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CGT AKKA - Page 2

  • MOBILISATION DU 6 JUIN 2023 - RÉFORME DES RETRAITES : IL EST TEMPS DE SORTIR DE L’IMPASSE

    Télécharger le tract pour la mobilisation du 6 juin 2023

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    Dans le monde qui vient, la question de la retraite demeurera centrale.
    Pourquoi ? Parce que nous subissons depuis la fin des années 1980 une succession de réformes qui ont eu et qui vont continuer à avoir pour conséquence de non seulement reculer l’âge de départ à la retraite mais également de baisser le niveau des pensions.
    Aujourd’hui nous atteignons un point critique avec une réforme imposée par un président isolé, arrogant et mal élu.

    Travailler plus longtemps et gagner moins ?
    C’est non et ce sera toujours non.

    La loi Seguin, les réformes Balladur, Juppé, Fillon, Woerth, Hollande, Macron et les nombreux accords Agirc/Arcco (dénoncés par la CGT) ont eu pour effet cumulé de faire augmenter la durée de cotisation (de 37.5 à 43 annuités), d’augmenter l’âge de départ (de 60 à 64 ans) et de baisser le niveau des retraites (voir ci-contre).
    Les effets cumulés de la baisse du taux de remplacement mais aussi de la désindexation des pensions liquidées (qui dans les faits ne suivent plus ni les salaires ni les prix) font s’effondrer le niveau de vie moyen des retraité·es avec une baisse encore plus violente pour les ingés, cadres, techs et agent·es de maîtrise.
    De plus, il faudra travailler jusqu’à 65 ans pour ne pas subir une décote de 10 % pendant 3 ans sur la retraite complémentaire Agirc-Arrco (qui représente 50 % de la retraite des cadres et assimilés).
    Enfin, le recul de l’âge de départ sur cette période n’a pas montré son efficacité sur l’emploi des sénior·es, bien au contraire !

    Lire la suite dans le tract

     

    Toutes et tous mobilisé.e.s pour défendre nos retraites !!!!

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  • POUR GAGNER LE RETRAIT : PARTOUT, DÉTERMINÉ·ES POUR UN 1er MAI MASSIF, UNITAIRE ET POPULAIRE !

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    Télécharger le tract pour la mobilisation du 1er mai

     

    Depuis plus de 3 mois, la mobilisation de millions de grévistes et de manifestant·e·s a mis en minorité le gouvernement et le président Macron. La très grande majorité de la population soutient l’action de l’intersyndicale contre le recul de l’âge de départ à la retraite pour toutes et tous.

    En s’obstinant, le président de la République et son gouvernement ne prennent pas la mesure des attentes des travailleuses et des travailleurs et ne répondent pas aux enjeux industriels et de développement des services publics. Pire, ils sont responsables de la crise sociale et environnementale qu’ils ne cessent d’aggraver.

    En participant massivement aux manifestations du 1er Mai, salariés, jeunes, retraités, privés d’emploi, famille, amis, voisins, collègues de travail, nous montrerons notre refus du passage en force de cette réforme qui nous impose un recul social sans précédent. Nous exprimerons notre colère en affirmant que « pour nous, 64 ans c’est toujours non ! ». Avec cette lutte, nous donnerons de l’espoir pour gagner sur les retraites, mais aussi pour augmenter nos salaires et nos pensions.

    L’URGENCE, C’EST D’AUGMENTER LES SALAIRES, PAS DE RECULER L’ÂGE DE DÉPART À LA RETRAITE !

    Ce 1er Mai est une journée de solidarité internationale pour la paix entre les peuples. À Paris des dirigeants syndicaux du monde entier seront présents pour montrer leur solidarité avec notre mobilisation.
    Le 1er Mai nous manifesterons aussi pour dire notre refus des idées d’extrême droite, du racisme et pour résister à celles et ceux qui distillent le poison de la division.
    Notre force c’est notre nombre : participons nombreuses et nombreux à ce 1er Mai exceptionnel pour maintenir la pression sur le gouvernement et le patronat afin que la loi ne soit pas appliquée !
    Pour gagner dans les semaines et les mois qui viennent, nous invitons tous les salarié·es et privé·es d’emploi, quel que soit leur métier, jeunes ou retraité·es, à se syndiquer pour ne plus être isolé·e, pour s’organiser collectivement dans leur entreprise, leur service et leur territoire.

