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CGT AKKODIS - Page 14

  • JEUDI 16 NOVEMBRE : APPEL A LA MOBILISATION ET A LA GREVE CONTRE LA CASSE SOCIALE !

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    JEUDI 16 NOVEMBRE 2017

    TOUTES ET TOUS MOBILISES CONTRE LA CASSE SOCIALE !

    Pour cela, 3 syndicats d'AKKA se mobilisent, rejoignez-nous !!!

    Téléchargez l'appel à la mobilisation de l'intersyndicale AKKA CGT-CFDT-CFTC :

    tract_16NOV17+CGT+CFDT+CFTC.pdf

    Contactez vos Délégués Syndicaux pour connaître les points de rendez-vous.

    Pour TOULOUSE : 14h Place Arnaud Bernard

  • JEUDI 19 OCTOBRE : NOUVELLE JOURNEE DE MOBILISATIONS ET DE GREVES CONTRE LA LOI TRAVAIL XXL

    20171016-JOURNEEDU1910.png

    Télécharger le tract : 20171016 - Tract Loi travail XXL – journée de mobilisation du 19 octobre 2017 (SYNDICOOP.FR).pdf

  • AKKA ANNONCE UN RESULTAT HISTORIQUE !!! mais toujours RIEN POUR LES SALARIE-ES si ce n'est : "Merci pour votre travail" !!!

    COMMCGT.png

    Télécharger notre comm' : 20171004-tract_octobre_IS.pdf

  • ORDONNANCES MACRON : AVANT / APRES....

    AVANT-APRES.jpg

    Télécharger le document : 20170914-Affiches ordonnances - marges.pdf

     

     

     

  • ORDONNANCES MACRON C’EST NON !!! – JEUDI 21 SEPTEMBRE je fais grève et je vais manifester

    tract_21SEPV2_France.jpg

    Télécharger le tract de la CGT AKKA :

    ORDONNANCES MACRON C’EST NON !!! – Le 21 SEPTEMBRE je fais grève et je vais manifester.pdf

    Grève et Manifestation à TOULOUSE : 11h Place Arnaud Bernard

    ORDONNANCES MACRON C’EST NON !!! – Le 21 SEPTEMBRE je fais grève et je vais manifester!!.pdf

    Grève et Manifestation à Lyon : 11h30 Manufacture des tabacs

    tract_21SEPV2_AKKALyon.pdf

    Grève et Manifestation à Belfort : 10h Maison du Peuple

    Belfort Intersyndical 21 septembre.pdf

     

    Localement en dehors de ces 3 villes, vous pourrez avoir les informations sur les manifs en vous renseignant auprès des unions départementales et unions locales CGT (site internet).

  • CGT AKKA - Contre les ordonnances Macron...EN MARCHE le 12 septembre!!!

    Contre-les-reformes-MACRON_V_definitive-FRANCE.jpg

    Téléchargez notre appel pour la manisfestation et la grève du 12 septembre (filiales du Groupe AKKA) :

    20170906-Contre les réformes MACRON.pdf

    Téléchargez le tract unitaire de la CGT Haute Garonne :

    tract-unitaire-12-sept..pdf

    Téléchargez l'appel de la fédération CGT des Sociétés d'Etudes : 

    20170912-loi travail-fédérationCGT.pdf

     

    Pour TOULOUSE

    Rendez-vous

    Mardi 12 septembre à 14h

    Place Arnaud Bernard

     

     

  • Entreprise du secteur privé : droit de grève du salarié

    Le droit de grève est un droit reconnu à tout salarié dans l'entreprise. La grève est définie comme étant la cessation collective et concertée du travail en vue d'appuyer des revendications professionnelles. Elle entraîne une retenue sur le salaire du salarié gréviste (sauf exceptions).

    Salariés concernés

    Tout salarié d'une entreprise peut utiliser son droit de grève. Cependant, un salarié ne peut pas faire grève tout seul, sauf s'il accompagne une grève nationale.

    Il n'est pas nécessaire que la majorité des salariés ou tous les salariés de l'entreprise participent à la grève.

