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CGT AKKODIS - Page 18

  • Employeurs....Absence de formation : attention danger !

    Source : Editions Tissot

    Un de vos salariés n’a pas suivi de vraie formation depuis plusieurs années ? Vous risquez de devoir lui verser de lourds dommages et intérêts. Récemment la Cour de cassation a ainsi condamné une entreprise à payer 5000 euros à l’un de ses salariés. Vous avez donc tout intérêt à détecter les salariés restés trop longtemps sans formation, notamment grâce aux entretiens professionnels.

    Une obligation de former ses salariés tout au long du contrat de travail

    Vous êtes tenu d’assurer l’adaptation de vos salariés à leur poste de travail et de vous assurer du maintien de leur capacité à occuper un emploi, au regard notamment de l'évolution des emplois, des technologies et des organisations (Code du travail, art. L. 6321-1).

    Cela passe en premier lieu par le fait de leur proposer des formations qui participent au développement des compétences.

    Il est primordial pour vous de proposer et même d’imposer à vos salariés de suivre des formations afin de veiller au maintien de leur capacité à occuper un emploi. Particulièrement quand de nouvelles méthodes de travail ou de nouvelles technologies ont vu le jour. C’est en effet le seul moyen pour vous de remplir votre obligation.

    Pas d’excuses en cas de manquement

    L’absence de formation d’un salarié vous expose à une condamnation quelle que soient les circonstances. Peu importe en effet que le salarié n’ait à aucun moment pris l’initiative de demander une formation. Ce n’est pas parce qu’un salarié ne manifeste pas l’envie de suivre une formation qu’il ne pourra pas ensuite vous reprocher de ne lui avoir jamais fait suivre une formation.

    Peu importe également que le salarié n’ait pas été confronté à une difficulté d’adaptation à son poste de travail.

    Le seul fait qu’un salarié reste des années sans formation suffit à vous mettre en tort.

    Et attention, plus le salarié a d’ancienneté, plus son préjudice sera élevé, et il sera particulièrement facile à démontrer si le salarié a fait l’objet d’un licenciement et qu’il se retrouve sur le marché de l’emploi…

    Illustration : Un salarié présent dans l’entreprise depuis au moins 16 ans n’a bénéficié que d’un seul stage de formation continue d'un jour. Pour la Cour de cassation, cela caractérise un manquement de l’employeur à son obligation de veiller au maintien de la capacité du salarié à occuper un emploi. Un manquement qui a coûté 5000 euros à l’employeur.

    Se servir des entretiens professionnels

    Vous avez l’obligation d’organiser un entretien avec chaque salarié, au moins tous les 2 ans, pour parler de son évolution professionnelle.

    Notez-le : L’entretien professionnel est l’une des nouveautés de la réforme de la formation de 2014. Les salariés déjà en poste au moment de cette réforme doivent tous avoir bénéficié d’un entretien au plus tard le 7 mars 2016.

    Au bout de 6 ans, cet entretien permet de faire un état des lieux récapitulatifs du parcours professionnel du salarié dans l’entreprise permettant notamment de vérifier que le salarié a :

    • bien bénéficié d’un entretien professionnel tous les 2 ans ;
    • suivi au moins une action de formation ;
    • bénéficié d’une progression salariale ou professionnelle ;
    • acquis des éléments de certification par la formation ou la validation des acquis de l’expérience.

    Sachant que dans les entreprises d’au moins 50 salariés, si le salarié n’a pas bénéficié d’au moins 2 de ces 3 dernières mesures ni des entretiens professionnels au cours des 6 dernières années, l’employeur peut être condamné à abonder le compte personnel de formation du salarié. Le défaut de formation au bout de 6 ans peut donc entrainer cet abondement sauf si le salarié a bénéficié à la fois d’une progression salariale ou professionnelle et d’une certification ou VAE.

    Pour éviter le double risque d’abondement du CPF et de dommages et intérêts pour absence de formation, vous avez donc tout intérêt à faire suivre à vos salariés au moins une formation tous les 6 ans.

    Cour de cassation, chambre sociale, 24 septembre 2015, n° 14-10.410 (l’employeur manque à son obligation de maintien de l’employabilité lorsqu’un salarié ne bénéficie en 16 ans que d'un stage de formation continue d'un jour)
    Cour de cassation, chambre sociale, 24 juin 2015, n° 13-28.460 (le fait qu’un salarié n'ait bénéficié d'aucune formation professionnelle continue pendant toute la durée de son emploi établit un manquement de l'employeur, même si le salarié n’a pas été confronté à une difficulté d'adaptation à son poste de travail)

  • S.S.I.I. - Heures sup: la Cour de cassation entérine la condamnation d'Altran

    Paris - La Cour de cassation a rejeté les pourvois engagés par le groupe de conseil en technologies Altran après sa condamnation en appel en 2014 à rémunérer des heures supplémentaires à des ingénieurs, dans un arrêt consulté jeudi et salué par la CGT.

    Dans son arrêt, mis en ligne, la plus haute instance judiciaire rejette les requêtes du groupe et la CGT a prédit un "tsunami" dans les bureaux d'études et de conseil.

    La Cour conforte le principe que seuls les salariés au moins rémunérés au plafond de la sécurité sociale (servant de base de calcul à certaines cotisations sociales, 38.000 euros annuel en 2015) peuvent relever du forfait horaire hebdomadaire fixé par la convention collective de la branche à 38h30 maximum.