  • Risques Psychosociaux : AKKA High Tech, filiale d'AKKODIS, condamnée par le Tribunal Judiciaire de Nanterre

    Le Syndicat CGT AKKA, représenté par Maître Fiodor RILOV, obtient devant le Tribunal Judiciaire de Nanterre le 12/04/2023 la condamnation de la société AKKA High Tech, filiale d'AKKODIS et d'ADECCO :
    «… Le juge des référés, statuant par ordonnance contradictoire, publiquement et en premier ressort :
     ENJOINT à la société Akka High Tech, dans le délai de quatre mois à compter de la signification de la présente ordonnance
      et sous astreinte de cinq cent euros par jour de retard, à procéder à adopter un plan de prévention
      des risques psycho-sociaux auxquels sont spécifiquement exposés les salariés. »

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    Télécharger le jugement du TJ de Nanterre

    Ceci n'est pas le fruit du hasard, ni d'une coïncidence si la CGT Akka a obtenu cette condamnation.
     

    LA CGT AKKA par

    - Les salarié.e.s

    - Les élu.e.s et la représentativité en découlant

    - Les salarié.e.s syndiqué.e.s

    - Ses représentant.e.s sur désignation des syndiqué.e.s :

    - Son secrétaire général

    - Ses délégué.e.s syndicaux/ales

    - Son représentant syndical au CSE UES AKKA FRANCE,

    - Ses camarades de la CGT Modis (Modis, filiale d'AKKODIS et d'ADECCO)

    Ensemble nous menons une quête pour la représentation de tous les salarié.e.s.

     

    Mais nous veillons également aux devoirs de l’employeur AKKODIS,
    notamment en terme de santé physique et mentale.

    Notre force c’est vous, c’est nous, ensemble.

    Conditions de travail, temps de travail, salaire, égalité F/H, équilibre travail/vie privée, retraite, …
     sont nos pulsations communes faisant battre le cœur de nos revendications partagées.

     
    Il est en réalité les effets d'une pugnacité inébranlable, née et exacerbée de salarié.e.s fragilisé.e.s et éprouvé.e.s par l'organisation de travail.
     
    Nous rappelons cet article du 17/10/2022, 4 jours avant le suicide d'un collègue de la société EKIS, autre filiale d'AKKODIS et filiale d'ADECCO.
     

    « Je ne veux pas y laisser ma peau » : Akka Technologies, machine à broyer les salariés?

     

    Et l'article de ce jour dans Le Monde :

    Extrait 1:

    Chez Akkodis, un dialogue social impossible sur fond de stress au travail 
    Le groupe d’ingénierie, anciennement appelé Akka Technologies, a été condamné par la 
    justice à mettre en œuvre un plan de prévention des risques psychosociaux. 

    Obtenir une juste représentation des salariés, cela fait dix ans que Marc Vicens mène le 
    combat devant les tribunaux. Malgré ses 6 000 salariés et 500 millions d’euros de chiffre 
    d’affaires en France, son employeur, Akka Technologies, devenu Akkodis en octobre 2022 
    depuis son rachat par Adecco, n’a jamais eu d’instance représentant l’unité économique et 
    sociale (UES) du groupe d’ingénierie, prestataire notamment d’Airbus. « Malgré les victoires 
    devant les tribunaux et les demandes de l’inspection du travail, il y avait une volonté 
    délibérée de l’ancienne direction de ne pas avoir d’instance au niveau du groupe », explique 
    Christophe Eychenne, l’avocat de Force ouvrière (FO)."

     

    Extrait 2 :

    « L’Akkasse sociale » 
    Regrettant « l’intérimisation de notre métier » et « “l’Akkasse sociale” » à laquelle cela conduit, Franck Laborderie, délégué CGT, réclame la mise en œuvre d’un « plan de prévention des risques psychosociaux sérieux et effectif ». La décision du tribunal judiciaire de Nanterre, qui a condamné le 12 avril la filiale Akka High Tech d’adopter, dans un délai de quatre mois, « un plan de prévention des risques psychosociaux auxquels sont spécifiquement exposés les salariés », va dans le sens de sa demande."

     

    Lire l'article d'Olivier Pinaud : 

    https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/04/21/chez-akkodis-un-dialogue-social-impossible-sur-fond-de-stress-au-travail_6170473_3234.html

     

     

  • Après 2 ans sans négociations salariales obligatoires, la CGT AKKA passe à l'offensive!

