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Actualités - Page 2

  • Flash CSE de janvier 2024

    AU SOMMAIRE du magazine joint:

    Page 1 – Les vœux de l’équipe CGT
    Page 2- Pourquoi l’accord de gestion des parcours professionnels d’AKKA ne mérite pas la signature de la CGT AKKODIS
    Page 5 – Perte de sens chez AKKODIS
    Page 6 – La CGT AKKODIS est maintenant sous Discord, les contacts et les liens

    CGT - FlashCSE - Janvier 2024.pdf

  • Revendications intersyndicales NAO salaires chez AKKODIS

    Les négociations chez AKKODIS sont en cours.

    Actuellement elles portent sur les augmentations de salaire, elles sont suivies la semaine prochaine de l'égalité professionnelle, puis la Direction a annoncé vouloir négocier le temps de travail.

    A l'initiative de la CGT, la plupart des organisations syndicales l'ont rejoint en intersyndicale.

    La première réalisation porte sur un socle de revendications communes, portant sur les 2 premiers sujets.

    En voilà le contenu:

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  • Solidarité avec le peuple palestinien

    La CGT AKKODIS appelle à se rassembler lors de la Manifestation de solidarité avec le peuple palestinien le 2 décembre partout en France !
    En effet la CGT est signataire du Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens et nos revendications sont :
    – Halte aux massacres à Gaza et en Cisjordanie:
    – Cessez-le feu total, immédiat et permanent !
    – Arrêt définitif des bombardements et des déplacements forcés de la population !
    – Levée immédiate, complète et durable du blocus de Gaza !
    – Protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie !

    Retrouvez les nombreux points de rassemblement en France à cette adresse: https://www.cgt.fr/actualites/international/halte-aux-massacres-gaza-et-en-cisjordanie

     
  • AKKODIS et handicap, la parole, et pas les actes

    AKKODIS, regroupement d'AKKA et de MODIS, est une société de prestation de service qui recrute des techniciens et des ingénieurs pour réaliser des études d'ingénierie pour des gros clients.

    Un salarié, Forest a été embauché avec le statut de travailleur handicapé en 2022. Il a réalisé une mission dans le centre de la France, à côté de chez lui. Pour lui, c'était important d'être à proximité de son domicile. Forest a été informé d'une mission chez un autre client, à côté, puis l'équipe commerciale ne lui en a plus parlé. Ensuite il a ensuite été placé sous AKKODIS Research, pour des projets internes, et toutes les missions sur lesquelles on lui a demandé de se positionner étaient loin, trop loin pour lui.

    En octobre 2023, Forest s'est vu notifier son licenciement pour faute grave, aux motifs qu'il a refusé plusieurs missions en déplacement et qu'il n'a pas utilisé l'outil de gestion des compétences Whoz en cours de déploiement dans l'entreprise.

    Effectivement, il a écrit qu'il ne pouvait pas s'y rendre à cause de son handicap.

    Effectivement, il a signé un contrat de travail dans lequel il est écrit que le lieu de travail n'est pas un élément essentiel du contrat de travail.

    Maintenant lisez cela: https://www.linkedin.com/posts/akkodis_chez-akkodis-votre-handicap-ne-sera-jamais-activity-7121043708644323328-U2LX?utm_source=share&utm_medium=member_android 

    AKKODIS s'affiche en pointe de l'inclusion des personnes handicapées.

    Oui, AKKODIS a embauché Forest, l'a affecté à une première mission. Mais quand il a fallu le repositionner, oui ça a été compliqué car il est moins "employable" que les autres.

    Alors sans humanité, l'employeur lui a rappelé les clauses de son contrat de travail, a constaté l'insubordination, et l'a renvoyé dans la case CHÔMAGE sans préavis.

     

    Le prénom a été changé pour assurer l'anonymat de la personne, mais le nom de l'entreprise est bien le bon.

    Cette histoire est vraie, mais elle est triste.

     

    AKKODIS va ouvrir une négociation pour renouveler l'accord handicap, signé unanimement côté AKKA par toutes les organisations syndicales en 2021, accord manifestement oublié depuis par certaines équipes commerciales.