    Conditions

    Pour être valable, la grève doit réunir les 3 conditions suivantes :

    • un arrêt total du travail,
    • une concertation des salariés, donc une volonté collective (l'appel d'un syndicat à faire grève n'est pas nécessaire),
    • des revendications professionnelles (revendications salariales, portant sur les conditions de travail ou la défense de l'emploi par exemple).

    Si ces 3 conditions ne sont pas réunies, il n'y a pas exercice normal du droit de grève mais mouvement illicite. C'est le cas notamment :

    • des grèves perlées (travail effectué au ralenti ou dans des conditions volontairement défectueuses),
    • des grèves limitées à une obligation particulière du contrat de travail des salariés (sur les heures d'astreinte par exemple),
    • d'actions successives menant au blocage de l'entreprise sans arrêt collectif et concerté du travail,
    • des grèves fondées uniquement sur des motifs politiques.

    Le salarié participant à un mouvement illicite n'est pas protégé par le droit de grève. Il risque une sanction disciplinaire et peut être licencié sans que l'employeur ait à prouver une faute lourde.

    A savoir : une convention ou un accord collectif ne peut pas limiter ou réglementer l'exercice du droit de grève.

    Procédure

    Dans le secteur privé, un mouvement de grève peut être déclenché à tout moment. Les salariés qui veulent utiliser leur droit de grève n'ont pas à respecter de préavis.

    Une grève est licite même si elle n'a pas été précédée d'un avertissement ou d'une tentative de conciliation avec l'employeur.

    Attention : des règles particulières s'appliquent aux entreprises chargées d'un service public de transport de voyageurs ou dans le transport aérien.

    Durée

    Il n’existe aucune durée minimum ni maximum.

    La grève peut être de courte durée (1 heure ou même moins) ou bien se poursuivre pendant une longue période (plusieurs jours ou semaines). Elle peut être répétée.

    Par exemple, un arrêt total et concerté du travail d'1/4 d'heure toutes les heures pendant 10 jours relève d'un exercice normal du droit de grève.

    Actes interdits

    Les grévistes doivent respecter le travail des non-grévistes.

    Le blocage de l'accès à un site, l'occupation des locaux afin d'empêcher le travail des non-grévistes sont des actes abusifs. Il en va de même de la dégradation des locaux ou des matériels. De telles actions sont illégales et peuvent donc être sanctionnées pénalement, tout comme les actes de violence à l'encontre de la direction ou du personnel de l'entreprise.

    Les syndicats et les grévistes sont responsables des abus commis pendant une grève. L'employeur et les non-grévistes peuvent demander réparation en justice, notamment devant le conseil des prud'hommes et/ou le juge pénal compétent.

    Conséquences

    La grève suspend le contrat de travail mais ne le rompt pas, sauf en cas de faute lourde du salarié (participation personnelle et active à des actes illégaux).

    Aucun salarié ne peut être sanctionné, ni faire l'objet d'une discrimination (par exemple en matière d'augmentation de salaire) pour avoir fait grève. Tout licenciement motivé sur ce fondement est nul.

    L'employeur retient sur la paie du salarié une part du salaire et de ses éventuels accessoires (indemnité de déplacement, par exemple). La retenue sur la rémunération doit être proportionnelle à la durée de l'arrêt de travail. Toute retenue supérieure est interdite.

    Toutefois, dans certains cas, l'employeur doit payer son salaire au gréviste (si la grève a pour origine un manquement grave et délibéré de l'employeur à ses obligations ou si un accord de fin de grève l'a prévu).

    A savoir : l'exercice du droit de grève ne doit pas être mentionné sur le bulletin de paie du gréviste.

    Source : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F117

  • UES AKKA France : "Vous d'abord!"

     

     

    Communication de l'intersyndicale AKKA CFDT-CFTC-CGT : 20170602-TRACT INTERSYNDICAL_CFDT-CFTC-CGT.pdf

     

    Vous d'abord !

    Le 05 avril dernier, la Direction d'AKKA a convoqué l’ensemble des organisations syndicales en vue de négocier un nouveau Protocole d’Accord Pré-électoral pour les élections de l’Unité Economique et Sociale AKKA France.

    D’un côté les syndicats FO, UNSA et CFE-CGC favorables à une organisation des Comités d’Etablissement (CEt) par pôles métiers (Doc, Informatique, Process, etc) que nous appellerons les pro-pôles.

