Mobilisation nationale le 1er octobre
Salaire, sens au travail, conditions de travail, retraite.
La CGT et son UGICT vous sollicitent pour construire la mobilisation pour le progrès social, chez #AKKODIS et ailleurs.
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Salaire, sens au travail, conditions de travail, retraite.
La CGT et son UGICT vous sollicitent pour construire la mobilisation pour le progrès social, chez #AKKODIS et ailleurs.
La #CGT #AKKODIS publie régulièrement des informations sociales pour tous les salariés, aide les salariés qui le souhaitent. Voilà le bilan pour la dernière période, il est plutôt flatteur.
#VOTEZ #CGT à partir de ce lundi 8h, c'est vous donner la sécurité de disposer d'élus CSE formés, compétents, actifs, acteurs du progrès social, pour les 4 ans à venir.
Télécharger le tract pour la mobilisation du 6 juin 2023
Dans le monde qui vient, la question de la retraite demeurera centrale.
Pourquoi ? Parce que nous subissons depuis la fin des années 1980 une succession de réformes qui ont eu et qui vont continuer à avoir pour conséquence de non seulement reculer l’âge de départ à la retraite mais également de baisser le niveau des pensions.
Aujourd’hui nous atteignons un point critique avec une réforme imposée par un président isolé, arrogant et mal élu.
Travailler plus longtemps et gagner moins ?
C’est non et ce sera toujours non.
La loi Seguin, les réformes Balladur, Juppé, Fillon, Woerth, Hollande, Macron et les nombreux accords Agirc/Arcco (dénoncés par la CGT) ont eu pour effet cumulé de faire augmenter la durée de cotisation (de 37.5 à 43 annuités), d’augmenter l’âge de départ (de 60 à 64 ans) et de baisser le niveau des retraites (voir ci-contre).
Les effets cumulés de la baisse du taux de remplacement mais aussi de la désindexation des pensions liquidées (qui dans les faits ne suivent plus ni les salaires ni les prix) font s’effondrer le niveau de vie moyen des retraité·es avec une baisse encore plus violente pour les ingés, cadres, techs et agent·es de maîtrise.
De plus, il faudra travailler jusqu’à 65 ans pour ne pas subir une décote de 10 % pendant 3 ans sur la retraite complémentaire Agirc-Arrco (qui représente 50 % de la retraite des cadres et assimilés).
Enfin, le recul de l’âge de départ sur cette période n’a pas montré son efficacité sur l’emploi des sénior·es, bien au contraire !
Lire la suite dans le tract
Toutes et tous mobilisé.e.s pour défendre nos retraites !!!!
Télécharger le tract pour la mobilisation du 1er mai
Depuis plus de 3 mois, la mobilisation de millions de grévistes et de manifestant·e·s a mis en minorité le gouvernement et le président Macron. La très grande majorité de la population soutient l’action de l’intersyndicale contre le recul de l’âge de départ à la retraite pour toutes et tous.
En s’obstinant, le président de la République et son gouvernement ne prennent pas la mesure des attentes des travailleuses et des travailleurs et ne répondent pas aux enjeux industriels et de développement des services publics. Pire, ils sont responsables de la crise sociale et environnementale qu’ils ne cessent d’aggraver.
En participant massivement aux manifestations du 1er Mai, salariés, jeunes, retraités, privés d’emploi, famille, amis, voisins, collègues de travail, nous montrerons notre refus du passage en force de cette réforme qui nous impose un recul social sans précédent. Nous exprimerons notre colère en affirmant que « pour nous, 64 ans c’est toujours non ! ». Avec cette lutte, nous donnerons de l’espoir pour gagner sur les retraites, mais aussi pour augmenter nos salaires et nos pensions.
L’URGENCE, C’EST D’AUGMENTER LES SALAIRES, PAS DE RECULER L’ÂGE DE DÉPART À LA RETRAITE !
Ce 1er Mai est une journée de solidarité internationale pour la paix entre les peuples. À Paris des dirigeants syndicaux du monde entier seront présents pour montrer leur solidarité avec notre mobilisation.