    Lettre ouverte à l’attention de la Direction d’AKKA:

    L’organisation syndicale CGT AKKA vous demande par la présente une demande d’ouverture sur le périmètre de l’UES de Négociations Annuelles Obligatoires (NAO) pour l’année 2022 et l’année 2023.

    Comme vous le savez, la loi impose aux entreprises de négocier chaque année avec les organisations syndicales sur les salaires, le temps de travail et l’égalité professionnelle. Ces négociations ont pour but de trouver un accord sur ces sujets afin de garantir une meilleure répartition de la valeur ajoutée de l’entreprise et de renforcer la cohésion sociale au sein de celle-ci.

    Nous souhaitons donc que ces négociations soient engagées dans les meilleurs délais, afin que tous les salariés de l’UES AKKA France puissent bénéficier rapidement des éventuelles avancées qui en découleront.

    Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire et pour convenir d’une date pour l’ouverture de ces négociations.

    Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.

    La CGT AKKA

    En copie par mail: l’inspection du travail de Lyon

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  • Il est temps que le gouvernement nous entende !

    Près de 2 millions de personnes, soutenues par 93% de la population, se sont de nouveau exprimées ce jeudi 6 avril en grève et dans la rue, pour dire non à la retraite à 64 ans. Prochaine journée de mobilisation le jeudi 13 avril 2023 à la veille des décisions du conseil constitutionnel.

     

    Les mots de la première Ministre Elisabeth Borne qui a reçu l'intersyndicale le 5 avril n’ont fait que renforcer la détermination des salariés, jeunes, privés d’emploi et retraités qui sont mobilisés depuis le 19 janvier.

    Il est temps que le gouvernement les entende.

    Rester sourd, rend ce gouvernement irresponsable, qui plus est quand dans l’unité, les organisations syndicales, ensemble, réaffirment leur exigence de retrait de cette réforme qui s’appuie sur une mobilisation toujours massive du monde du travail après la 11e journée de mobilisation en 3 mois.

    Des taux de grèves encore importants dans de nombreux secteurs, notamment chez EDF avec 30 % de grévistes.

    À ce titre, la CGT salue la décision du tribunal administratif de Rouen estimant que l'arrêté de réquisition à l’encontre des grévistes de la raffinerie Total Energies de Gonfreville- L'Orcher, en Seine-Maritime a porté une atteinte grave et manifestement illégale au droit de grève, et ordonné en référé la suspension des réquisitions.

    La CGT continuera de tout mettre en œuvre pour faire cesser la répression syndicale

    Dans les semaines à venir, la CGT continuera à exiger le retrait pur et simple de la réforme pour les milliers de salariés, jeunes, privés d’emploi qui croient à la victoire . Elle en appelle à la responsabilité du Conseil Constitutionnel, qui doit être attentif à la juste colère des travailleurs et travailleuses.

    Nous appelons le monde du travail à se mobiliser, partout dans les services et les entreprises, par des appels à la grève décidés en AG et à se mettre en grève et en manifestation le jeudi 13 avril 2023 à l’appel de l’intersyndicale et de poursuivre par des initiatives le 14 avril alors que le conseil constitutionnel rendra ses décisions concernant la réforme des retraites, et ce jusqu’au retrait.

  • Nouvelle journée de manifestations : 28/03/2023... Venez nombreux.ses !!!

    Télécharger l'appel à la grève et à la mobilisation du 28/03/2023

     

    3,5 millions. Les manifestations du 23 mars ont de nouveau atteint un record historique. Le pouvoir qui espérait mettre fin à la mobilisation avec le 49-3, est fébrile.
    Le 49-3 crée au contraire un électrochoc démocratique.
    La colère est énorme et les grèves s’étendent.
    Les raffineries, de nombreux établissements scolaires, de nombreuses industries sont en grève reconductible aux côtés de l’énergie, des services de propreté et des cheminot·es, notamment.  

     

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    Le 23 mars, les grévistes étaient très nombreux dans le privé, avec encore beaucoup de primo grévistes et de primo manifestant·es. Les cadres et professions intermédiaires sont très présent·es dans l’action, comme à Orange où des salarié·es étaient en grève pour dénoncer le plan de départ de 700 seniors. Notre mobilisation atteint de hauts lieux de pouvoir, comme à la Cour des Comptes où, pour la première fois, de haut·es fonctionnaires ont rejoint la grève !