    L’article sept de l’accord MODIS insiste pourtant sur les moyens du maintien dans l’emploi des salariés en situation d’handicape. AKKODIS qui fait partie du groupe ADECCO fait-elle du handiwashing ? Ce mot désigne les sociétés qui s’achètent une image de marque en vantant l’inclusion dans leurs effectifs, quand en interne peu de mesures sont effectivement mises en place.

  • POUR UNE CGT MAJORITAIRE AU CSE VOTEZ CGT AU 2ème TOUR !

    Salariés de l’UES AKKA France,
    votez massivement au deuxième tour pour votre liste CGT pour obtenir UNE MAJORITE au CSE qui défendra nos emplois et intérêts et mettra en œuvre notre programme socioculturel pour les salarié-es de toutes filiales de l’UES d’AKKA France.

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  • Elections professionnelles UES AKKA: votez CGT

    Merci à toutes et à tous !
    Grâce à votre vote, la CGT est toujours un syndicat représentatif au sein de l’UES AKKA France mais non majoritaire !
    Le taux de participation au 1er tour était faible, 25% de votants, n’a pas permis de désigner des élus car la loi exige au moins un taux de 50%.
    Il n’est pas trop tard !
    Un deuxième tour sera organisé du mardi 7 au 14 novembre
    À vos marques !

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  • Flash CSE spécial 1er tour des élections chez AKKA

    Les élections professionnelles UES AKKA-France

    Premier tour des élections
    du 17 octobre 2023 à 8h, au 24 octobre 2023 à 10h

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  • Flash CSE d'octobre

    Retrouvez des articles contre l'Inhumanité au Travail chez AKKA:

    • Premier Fléau : L'équilibre vie professionnelle / vie privée bafoué
    • Deuxième fléau : Le Micro-Management ou Management Toxique
    • Troisième Fléau : La Non-Prise en Compte des Risques Psychosociaux

     

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  • Lettre ouverte aux salariés : Appel à candidature pour les prochaines élections – Tour de France à la rencontre des salariés

    Bonjour les salariés,
     
    La Direction relance le processus des élections professionnelles CSE sur le périmètre de l’UES AKKA. Nous aurions préféré que ce soit sur le périmètre AKKODIS, qui correspond à une réalité de terrain, mais voilà, 4 organisations syndicales ont signées l’accord d’organisation des élections et c’est parti pour un dépôt des listes du 1er tour avant le 4 octobre.
    Le délai est donc court.
     
    Nous vous joignons l’appel à candidature, ainsi que le lien vers l’inscription pour des sessions d’une heure en visio « découvrir la CGT » : formation-decouvrir-la-cgt-formulaire-dinscription-1642440460
     
    Nous envisageons de faire un tour de France pour aller vous rencontrer. L’idée est d’aller où vous travaillez (lieu de mission, agence), ou vous donner rendez-vous dans une union locale CGT de proximité.
     
    Nous avons besoin de vous pour l’organisation. Je vous rassure, si vous le souhaitez vous pouvez nous aider tout en restant discret sur votre engagement, vous nous le direz.
    Déjà nous vous sollicitons pour vous porter candidat ou candidate sur une liste CGT AKKA.
     
    Ensuite, pour chaque étape du tour de France, nous aimerions aller là où vous travaillez :
    • il nous faudrait annoncer l’étape préalablement à vos collègues pour qu’ils ne soient pas surpris de nous voir débarquer. Donc si vous avez la liste de vos collègues d’AKKODIS, nous sommes preneurs, nous les contacterons
    • il faudrait réserver une salle.
      • Si vous connaissez une union locale CGT de proximité, il nous faudrait un contact à cette UL.
      • Sinon ou en complément
        • si vous êtes en agence, nous sommes preneur de nom du chef d’agence
        • si vous êtes en mission chez un client, et que la CGT y est implanté (regardez les panneaux d’affichage syndicaux), nous sommes preneur du nom d’un responsable syndical, nous lui demanderons de nous inviter et de nous aider à tracter
    Nous ferons notre tour de France en fonction des réponses évidemment, en privilégiant vos lieux de travail. Ce projet est donc à construire.
     
