleverser les Négociations salariales engagées au sein des filiales du Groupe AKKA Technologies !

    Lors d'un échange avec le journaliste de BFM TV (vidéo fièrement exposée sur le site d'AKKA, à 10min30sec : http://www.akka.eu/fr/corporate/acc-coporate.php), ce même journaliste amène Maurice RICCI sur un terrain glissant...sur le sujet des salaires.

    Retranscription de l'interview :

    BFM TV  : ".... avec des ingénieurs aimés en Allemagne."

    Maurice RICCI : "J'aimerais qu'on les aime un peu plus en France ! "

    BFM TV : "Les aimer plus, ça veut dire les payer mieux ? "

    Maurice RICCI : "Exactement."

    Chapeau bas !

    Enfin un journaliste, connaissant les problèmes récurrents de la dévalorisation des salaires des ingénieurs en France, qui ose embarquer Maurice RICCI sur le sujet jusqu'à obtenir son consentement pour les "payer mieux" !

    Résultat : un mensonge de plus, en direct sur BFM TV et en ligne sur internet !!

  • CE QUE NOUS COÛTE LE CAPITAL - Une étude de la CGT à lire, à méditer et à partager !

    Vous trouverez dans cet hors-série de la CGT une étude expliquant en détails comment fonctionnent maintenant les entreprises et l'étau exercé par le cout du capital. A lire absolument pour mieux comprendre ce modèle qui dévalorise et affaiblit (physiquement, moralement et financièrement) les salarié-e-s.

    Télécharger le hors-série : CEQUENOUSCOUTELECAPITAL2013_12[1].pdf 

    CE QUE NOUS COÛTE LE CAPITAL

    Sommaire

    1- COMPRENDRE LA CRISE POUR EN SORTIR

    La gestion imposée aux entreprises depuis plus de trente ans, orientant les richesses créées vers les dividendes des actionnaires et vers les intérêts d’emprunt au détriment de l’investissement dans la recherche, l’innovation, le développement, la formation, l’emploi, les salaires… nous a précipités dans une crise dont les salariés paient le prix lourd.

    2- URGENCE SOCIALE ET ÉCONOMIQUE

    La CGT lance une grande campagne. Dans les entreprises et les branches, mais aussi en direction de la puissance publique. Elle propose un indice du coût du capital ; elle réclame le contrôle de l’utilisation des aides publiques aux entreprises et de nouveaux droits pour les  salariés.

    Une question de justice, mais aussi d’efficacité économique. Pour sortir enfin de la financiarisation des entreprises et de l’économie qui nous ont plongés dans la crise.

    3- LA RENTE INDUE DE LA FINANCE

    Le « coût du travail » sert d’alibi à toutes les politiques d’austérité. Le coût du capital, lui, est passé sous silence. Pourtant, son impact est exorbitant. Sur l’activité économique.

    Sur notre modèle social et environnemental aussi… Imposé notamment par les entreprises du CAC 40, il affecte jusqu’aux plus petites sous-traitantes, et même l’action publique.

    4- NOTRE RICHESSE DÉTOURNÉE

    Le coût du capital reste un tabou. Pourtant, il est depuis près de trente ans devenu prohibitif. Retour, avec l’un de ses auteurs, sur une étude qui tente de l’évaluer.

    Entretien avec l’économiste Laurent Cordonnier.

    5- ET LE MAL-TRAVAIL COMBIEN ÇA COÛTE ?

    Les mauvaises conditions de travail, les accidents et les maladies professionnelles coûtent des dizaines de milliards d’euros par an à la collectivité. Si l’on ajoute les atteintes psychiques et physiques qu’ils subissent, l’addition est lourde pour des millions de salariés.