    De l’autre, les syndicats CFDT, CFTC et CGT favorables à une organisation des CEt en régions (les 6 régions connues jusqu’au 17 février 2017), dotés de compétences socio-économiques, que nous appellerons les pro-régions.

    Après plusieurs réunions, la Direction refusant de prendre position et souhaitant qu’une majorité entre les syndicats se dégage, les positions respectives ont engendré un statu quo.

    Rien ne nous paraissant plus démocratique que de tenir compte de votre écoute dans cette situation figée, nous, syndicats pro-régions, avons souhaité engager une démarche constructive basée sur un sondage et avoir votre avis à vous, les Salariés.

    Notre objectif à visée consultative est que vous, les Salariés, soyez acteurs de votre avenir : CEt par pôles métier ou bien CEt par régions ?

    Nous avons soumis cette proposition à nos collègues pro-pôles. L’idée a été immédiatement récusée sous prétexte que vous, les Salariés, n’auriez pas la maturité nécessaire ni les compétences pour apprécier ce qui vous concerne directement.

    Vous, les Salariés, femmes et hommes, responsables de famille, en charge de projets personnels et professionnels, qui vous exprimez lors des élections nationales ne seriez pas en mesure de comprendre les implications d’un choix social pour votre entreprise ?

    Vous, les Salariés, acteurs au quotidien de la vie d’AKKA France, ne seriez pas en mesure de comprendre que des CEt en région peuvent assurer l’équité entre les salariés des différentes sociétés, en termes d’activités socio-culturelles, autoriser leur croissance, avoir des représentants du personnel de proximité, avoir, selon le principe de subsidiarité, des centres de décisions au plus proche des salariés et des spécificités locales ?

    Vos syndicats pro-régions souhaitent revenir à l’essence même de foederare, la racine latine de fédérer, s’allier, unir les Hommes. Car aujourd’hui, nous devons passer du temps de l’intégration des entités à celui de la cohésion des salariés.

    Votre voix doit être consultée et entendue car les idées ne naissent que si elles sont partagées. Aussi, dans les prochaines semaines, nous allons tout mettre en œuvre pour organiser cette consultation.

    Nous invitons d’ores et déjà les syndicats pro-pôles à s’exprimer sur leurs motivations, sur les raisons de leur renoncement à l’expression démocratique.

    Et si une majorité de salariés pro-pôles ressortait de cette enquête d’opinion, nous serions prêts à assumer nos responsabilités pour honorer leur choix.

    Maurice Ricci, notre PDG, nous dit que « le meilleur moyen de prédire l’avenir est de le créer ». Nous pensons que le meilleur moyen de construire votre avenir au sein d’AKKA est de l’exprimer.

  • Les «Malta Files».... Maurice RICCI soucieux de réduire le coût de ses salariés... de son Yacht! Oui...et pas que de son Yacht!!!!

    Rappel politique salariale à AKKA : pas d'intéressement, participation 2014 environ 20€, participation 2015 à ZERO, participation 2016 à environ 150€, Négo annuelle : augmentation individuelle de 1,2%, pas d'augmentation collective depuis 2011, pas d'augmentation générale, soit des poussières de rien pour les AKKARIENS !!!

     

    et pendant ce temps.... la croisière s'amuse mais toujours à moindre coût !!!

     

    Les «Malta Files», une enquête sulfureuse sur «les coulisses d'un paradis fiscal» maltais

    Source : http://m.20minutes.fr/amp/a/2071887

     

    Treize journaux publient à partir de vendredi et pendant deux semaines les « Malta Files », plus de 150.000 documents confidentiels révélant les « coulisses de ce paradis fiscal méconnu », annonce Mediapart…

    Treize médias européens ont commencé vendredi à publier les « Malta Files », une enquête sulfureuse sur « les coulisses du paradis fiscal » maltais, que le gouvernement de La Valette, en pleine campagne électorale, a aussitôt rejetée en bloc.

    Le site français d'investigation Mediapart promet à travers cette enquête une « plongée dans les coulisses de ce paradis fiscal méconnu, qui préside jusqu’au 30 juin l’Union européenne », affirmant que la petite île de 430.000 habitants « prive les autres pays de 2 milliards d’euros de recettes fiscales par an ».