    Étudiant·es et lycéen·nes arrivent en nombre dans les manifestations, un élément de plus pour nous donner confiance car on sait que la convergence jeunes/salarié·es est une des clés de réussite d’un mouvement. C’est ce qui, en 2006, a permis à la mobilisation contre le CPE d’être victorieuse, un mois après l’adoption de la réforme via un 49-3 !


    Au lieu de prendre acte du profond refus de la réforme et de la colère qui ne cesse de monter, le pouvoir jette de l’huile sur le feu et multiplie les provocations. Pour décrédibiliser le mouvement, pour faire diversion et ne plus parler de la réforme des retraites, le gouvernement adopte une stratégie de pourrissement. Il multiplie la répression avec des centaines de gardes à vue sans motif, il réquisitionne les grévistes et communique sur la prétendue violence des manifestant·es.
    Les droits de grève et de manifester sont des droits constitutionnels et ce sont le Défenseur Des Droits, les syndicats de magistrat·es, les organisations de défense des libertés (LDH, Amnesty international…) qui viennent de le rappeler au gouvernement. Le pouvoir a intérêt aux actions violentes pour occulter la mobilisation, ne tombons surtout pas dans ce piège ! Notre mobilisation a été exemplaire depuis trois mois. Ce gouvernement est seul responsable des débordements de ces derniers jours.
    Emmanuel Macron ment ouvertement dans son intervention. Il y a des alternatives ! Les organisations syndicales ont fait de nombreuses propositions de recettes supplémentaires pour les retraites qui permettraient de financer le retour à la retraite dès 60 ans avec 75 % du dernier salaire : l’élargissement de l’assiette de cotisations pour y intégrer toutes les primes telles que l’intéressement et la participation, l’égalité salariale femmes/hommes, la mise à contribution des dividendes, l’amélioration de l’emploi des seniors ou encore la légère augmentation des taux de cotisation.
    Mardi 28 mars prochain, l’intersyndicale appelle à une nouvelle journée de grève et de manifestations. Les actions et piquets de grève continuent d’ici là.
    Soyons au rendez-vous pour démontrer que tant que cette réforme n’est pas retirée, nous ne reprendrons pas le travail comme avant. Nous pouvons encore faire entrer de nouvelles personnes dans l’action. Nous pouvons aussi, chacune et chacun, élever d’un cran notre mobilisation, en reconduisant la grève pour l’inscrire dans la durée.
    La page de la réforme des retraites est loin d’être tournée. Tant que le gouvernement n’aura pas retiré ce texte, le pays sera ingouvernable. La question n’est donc plus de savoir s’il va le retirer mais quand et comment.
    En étant toujours plus nombreux et nombreuses dans l’action, l’enjeu est que le texte soit retiré au plus vite et qu’ainsi on puisse se consacrer aux vraies priorités, à commencer par les salaires, l’environnement et la fin du management par les coûts et du règne des actionnaires.

  • Communiqué de presse de la CGT du 22/03/2023

    Télécharger le COMMUNIQUÉ DE PRESSE  de la CGT

    La colère est légitime ! Le Président est irresponsable !

    Le président de la République vient de confirmer, ce jour, au journal de 13h, le maintien de la loi sur le passage à 64 ans et les 43 années de cotisation malgré la revendication de son retrait par les organisations syndicales et les millions de manifestants qui, depuis des mois, font grève, manifestent dans le calme et la dignité.

    Il dit « écouter la colère » des Français après l'adoption contestée du texte par un 49-3 au Parlement, tout en affirmant que « la foule » n'a pas de « légitimité » face aux élus de la République et, comme s’il ne se passait rien, il déclare que cette loi poursuivra le chemin parlementaire…

    Le gouvernement espère que tout cela va se régler en lançant un débat sur la pénibilité du travail des séniors alors qu’il va réduire encore la possibilité pour des millions de travailleurs de partir en retraite en bonne santé… Il n’a eu de cesse de minimiser la crise sociale et politique actuelle dans le pays en la réduisant à une incompréhension.  

    Alors que les manifestations et mouvements de grève s’élargissent et se durcissent contre la réforme des retraites à travers la France, et que de nouveaux secteurs rentrent dans l’action à travers des grèves, des ralentissements de production, après le rejet de deux motions de censure – dont une à neuf voix près - véritable déni de démocratie parlementaire, il en appelle à la responsabilité des citoyens, des syndicats, des oppositions…

    Mobiliser 12 000 forces de l’ordre pour la grande journée de mobilisation interprofessionnelle unitaire de ce jeudi montre la fébrilité et l’absence de sérénité de ce gouvernement.