    Vous pouvez nous écrire sur le courriel de contact cgtakka.france at gmail.com (discrétion assurée) ou en téléphonant sur le téléphone de la CGT 06 67 95 74 61.
     
    Bien cordialement,
     
    Le secrétaire général adjoint CGT AKKA

  • MOBILISATION DU 6 JUIN 2023 - RÉFORME DES RETRAITES : IL EST TEMPS DE SORTIR DE L’IMPASSE

    Télécharger le tract pour la mobilisation du 6 juin 2023

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    Dans le monde qui vient, la question de la retraite demeurera centrale.
    Pourquoi ? Parce que nous subissons depuis la fin des années 1980 une succession de réformes qui ont eu et qui vont continuer à avoir pour conséquence de non seulement reculer l’âge de départ à la retraite mais également de baisser le niveau des pensions.
    Aujourd’hui nous atteignons un point critique avec une réforme imposée par un président isolé, arrogant et mal élu.

    Travailler plus longtemps et gagner moins ?
    C’est non et ce sera toujours non.

    La loi Seguin, les réformes Balladur, Juppé, Fillon, Woerth, Hollande, Macron et les nombreux accords Agirc/Arcco (dénoncés par la CGT) ont eu pour effet cumulé de faire augmenter la durée de cotisation (de 37.5 à 43 annuités), d’augmenter l’âge de départ (de 60 à 64 ans) et de baisser le niveau des retraites (voir ci-contre).
    Les effets cumulés de la baisse du taux de remplacement mais aussi de la désindexation des pensions liquidées (qui dans les faits ne suivent plus ni les salaires ni les prix) font s’effondrer le niveau de vie moyen des retraité·es avec une baisse encore plus violente pour les ingés, cadres, techs et agent·es de maîtrise.
    De plus, il faudra travailler jusqu’à 65 ans pour ne pas subir une décote de 10 % pendant 3 ans sur la retraite complémentaire Agirc-Arrco (qui représente 50 % de la retraite des cadres et assimilés).
    Enfin, le recul de l’âge de départ sur cette période n’a pas montré son efficacité sur l’emploi des sénior·es, bien au contraire !

    Lire la suite dans le tract

     

    Toutes et tous mobilisé.e.s pour défendre nos retraites !!!!

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  • POUR GAGNER LE RETRAIT : PARTOUT, DÉTERMINÉ·ES POUR UN 1er MAI MASSIF, UNITAIRE ET POPULAIRE !

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    Télécharger le tract pour la mobilisation du 1er mai

     

    Depuis plus de 3 mois, la mobilisation de millions de grévistes et de manifestant·e·s a mis en minorité le gouvernement et le président Macron. La très grande majorité de la population soutient l’action de l’intersyndicale contre le recul de l’âge de départ à la retraite pour toutes et tous.

    En s’obstinant, le président de la République et son gouvernement ne prennent pas la mesure des attentes des travailleuses et des travailleurs et ne répondent pas aux enjeux industriels et de développement des services publics. Pire, ils sont responsables de la crise sociale et environnementale qu’ils ne cessent d’aggraver.

    En participant massivement aux manifestations du 1er Mai, salariés, jeunes, retraités, privés d’emploi, famille, amis, voisins, collègues de travail, nous montrerons notre refus du passage en force de cette réforme qui nous impose un recul social sans précédent. Nous exprimerons notre colère en affirmant que « pour nous, 64 ans c’est toujours non ! ». Avec cette lutte, nous donnerons de l’espoir pour gagner sur les retraites, mais aussi pour augmenter nos salaires et nos pensions.

    L’URGENCE, C’EST D’AUGMENTER LES SALAIRES, PAS DE RECULER L’ÂGE DE DÉPART À LA RETRAITE !