Le 1er Mai nous manifesterons aussi pour dire notre refus des idées d’extrême droite, du racisme et pour résister à celles et ceux qui distillent le poison de la division.
Notre force c’est notre nombre : participons nombreuses et nombreux à ce 1er Mai exceptionnel pour maintenir la pression sur le gouvernement et le patronat afin que la loi ne soit pas appliquée !
Pour gagner dans les semaines et les mois qui viennent, nous invitons tous les salarié·es et privé·es d’emploi, quel que soit leur métier, jeunes ou retraité·es, à se syndiquer pour ne plus être isolé·e, pour s’organiser collectivement dans leur entreprise, leur service et leur territoire.
Près de 2 millions de personnes, soutenues par 93% de la population, se sont de nouveau exprimées ce jeudi 6 avril en grève et dans la rue, pour dire non à la retraite à 64 ans. Prochaine journée de mobilisation le jeudi 13 avril 2023 à la veille des décisions du conseil constitutionnel.
Les mots de la première Ministre Elisabeth Borne qui a reçu l'intersyndicale le 5 avril n’ont fait que renforcer la détermination des salariés, jeunes, privés d’emploi et retraités qui sont mobilisés depuis le 19 janvier.
Rester sourd, rend ce gouvernement irresponsable, qui plus est quand dans l’unité, les organisations syndicales, ensemble, réaffirment leur exigence de retrait de cette réforme qui s’appuie sur une mobilisation toujours massive du monde du travail après la 11e journée de mobilisation en 3 mois.
À ce titre, la CGT salue la décision du tribunal administratif de Rouen estimant que l'arrêté de réquisition à l’encontre des grévistes de la raffinerie Total Energies de Gonfreville- L'Orcher, en Seine-Maritime a porté une atteinte grave et manifestement illégale au droit de grève, et ordonné en référé la suspension des réquisitions.
Dans les semaines à venir, la CGT continuera à exiger le retrait pur et simple de la réforme pour les milliers de salariés, jeunes, privés d’emploi qui croient à la victoire . Elle en appelle à la responsabilité du Conseil Constitutionnel, qui doit être attentif à la juste colère des travailleurs et travailleuses.
Nous appelons le monde du travail à se mobiliser, partout dans les services et les entreprises, par des appels à la grève décidés en AG et à se mettre en grève et en manifestation le jeudi 13 avril 2023 à l’appel de l’intersyndicale et de poursuivre par des initiatives le 14 avril alors que le conseil constitutionnel rendra ses décisions concernant la réforme des retraites, et ce jusqu’au retrait.
Télécharger l'appel à la grève et à la mobilisation du 28/03/2023
3,5 millions. Les manifestations du 23 mars ont de nouveau atteint un record historique. Le pouvoir qui espérait mettre fin à la mobilisation avec le 49-3, est fébrile.
Le 49-3 crée au contraire un électrochoc démocratique.
La colère est énorme et les grèves s’étendent.
Les raffineries, de nombreux établissements scolaires, de nombreuses industries sont en grève reconductible aux côtés de l’énergie, des services de propreté et des cheminot·es, notamment.
Le 23 mars, les grévistes étaient très nombreux dans le privé, avec encore beaucoup de primo grévistes et de primo manifestant·es. Les cadres et professions intermédiaires sont très présent·es dans l’action, comme à Orange où des salarié·es étaient en grève pour dénoncer le plan de départ de 700 seniors. Notre mobilisation atteint de hauts lieux de pouvoir, comme à la Cour des Comptes où, pour la première fois, de haut·es fonctionnaires ont rejoint la grève !
Étudiant·es et lycéen·nes arrivent en nombre dans les manifestations, un élément de plus pour nous donner confiance car on sait que la convergence jeunes/salarié·es est une des clés de réussite d’un mouvement. C’est ce qui, en 2006, a permis à la mobilisation contre le CPE d’être victorieuse, un mois après l’adoption de la réforme via un 49-3 !