    Jusqu’où est-il prêt à aller dans son aveuglement ?

    Ce n’est plus du mépris, c'est de la folie !

    Alors que la crise sociale et politique s’installe, à quoi joue le chef de l’État ? Que cherche-t-il ? Des débordements issus de la colère ?

    Son intervention aura produit l’effet inverse de ce qu’il recherchait, il redonne encore plus d’énergie aux salariés, aux jeunes, aux retraités et même celles et ceux qui jusque-là n’étaient pas sortis.es dans la rue vont le faire !

    Il ne voit pas que rien n'entame la détermination de la population majoritaire jusqu’au retrait !

    La CGT appelle les travailleurs actifs, retraités, privés d’emplois et la jeunesse à participer massivement aux grèves reconductibles et aux manifestations sur l’ensemble du territoire, ce 23 mars et après si nécessaire.

    Montreuil, le 22 mars 2023

    Version en ligne disponible ici ➡️ https://urlz.fr/l61r

  • Tract Ugict-CGT d’appel aux ingés cadres techs sur la réforme des retraites

    Télécharger la communication de l'UGICT-CGT

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    Toutes et tous en grève, aux manifestations, mobilisé.e.s dans les entreprises !

     

     

     

  • CGT Akka - Campagne électorale 2ème tour des élections professionnelles UES AKKA France

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    De trop nombreux/ses salarié·e·s nous ont informé ne pas avoir accès à leur adresse mail professionnel ou n'arrivent pas à ouvrir le lien pour accéder aux communications syndicales ou ne reçoivent tout simplement aucune communication relative aux syndicats.

    C'est pourquoi nous passons par notre blog.

    Bonne lecture

    La CGT Akka

     

     

    Élections Professionnelles UES AKKA  France

    2ème Tour du 13 au 20 mars 2023

     

     

     

    La CGT a toujours agit pour vous : défense de vos droits, lutte contre les discriminations, conseils, …

     

     

     

    Quels sont les enjeux du 2ème tour ?

    Nous permettre d’être majoritaires au CSE pour engager nos actions :

    Contribuer au pouvoir d’achat            

    Dès le mois de juin : des chèques vacances à hauteur de 300€ minimum/salarié·e

    Subventions d’activités sportives, culturelles et sociales (ex. soutien scolaire, abonnement club, théâtre, etc.)

    Billetterie nationale subventionnée

     

     

     

    Favoriser les liens                        

    Organisation de rencontres conviviales avec les représentants du personnel : petits déjeuners, déjeuners, activités artistiques, bowling, karting, œnologie, arbre de Noël (avec le VRAI Père-Noël !), etc.

    Subventionner les sorties en groupe (voyages, week-end ski, musées, concerts, foires/évènementiels, etc.)

     

    Besoin d’aide pour voter, pour obtenir votre mot de passe, etc. : Contacter le n° vert 24h/24 et 7j/7 : 0805.03.10.21 (appel gratuit réservé uniquement aux salarié·e·s de l'UES AKKA France)

     

     

    Votre vote est confidentiel et personnel

    1560 salarié·e·s ont voté au 1er tour sur 5336.

    Nous remercions de tout cœur les salarié·e·s qui nous ont fait confiance.

    Il nous faut désormais convaincre les 3776 salarié·e·s qui n’ont pas voté !

     

     

     

     

    Quelques revendications issues des salarié·e·s :

    L’égalité professionnelle Femme-Homme

    Reconnaissance

    o Des années d’études pour la retraite

    o Du poste occupé

    o Des temps de transport (missions)

    Le remboursement des frais de mission à 100%

    Augmentation Générale des salaires (rétroactive au 1er mars) de 6% min.

    Le 13ème mois au même titre que nos clients

    Favoriser l’embauche auprès des clients

    Rééquilibrer vers la semaine de 4 jours (32 heures)

    L’équilibre Vie Privée/Vie Professionnelle

     

    Vos revendications sont les bases de nos revendications

     

     

     

     

     

    Pour un CSE actif, pertinent et efficace          

    Que vont devenir nos emplois avec « l’intérimérisation » de nos missions ?

    Quel avenir pour les CDI ?