    Ce 1er Mai est une journée de solidarité internationale pour la paix entre les peuples. À Paris des dirigeants syndicaux du monde entier seront présents pour montrer leur solidarité avec notre mobilisation.
    Le 1er Mai nous manifesterons aussi pour dire notre refus des idées d’extrême droite, du racisme et pour résister à celles et ceux qui distillent le poison de la division.
    Notre force c’est notre nombre : participons nombreuses et nombreux à ce 1er Mai exceptionnel pour maintenir la pression sur le gouvernement et le patronat afin que la loi ne soit pas appliquée !
    Pour gagner dans les semaines et les mois qui viennent, nous invitons tous les salarié·es et privé·es d’emploi, quel que soit leur métier, jeunes ou retraité·es, à se syndiquer pour ne plus être isolé·e, pour s’organiser collectivement dans leur entreprise, leur service et leur territoire.

  • Risques Psychosociaux : AKKA High Tech, filiale d'AKKODIS, condamnée par le Tribunal Judiciaire de Nanterre

    Le Syndicat CGT AKKA, représenté par Maître Fiodor RILOV, obtient devant le Tribunal Judiciaire de Nanterre le 12/04/2023 la condamnation de la société AKKA High Tech, filiale d'AKKODIS et d'ADECCO :
    «… Le juge des référés, statuant par ordonnance contradictoire, publiquement et en premier ressort :
     ENJOINT à la société Akka High Tech, dans le délai de quatre mois à compter de la signification de la présente ordonnance
      et sous astreinte de cinq cent euros par jour de retard, à procéder à adopter un plan de prévention
      des risques psycho-sociaux auxquels sont spécifiquement exposés les salariés. »

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    Télécharger le jugement du TJ de Nanterre

    Ceci n'est pas le fruit du hasard, ni d'une coïncidence si la CGT Akka a obtenu cette condamnation.
     

    LA CGT AKKA par

    - Les salarié.e.s

    - Les élu.e.s et la représentativité en découlant

    - Les salarié.e.s syndiqué.e.s

    - Ses représentant.e.s sur désignation des syndiqué.e.s :

    - Son secrétaire général

    - Ses délégué.e.s syndicaux/ales

    - Son représentant syndical au CSE UES AKKA FRANCE,

    - Ses camarades de la CGT Modis (Modis, filiale d'AKKODIS et d'ADECCO)

    Ensemble nous menons une quête pour la représentation de tous les salarié.e.s.

     

    Mais nous veillons également aux devoirs de l’employeur AKKODIS,
    notamment en terme de santé physique et mentale.

    Notre force c’est vous, c’est nous, ensemble.

    Conditions de travail, temps de travail, salaire, égalité F/H, équilibre travail/vie privée, retraite, …
     sont nos pulsations communes faisant battre le cœur de nos revendications partagées.

     
    Il est en réalité les effets d'une pugnacité inébranlable, née et exacerbée de salarié.e.s fragilisé.e.s et éprouvé.e.s par l'organisation de travail.
     
    Nous rappelons cet article du 17/10/2022, 4 jours avant le suicide d'un collègue de la société EKIS, autre filiale d'AKKODIS et filiale d'ADECCO.
     

    « Je ne veux pas y laisser ma peau » : Akka Technologies, machine à broyer les salariés?

     

    Et l'article de ce jour dans Le Monde :

    Extrait 1:

    Chez Akkodis, un dialogue social impossible sur fond de stress au travail 
    Le groupe d’ingénierie, anciennement appelé Akka Technologies, a été condamné par la 
    justice à mettre en œuvre un plan de prévention des risques psychosociaux. 

    Obtenir une juste représentation des salariés, cela fait dix ans que Marc Vicens mène le 
    combat devant les tribunaux. Malgré ses 6 000 salariés et 500 millions d’euros de chiffre 
    d’affaires en France, son employeur, Akka Technologies, devenu Akkodis en octobre 2022 
    depuis son rachat par Adecco, n’a jamais eu d’instance représentant l’unité économique et 
    sociale (UES) du groupe d’ingénierie, prestataire notamment d’Airbus. « Malgré les victoires 
    devant les tribunaux et les demandes de l’inspection du travail, il y avait une volonté 
    délibérée de l’ancienne direction de ne pas avoir d’instance au niveau du groupe », explique 
    Christophe Eychenne, l’avocat de Force ouvrière (FO)."