    Outre Mediapart, l’hebdomadaire allemand Der Spiegel, et les journaux portugais Expresso, espagnol El Mundo, italien L’Espresso, belge Le Soir, danois Politiken, maltais Malta Today et le média en ligne roumain The Black Sea figurent parmi le réseau de médias European Investigative Collaborations (EIC).

    Bouygues, Total, BASF et Ikea sur la liste ? 

    Selon Mediapart, l’enquête porte sur de « l’optimisation et de l’évasion fiscales, du blanchiment et de la corruption », et se base sur « la liste complète des personnes et entités impliquées dans les 53.247 sociétés immatriculées à Malte ». Parmi ces sociétés immatriculées dans l’île, figurent « de grands chefs d’entreprise », de multinationales telles que les groupes « Bouygues, Total, BASF, Ikea », des banques comme « Reyl et JP Morgan », affirme Mediapart.

    Selon le site, de grands patrons français auraient acquis des yachts et les auraient immatriculés à Malte afin de bénéficier d’une « fiscalité attractive », et de « charges sociales très basses qui réduisent le coût de l’équipage ». Mediapart cite Jean-François Decaux (JC Decaux), Maurice Ricci (Akka Technologies), Xavier Niel (Iliad-Free), Hubert Martigny (cofondateur d’Altran), Olivier Bertrand (groupe Bertrand) ou Stéphane Courbit (Lov Group) - dont « aucun n’a souhaité répondre » aux questions.

    Une enquête menée par 13 médias européens 

    Selon Der Spiegel, plusieurs groupes allemands détiendraient des sociétés immatriculées à Malte, comme BMW, BASF, Deutsche Bank, Puma, Merck, Bosch ou Rheinmetall. Le géant de l’aérien Lufthansa posséderait « 18 filiales à Malte », selon l’hebdomadaire allemand, qui écrit que l’entreprise y a installé sa « caisse de retraite ». Contactées par Der Spiegel, les entreprises concernées ont assuré que leur présence à Malte était « légale » et déclarée au fisc maltais. 

    Selon L’Espresso, l’Italie est « de très loin » le pays le plus représenté dans les « Malta Files », avec près de 8.000 sociétés maltaises contrôlées par des actionnaires italiens. L’enquête a mobilisé 49 journalistes pendant quatre mois, dont les « révélations » paraîtront durant « deux semaines ».

  • Négociation Annuelle Obligatoire (NAO) Cahier des revendications CGT sur le volet salarial et sur le temps de travail

    Introduction

     

    Depuis 2016, les NAO s’articulent autour de 3 volets :

    • la rémunération, le partage de la valeur ajoutée et le temps de travail ;
    • l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes et la qualité de vie au travail.

     

     

    La CGT avait souhaité que les négociations aient lieu dans chaque région, sur les périmètres des CEt élus en décembre, pour que les spécificités rencontrées par les salariés dans leurs bassins d’emploi soient toujours abordées et que les accords signés puissent être adaptés par région.

    La Direction a préféré que les négociations se fassent en central au niveau de l’UES. C’est dommage, les données sociales fournies par la Direction sont malheureusement nationales.

     

    Dans les pages qui suivent, voilà les revendications de la CGT AKKA sur le 1er volet :

    • Rémunération
    • Partage de la valeur ajoutée (participation, intéressement, primes)
    • Temps de travail

     

     

    La rémunération et les frais

     

    Les salaires

    Etat des lieux :

    En 2016, le groupe AKKA a généré 41M€ résultat (41 million d’euros). Il va probablement redistribuer aux actionnaires 12M€ via les dividendes. Reste 29M€, la part de la France est de moitié donc 15M€. La CGT revendique une redistribution de 8M€ pour les salariés, ce qui laisse encore un montant important pour assurer la croissance de l’entreprise.