    Que suppose l’externalisation des fonctions transverses (RH, Paie, Moyens Généraux, etc.) ?

    Quelle orientation stratégique veut prendre ADECCO pour ses sociétés du groupe AKKA et MODIS (AKKODIS) ?

           è Avec la CGT majoritaire, les salarié·e·s seront au premier plan.

     

     

     

    Sur ces sujets, vers qui se tournent les salarié·e·s ?

    Sous l’impulsion de la CGT majoritaire, le CSE sera acteur de la politique sociale de l’entreprise, ainsi que sur les conditions de travail et d’emploi.

     

     

    Joindre la CGT Akka : 06 67 95 74 61

     

     

    #jevotecgt

     

             

     

  • Communiqué intersyndical : Nouvelles manifestations le 11 et 15 mars contre la réforme des retraites

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    Le gouvernement doit dès maintenant retirer son projet !
    Depuis le 19 janvier, la population se mobilise massivement contre la réforme des retraites. Les
    différentes journées à l’appel de toutes les organisations syndicales et de jeunesse ont rassemblé
    des millions de travailleurs et travailleuses, jeunes et retraité.e.s.
    Le 16 février, face à l’absence de réponse du gouvernement et du président de la République,
    l’intersyndicale a appelé à mettre la France à l’arrêt le 7 mars. Elle est forte du soutien des 3/4
    de la population et de 94% des actifs qui refusent le recul de l’âge légal de départ à 64 ans et
    l’allongement de la durée de cotisations.
    Aujourd’hui encore, ce sont plus de 3 millions de travailleurs et travailleuses, du public comme
    du privé, jeunes et retraité.e.s, qui se sont mobilisés, par la grève et/ou la manifestation.
    C’est une journée historique par l’ampleur de ces grèves et de ces mobilisations. Des milliers
    d’écoles et de lieux d’études fermés, des entreprises privées, des administrations, et des villes
    à l’arrêt. Plusieurs centaines de manifestations et d’actions sur l’ensemble du territoire pour
    demander le retrait du projet de loi retraites.
    A ce jour, ces mobilisations énormes conduites par une intersyndicale unie n’ont reçu aucune
    réponse de la part du gouvernement. Cela ne peut plus durer. Le silence du président de la
    République constitue un grave problème démocratique qui conduit immanquablement à une
    situation qui pourrait devenir explosive. En responsabilité, l’intersyndicale adressera un
    courrier lui demandant à être reçue en urgence pour qu’il retire sa réforme.
    C’est forte de cette détermination exprimée aujourd’hui que l’intersyndicale soutient et
    encourage tous les secteurs professionnels à poursuivre et amplifier le mouvement.
    L’intersyndicale appelle à se saisir du 8 mars pour pointer la détérioration particulière de la
    situation des femmes avec ce projet de réforme. L’intersyndicale soutient l’appel spécifique des
    organisations de jeunesse à se mobiliser jeudi 9 mars et appelle à rejoindre les rassemblements
    et manifestations, notamment à Paris, place de la République.
    L’intersyndicale appelle à une nouvelle mobilisation interprofessionnelle ce samedi 11 mars
    puis dès la semaine prochaine, à une journée de manifestations et de grève, le jour de la
    Commission Mixte Paritaire, moment important du calendrier parlementaire. Elle appelle toute
    la population à continuer la mobilisation et les actions, encore plus massivement pour dire non
    à cette réforme injuste et brutale.
    Paris, le 7 mars 2023

  • "L'AKKAsse sociale" - Saison 4 Épisode 4 - Akka/Akkodis met fin aux instances représentatives du personnel

    L'AKKAsse sociale - Saison 4 Episode 4

     

    Décembre 2022

    Des sujets graves sont évoqués dans les différentes instances des filiales du groupe Akka dont particulièrement au CHSCT EKIS France qui a mandaté le cabinet Syndex pour une expertise "Risque grave", refusée catégoriquement par la direction jusqu'à assigner le CHSCT au tribunal judiciaire.

    Cette expertise avait été votée suite au suicide d'un salarié toulousain de la filiale d'Akka /Akkodis.

    Le 19 décembre, la direction d'Akka décide de mettre fin à toutes les instances d'Akka unilatéralement.

    Cette décision étant totalement illégale, seul un juge ayant le pouvoir de cette décision si et seulement s'il doit statuer sur cette question, la CGT Akka a adressé à plusieurs reprises un rappel au Droit à la direction puis saisi les inspections du travail.