     

    Extrait 2 :

    « L’Akkasse sociale » 
    Regrettant « l’intérimisation de notre métier » et « “l’Akkasse sociale” » à laquelle cela conduit, Franck Laborderie, délégué CGT, réclame la mise en œuvre d’un « plan de prévention des risques psychosociaux sérieux et effectif ». La décision du tribunal judiciaire de Nanterre, qui a condamné le 12 avril la filiale Akka High Tech d’adopter, dans un délai de quatre mois, « un plan de prévention des risques psychosociaux auxquels sont spécifiquement exposés les salariés », va dans le sens de sa demande."

     

    Lire l'article d'Olivier Pinaud : 

    https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/04/21/chez-akkodis-un-dialogue-social-impossible-sur-fond-de-stress-au-travail_6170473_3234.html

     

     

  • Après 2 ans sans négociations salariales obligatoires, la CGT AKKA passe à l'offensive!

    Lettre ouverte à l’attention de la Direction d’AKKA:

    L’organisation syndicale CGT AKKA vous demande par la présente une demande d’ouverture sur le périmètre de l’UES de Négociations Annuelles Obligatoires (NAO) pour l’année 2022 et l’année 2023.

    Comme vous le savez, la loi impose aux entreprises de négocier chaque année avec les organisations syndicales sur les salaires, le temps de travail et l’égalité professionnelle. Ces négociations ont pour but de trouver un accord sur ces sujets afin de garantir une meilleure répartition de la valeur ajoutée de l’entreprise et de renforcer la cohésion sociale au sein de celle-ci.

    Nous souhaitons donc que ces négociations soient engagées dans les meilleurs délais, afin que tous les salariés de l’UES AKKA France puissent bénéficier rapidement des éventuelles avancées qui en découleront.

    Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire et pour convenir d’une date pour l’ouverture de ces négociations.

    Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.

    La CGT AKKA

    En copie par mail: l’inspection du travail de Lyon

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  • Il est temps que le gouvernement nous entende !

    Près de 2 millions de personnes, soutenues par 93% de la population, se sont de nouveau exprimées ce jeudi 6 avril en grève et dans la rue, pour dire non à la retraite à 64 ans. Prochaine journée de mobilisation le jeudi 13 avril 2023 à la veille des décisions du conseil constitutionnel.

     

    Les mots de la première Ministre Elisabeth Borne qui a reçu l'intersyndicale le 5 avril n’ont fait que renforcer la détermination des salariés, jeunes, privés d’emploi et retraités qui sont mobilisés depuis le 19 janvier.

    Il est temps que le gouvernement les entende.

    Rester sourd, rend ce gouvernement irresponsable, qui plus est quand dans l’unité, les organisations syndicales, ensemble, réaffirment leur exigence de retrait de cette réforme qui s’appuie sur une mobilisation toujours massive du monde du travail après la 11e journée de mobilisation en 3 mois.

    Des taux de grèves encore importants dans de nombreux secteurs, notamment chez EDF avec 30 % de grévistes.

    À ce titre, la CGT salue la décision du tribunal administratif de Rouen estimant que l'arrêté de réquisition à l’encontre des grévistes de la raffinerie Total Energies de Gonfreville- L'Orcher, en Seine-Maritime a porté une atteinte grave et manifestement illégale au droit de grève, et ordonné en référé la suspension des réquisitions.

    La CGT continuera de tout mettre en œuvre pour faire cesser la répression syndicale

    Dans les semaines à venir, la CGT continuera à exiger le retrait pur et simple de la réforme pour les milliers de salariés, jeunes, privés d’emploi qui croient à la victoire . Elle en appelle à la responsabilité du Conseil Constitutionnel, qui doit être attentif à la juste colère des travailleurs et travailleuses.

    Nous appelons le monde du travail à se mobiliser, partout dans les services et les entreprises, par des appels à la grève décidés en AG et à se mettre en grève et en manifestation le jeudi 13 avril 2023 à l’appel de l’intersyndicale et de poursuivre par des initiatives le 14 avril alors que le conseil constitutionnel rendra ses décisions concernant la réforme des retraites, et ce jusqu’au retrait.