Au lieu de prendre acte du profond refus de la réforme et de la colère qui ne cesse de monter, le pouvoir jette de l’huile sur le feu et multiplie les provocations. Pour décrédibiliser le mouvement, pour faire diversion et ne plus parler de la réforme des retraites, le gouvernement adopte une stratégie de pourrissement. Il multiplie la répression avec des centaines de gardes à vue sans motif, il réquisitionne les grévistes et communique sur la prétendue violence des manifestant·es.
Les droits de grève et de manifester sont des droits constitutionnels et ce sont le Défenseur Des Droits, les syndicats de magistrat·es, les organisations de défense des libertés (LDH, Amnesty international…) qui viennent de le rappeler au gouvernement. Le pouvoir a intérêt aux actions violentes pour occulter la mobilisation, ne tombons surtout pas dans ce piège ! Notre mobilisation a été exemplaire depuis trois mois. Ce gouvernement est seul responsable des débordements de ces derniers jours.
Emmanuel Macron ment ouvertement dans son intervention. Il y a des alternatives ! Les organisations syndicales ont fait de nombreuses propositions de recettes supplémentaires pour les retraites qui permettraient de financer le retour à la retraite dès 60 ans avec 75 % du dernier salaire : l’élargissement de l’assiette de cotisations pour y intégrer toutes les primes telles que l’intéressement et la participation, l’égalité salariale femmes/hommes, la mise à contribution des dividendes, l’amélioration de l’emploi des seniors ou encore la légère augmentation des taux de cotisation.
Mardi 28 mars prochain, l’intersyndicale appelle à une nouvelle journée de grève et de manifestations. Les actions et piquets de grève continuent d’ici là.
Soyons au rendez-vous pour démontrer que tant que cette réforme n’est pas retirée, nous ne reprendrons pas le travail comme avant. Nous pouvons encore faire entrer de nouvelles personnes dans l’action. Nous pouvons aussi, chacune et chacun, élever d’un cran notre mobilisation, en reconduisant la grève pour l’inscrire dans la durée.
La page de la réforme des retraites est loin d’être tournée. Tant que le gouvernement n’aura pas retiré ce texte, le pays sera ingouvernable. La question n’est donc plus de savoir s’il va le retirer mais quand et comment.
En étant toujours plus nombreux et nombreuses dans l’action, l’enjeu est que le texte soit retiré au plus vite et qu’ainsi on puisse se consacrer aux vraies priorités, à commencer par les salaires, l’environnement et la fin du management par les coûts et du règne des actionnaires.
Télécharger le COMMUNIQUÉ DE PRESSE de la CGT
La colère est légitime ! Le Président est irresponsable !
Le président de la République vient de confirmer, ce jour, au journal de 13h, le maintien de la loi sur le passage à 64 ans et les 43 années de cotisation malgré la revendication de son retrait par les organisations syndicales et les millions de manifestants qui, depuis des mois, font grève, manifestent dans le calme et la dignité.
Il dit « écouter la colère » des Français après l'adoption contestée du texte par un 49-3 au Parlement, tout en affirmant que « la foule » n'a pas de « légitimité » face aux élus de la République et, comme s’il ne se passait rien, il déclare que cette loi poursuivra le chemin parlementaire…
Le gouvernement espère que tout cela va se régler en lançant un débat sur la pénibilité du travail des séniors alors qu’il va réduire encore la possibilité pour des millions de travailleurs de partir en retraite en bonne santé… Il n’a eu de cesse de minimiser la crise sociale et politique actuelle dans le pays en la réduisant à une incompréhension.
Alors que les manifestations et mouvements de grève s’élargissent et se durcissent contre la réforme des retraites à travers la France, et que de nouveaux secteurs rentrent dans l’action à travers des grèves, des ralentissements de production, après le rejet de deux motions de censure – dont une à neuf voix près - véritable déni de démocratie parlementaire, il en appelle à la responsabilité des citoyens, des syndicats, des oppositions…
Mobiliser 12 000 forces de l’ordre pour la grande journée de mobilisation interprofessionnelle unitaire de ce jeudi montre la fébrilité et l’absence de sérénité de ce gouvernement.