    Les inspections du travail de Nanterre Paris La Défense, Lyon et Toulouse ont adressé un courrier commun d'injonction de reprise des instances dès le 23 décembre puis, ayant essuyé un refus, un deuxième courrier le 9 janvier 2023 en demandant, pour chacune des injonctions, de les partager aux représentants du personnel.

    Bien évidemment, la direction d'Akka s'est bien gardée de partager de tels courriers, alors que celle-ci fait croire à tout son personnel (service RH, encadrement, managers, etc.) qu'elle peut décider de mettre fin à des instances sans aucun jugement !

    Nul n'est censé ignorer la Loi.

    Les CE/CSE d'Akka Ingénierie Produit, d'Akka High Tech, d'Akka I&S, d'Aéroconseil et d'Ekis France ont assigné les sociétés respectives filiales du groupe Akka au Tribunal Judiciaire. La CGT s'est portée partie intervenante afin de condamner la direction d'Akka. L'audience prévue initialement le 14 février a été renvoyée au 7 mars à la demande de la direction. Il est évident que la direction d'Akka veut faire passer cette affaire après les élections professionnelles.

    En attendant, le personnel "encadrant" d'Akka se rend ainsi complice de ce management toxique en harcelant les représentants du personnel par des propos tels que : "Vous n'êtes pas sans savoir que vous n'avez plus d'heures de délégation puisqu'il n'y a plus d'instances!", et jusqu'à modifier les pointages des représentants pour les mettre en "intermission" sur l'outil interne d'Akka, ce même outil que l'inspection du travail a pointé du doigt, dans ses mises en demeure de décembre 2021, car illégale.

    Nous connaissons trop bien la gestion du personnel en "intermission" à Akka/Akkodis qui fera l'objet de l'épisode 5 de la saison 4 de notre série "L'AKKAsse sociale"...

     

    Télécharger le courrier d'injonction des inspections du travail du 23 décembre 2022

    Télécharger le courrier d'injonction des inspections du travail du 9 janvier 2023

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  • Communication de la CGT AKKA pour les élections professionnelles - UES AKKA France

    Télécharger notre communication de campagne

     

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  • Contre la réforme des Retraites : Grève, congé, RTT de 2h... et Manifestations du jeudi 16 février 2023

    A BORDEAUX, PARIS, TOULOUSE, LYON, partout en France,

    Mobilisation générale contre la réforme des Retraites !

    Carte des mobilisations en France : cliquer ICI

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    Questions et réponses : pour animer des débats publics sur la réforme des retraites

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  • 2020/2022 : rétrospective des Flash CSE - La CGT Akka au plus proche des salarié.e.s

    Cliquer sur l'image pour télécharger le Flash CSE de la CGT Akka

     

    1er Avril 2020 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/00/504170438.2.pdf

    FLASH-CSE-TITRE.png

    10 Avril 2020 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/01/1820844528.pdf

    20200410-CGT_FLASH_CSE_AKKAHT-UESAKKAFrance.jpg

    Mai 2020 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/02/490677953.pdf

    202005-FLASH-CSE-TITRE.png

    Juin 2020 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/02/02/3000429707.pdf

    202006-FLASH-CSE-TITRE.png

    Octobre 2020 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/02/02/2243038358.pdf

    202010-FLASH-CSE-TITRE.png

    Novembre 2020 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/01/916581262.pdf

    20201116-CGT_FLASH_CSE_1ERE-PAGE.jpg

    Mars 2021 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/02/00/3501345148.pdf

    20210301-CGT_FLASH_CSE_AKKAHT-UESAKKAFrance.jpg

    Juin 2021 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/02/3549787720.pdf

    202106-FLASH-CSE-TITRE.png

    Décembre 2021 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/01/02/1902467264.pdf

    20211201-FLASH-CSE-CGTAKKA.jpg

    Janvier/Février 2022 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/00/3565271525.pdf

    20220131-flash-cse-cgtakka.jpg

    Mai 2022 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/02/1780380600.pdf

    202205-FLASH-CSE-1EREPAGE.jpg

    Septembre 2022 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/02/1928977829.2.pdf

    202209-FLASH CSE CGT AKKA.png

    Octobre 2022 : http://cgtakkais.hautetfort.com/media/00/02/328029491.2.pdf

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