  • Nouvelle journée de manifestations : 28/03/2023... Venez nombreux.ses !!!

    Télécharger l'appel à la grève et à la mobilisation du 28/03/2023

     

    3,5 millions. Les manifestations du 23 mars ont de nouveau atteint un record historique. Le pouvoir qui espérait mettre fin à la mobilisation avec le 49-3, est fébrile.
    Le 49-3 crée au contraire un électrochoc démocratique.
    La colère est énorme et les grèves s’étendent.
    Les raffineries, de nombreux établissements scolaires, de nombreuses industries sont en grève reconductible aux côtés de l’énergie, des services de propreté et des cheminot·es, notamment.  

     

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    Le 23 mars, les grévistes étaient très nombreux dans le privé, avec encore beaucoup de primo grévistes et de primo manifestant·es. Les cadres et professions intermédiaires sont très présent·es dans l’action, comme à Orange où des salarié·es étaient en grève pour dénoncer le plan de départ de 700 seniors. Notre mobilisation atteint de hauts lieux de pouvoir, comme à la Cour des Comptes où, pour la première fois, de haut·es fonctionnaires ont rejoint la grève !


    Étudiant·es et lycéen·nes arrivent en nombre dans les manifestations, un élément de plus pour nous donner confiance car on sait que la convergence jeunes/salarié·es est une des clés de réussite d’un mouvement. C’est ce qui, en 2006, a permis à la mobilisation contre le CPE d’être victorieuse, un mois après l’adoption de la réforme via un 49-3 !


    Au lieu de prendre acte du profond refus de la réforme et de la colère qui ne cesse de monter, le pouvoir jette de l’huile sur le feu et multiplie les provocations. Pour décrédibiliser le mouvement, pour faire diversion et ne plus parler de la réforme des retraites, le gouvernement adopte une stratégie de pourrissement. Il multiplie la répression avec des centaines de gardes à vue sans motif, il réquisitionne les grévistes et communique sur la prétendue violence des manifestant·es.
    Les droits de grève et de manifester sont des droits constitutionnels et ce sont le Défenseur Des Droits, les syndicats de magistrat·es, les organisations de défense des libertés (LDH, Amnesty international…) qui viennent de le rappeler au gouvernement. Le pouvoir a intérêt aux actions violentes pour occulter la mobilisation, ne tombons surtout pas dans ce piège ! Notre mobilisation a été exemplaire depuis trois mois. Ce gouvernement est seul responsable des débordements de ces derniers jours.
    Emmanuel Macron ment ouvertement dans son intervention. Il y a des alternatives ! Les organisations syndicales ont fait de nombreuses propositions de recettes supplémentaires pour les retraites qui permettraient de financer le retour à la retraite dès 60 ans avec 75 % du dernier salaire : l’élargissement de l’assiette de cotisations pour y intégrer toutes les primes telles que l’intéressement et la participation, l’égalité salariale femmes/hommes, la mise à contribution des dividendes, l’amélioration de l’emploi des seniors ou encore la légère augmentation des taux de cotisation.
    Mardi 28 mars prochain, l’intersyndicale appelle à une nouvelle journée de grève et de manifestations. Les actions et piquets de grève continuent d’ici là.
    Soyons au rendez-vous pour démontrer que tant que cette réforme n’est pas retirée, nous ne reprendrons pas le travail comme avant. Nous pouvons encore faire entrer de nouvelles personnes dans l’action. Nous pouvons aussi, chacune et chacun, élever d’un cran notre mobilisation, en reconduisant la grève pour l’inscrire dans la durée.
    La page de la réforme des retraites est loin d’être tournée. Tant que le gouvernement n’aura pas retiré ce texte, le pays sera ingouvernable. La question n’est donc plus de savoir s’il va le retirer mais quand et comment.
    En étant toujours plus nombreux et nombreuses dans l’action, l’enjeu est que le texte soit retiré au plus vite et qu’ainsi on puisse se consacrer aux vraies priorités, à commencer par les salaires, l’environnement et la fin du management par les coûts et du règne des actionnaires.