    La CGT revendique :

    • 120€ d’augmentation générale
    • Des augmentations collectives pour les salariés qui n'ont pas eu d'augmentation
      • 1% pour ceux qui n’ont pas eu d'augmentation l'an dernier
      • 2% - - depuis 2 ans (attention l’augmentation de 10€ des AKKA I&S est exclue, c’est une compensation d’une perte, et non une augmentation)
      • 3% depuis 3 ans
      • etc…
    • Des rattrapages collectifs pour les bas salaires et révisant le coefficient
    • Pour les non-cadres en mission : ils font bien souvent le travail des cadres
      • Accéder au statut d’assimilé-cadre
      • Le passage en statuts cadre au bout de 2 ans de pratique
    • Pour tous les cadres
      • Salaire > plafond de la sécurité sociale, soit 3.269 euros en 2017
      • Promotion au coefficient 115 Syntec après 2 ans de pratique
      • Promotion au coefficient 130 pour les salariés expérimentés
      • Promotion au coefficient 150 pour les salariés qui encadrent
    • Des primes individuelles de résultats justifiées par le travail de l’année.

     

    Les frais

    La CGT revendique que :

    • Les frais indemnités kilométriques / repas / déplacements soient alignés sur le barème URSSAF (AKKA est nettement en dessous actuellement)
    • Les salariés puissent voyager pour leur travail sur leur temps de travail
    • Les accidents pour se rendre en mission soient des accidents de travail (conformément à l’obligation règlementaire)
    • Que la Direction retire sa décision unilatérale sur la compensation des temps de trajets excédentaires et ouverture des négociations loyales et sincères sur le sujet
    • L’ouverture d’une négociation sur les frais de déplacement au niveau de l’UES
    • La majoration de la valeur faciale des tickets restaurant de 8,80€ à 9,00€, avec une contribution patronale de 5,38€ (seuil max d’exonération en 2017)

     

    Le partage de la valeur ajoutée

     

    Après avoir consulté les salariés lors de 4 assemblées générales, la CGT annonce qu’elle ne signera pas le projet d’accord d’intéressement car la majorité des salariés consultés estiment que :

    • Le montant estimé est insuffisant (environ 210€ en 2018)
    • La MOP (marge opérationnelle) que la Direction veut calculer l’intéressement n’est pas un indicateur qui représente l’engagement des salariés
    • La répartition de l’enveloppe entre les salariés doit être identique (et non proportionnelle au salaire)

    La CGT revendique que l’enveloppe prévue pour l’intéressement (env 210*5000=1M€) soit transformée en augmentation générale (correspond à 17€ par mois).

     

    Le temps de travail

     

    La CGT revendique:

    • La semaine de 32 h sans diminution de salaire
    • La possibilité de faire les 32 h sur 4 jours, particulièrement pour les salariés qui ne rentrent pas chez eux le soir pour des raison de grand déplacement
    • La validation des congés par le manager de la même entité juridique
    • Faire en sorte qu’un salarié en grève n’ai pas besoin de diffuser cette information aux salariés des autres entités (c’est souvent le cas actuellement, et c’est interdit)
    • Que les déplacements se fassent pendant le temps de travail – et qu’il n’y ait pas de journée de travail > 10h y compris trajets
    • Pour la prise de congés : le respect partout des délais pour validation, que le salarié reçoive les raisons des refus par écrit
      Le respect de la convention collective (Art 26 : qui encourage la prise de congés pendant les vacances scolaires)
    • Que les congés enfant malade (jusqu'au 12 ans) soient rémunérés sur justificatif (article 29 de la CCN) jusqu’au 3ème jour.
      que des Congé puissent être pris sur le même principe par les salariés dont des parents âgés sont dépendants
    • AKKA doit mesurer le temps de travail effectué avec l’heure d’arrivée, la pause de midi, l’heure de départ, en mettant en place dans l’UES d’un outil de pointage (déjà en place chez EKIS, donc à étendre aux autres entités de l’UES).
    • La comptabilisation du temps de travail en heure et non en fraction de journée.
    • La possibilité de pointer les heures supplémentaires et le paiement des heures supplémentaires déjà effectuées cette année

     

     

     

    Ces revendications sont issues directement de nos échanges avec les salariés, qui nous interrogent par mail ou qui viennent nous rencontrer.

    Si vous avez des questions, vous pouvez nous contacter, vous serez les bienvenus.

    La force de nos propositions exposées en négociation vient de vous.