Jusqu’où est-il prêt à aller dans son aveuglement ?
Ce n’est plus du mépris, c'est de la folie !
Alors que la crise sociale et politique s’installe, à quoi joue le chef de l’État ? Que cherche-t-il ? Des débordements issus de la colère ?
Son intervention aura produit l’effet inverse de ce qu’il recherchait, il redonne encore plus d’énergie aux salariés, aux jeunes, aux retraités et même celles et ceux qui jusque-là n’étaient pas sortis.es dans la rue vont le faire !
Il ne voit pas que rien n'entame la détermination de la population majoritaire jusqu’au retrait !
La CGT appelle les travailleurs actifs, retraités, privés d’emplois et la jeunesse à participer massivement aux grèves reconductibles et aux manifestations sur l’ensemble du territoire, ce 23 mars et après si nécessaire.
Montreuil, le 22 mars 2023
Version en ligne disponible ici ➡️ https://urlz.fr/l61r
Télécharger la communication de l'UGICT-CGT
Toutes et tous en grève, aux manifestations, mobilisé.e.s dans les entreprises !
Le gouvernement doit dès maintenant retirer son projet !
Depuis le 19 janvier, la population se mobilise massivement contre la réforme des retraites. Les
différentes journées à l’appel de toutes les organisations syndicales et de jeunesse ont rassemblé
des millions de travailleurs et travailleuses, jeunes et retraité.e.s.
Le 16 février, face à l’absence de réponse du gouvernement et du président de la République,
l’intersyndicale a appelé à mettre la France à l’arrêt le 7 mars. Elle est forte du soutien des 3/4
de la population et de 94% des actifs qui refusent le recul de l’âge légal de départ à 64 ans et
l’allongement de la durée de cotisations.
Aujourd’hui encore, ce sont plus de 3 millions de travailleurs et travailleuses, du public comme
du privé, jeunes et retraité.e.s, qui se sont mobilisés, par la grève et/ou la manifestation.
C’est une journée historique par l’ampleur de ces grèves et de ces mobilisations. Des milliers
d’écoles et de lieux d’études fermés, des entreprises privées, des administrations, et des villes
à l’arrêt. Plusieurs centaines de manifestations et d’actions sur l’ensemble du territoire pour
demander le retrait du projet de loi retraites.
A ce jour, ces mobilisations énormes conduites par une intersyndicale unie n’ont reçu aucune
réponse de la part du gouvernement. Cela ne peut plus durer. Le silence du président de la
République constitue un grave problème démocratique qui conduit immanquablement à une
situation qui pourrait devenir explosive. En responsabilité, l’intersyndicale adressera un
courrier lui demandant à être reçue en urgence pour qu’il retire sa réforme.
C’est forte de cette détermination exprimée aujourd’hui que l’intersyndicale soutient et
encourage tous les secteurs professionnels à poursuivre et amplifier le mouvement.
L’intersyndicale appelle à se saisir du 8 mars pour pointer la détérioration particulière de la
situation des femmes avec ce projet de réforme. L’intersyndicale soutient l’appel spécifique des
organisations de jeunesse à se mobiliser jeudi 9 mars et appelle à rejoindre les rassemblements
et manifestations, notamment à Paris, place de la République.
L’intersyndicale appelle à une nouvelle mobilisation interprofessionnelle ce samedi 11 mars
puis dès la semaine prochaine, à une journée de manifestations et de grève, le jour de la
Commission Mixte Paritaire, moment important du calendrier parlementaire. Elle appelle toute
la population à continuer la mobilisation et les actions, encore plus massivement pour dire non
à cette réforme injuste et brutale.
Paris, le 7 mars 2023
A BORDEAUX, PARIS, TOULOUSE, LYON, partout en France,
Mobilisation générale contre la réforme des Retraites !
Carte des mobilisations en France : cliquer ICI
Télécharger le tract d'appel à la grève et à la mobilisation
Analyse détaillée de la CGT concernant l’impact du projet de réforme des retraites sur les femmes.
Cliquer sur l'image :