    Signée en 1999, la convention Syntec prévoit trois modalités de rémunération: les 35 heures de base, le forfait hebdomadaire permettant 10% d'heures supplémentaires, soit 38h30, ou une autonomie complète pour les cadres au forfait jour.

    La CGT avait attaqué Altran aux Prud'hommes en faisant notamment valoir que des ingénieurs rémunérés sous le plafond de la sécurité sociale ne pouvaient relever de la deuxième modalité et réclamait par conséquent le paiement des heures supplémentaires entre 35h et 38h30.

    En septembre 2014, la cour d'appel de Toulouse avait condamné Altran à verser 630.000 euros de rappels de salaires à une vingtaine de salariés toulousains.

    Dans un communiqué, la CGT-cadres salue "une belle victoire" qui "devrait générer un petit tsunami" dans ce secteur où, selon le syndicat, des entreprises "usent et abusent des heures supplémentaires non payées".

    Il aura "une force de jurisprudence ultime pour les entreprises qui mettent au forfait horaire des salariés sans respecter la condition de salaire à l'embauche prévue par la convention collective", explique Loïc Deschamps, délégué syndical central CGT Altran.

    Pour le groupe, l'arrêt apporte "une clarification importante" qui "fixe de nouvelles règles pour toute la profession, employeurs comme salariés". "Altran va travailler dans les prochains jours à sa mise en oeuvre", indique l'entreprise à l'AFP.

    Environ 450 nouveaux recours aux Prud'hommes ont été, selon la CGT, déposés par des salariés d'Altran, soit un coût potentiel estimé par le syndicat entre 15 à 20 millions d'euros pour l'entreprise. Quelque 8.000 salariés sont susceptibles de réclamer le paiement d'heures supplémentaires, selon la CGT.

    Source : L'Expansion-L'Express

     

  • RETRAITE...ARRCO et AGIRC : travailler plus longtemps pour moins de pension!!

    COMMUNIQUE CGT DU 28/10/15

     

    Travailler plus longtemps pour moins de pension ?

    La CFTC, la CFE-CGC et la CFDT viennent de s’engager avec le Medef à signer le 30 octobre 2015 un accord amputant sérieusement vos droits à retraite.

     

    Travailler plus longtemps …

    Dès 2019, les salariés devront travailler une année supplémentaire au-delà de l’âge auquel ils ont leur retraite à taux plein. Sinon, ils se verront appliquer pendant trois années 10 % d’abattement sur le montant de leurs pensions sauf s’ils sont exonérés de CSG.

    … pour des niveaux de pension révisés à la baisse

    - avec un décrochage de 8,53 % du niveau des futures pensions

    - auquel s’ajoute les baisses de 26 % à l’AGIRC et 20 % à l’ARRCO déjà concédées depuis 1993,

    - le report au 1er novembre de l’indexation des pensions, soit un manque à gagner de 83 % sur les revalorisations annuelles.

    Dès 2019, disparition de l’AGIRC et fragilisation du statut cadre

    Le Medef refuse de financer l’AGIRC qui, de ce fait, aura épuisé ses réserves dès le 1er janvier 2018. Il s’ensuivra un siphonage des réserves de l’ARRCO pour payer une partie des retraites AGIRC, ce qui justifiera en retour une baisse drastique des pensions des cadres d’abord, de celles de l’ensemble des salariés ensuite.

    Mais ces mesures laissent subsister 2,3 milliards de déficit en 2020 et 4,1 milliards en 2030.

    D’où l’idée de remplacer les régimes ARRCO et AGIRC par un régime unique appelé à fonctionner comme le régime suédois. L’augmentation des cotisations étant interdite, l’équilibre du régime est obtenu en cumulant reports réitérés de l’âge de départ en retraite et, d’une année sur l’autre, baisses des pensions.

    Tous les salariés y seraient donc perdants, mais les cadres beaucoup plus que les autres avec :

    - la disparition de l’AGIRC, qui leur fournit en moyenne près de la moitié du total de leurs retraites

    - la disparition dès le 1er janvier 2019 de la Garantie Minimale de 120 Points (GMP) annuels de retraite versés aux cadres à bas salaire (36,4 % d’entre eux) : soit pour une carrière complète cotisée à la GMP une perte annuelle de 2089 euros

    - la fragilisation du statut cadre : l’AGIRC est en effet le seul organisme à opérer de manière interprofessionnelle et opposable aux employeurs une reconnaissance de ce statut fondée sur le niveau de formation exigé, les responsabilités exercées et l’autonomie dans l’exercice de ces responsabilités.

    En contrepartie de la disparition de l’AGIRC et la fragilisation du statut cadre, les cadres devraient se satisfaire de l’ouverture d’une négociation pour définir dans les branches professionnelles « la notion d’encadrement ».

    Continuons à défendre nos retraites et le statut cadre.

    La CGT est à votre disposition pour co-définir vos modalités d’intervention et faire entendre vos exigences, d’autant plus que :

    - d’ici le 30 octobre, il suffit qu’une seule organisation renonce à sa signature pour relancer les négociations sur de nouvelles bases

    - la majorité des dispositions n’intervenant qu’à partir de 2019, des alternatives existent pour résorber les déficits sans réduire les prestations.

    C’est ce que proposent la CGT et son UGICT avec deux mesures phares :

    - l’augmentation des taux de cotisation à l’AGIRC
    Soit pour un salarié percevant 4 000 € mensuels bruts, 7,72 € de plus cotisés chaque mois pour résorber 95 % du déficit.

    - la création d’une contribution patronale en faveur de l’égalité salariale femmes / hommes
    Calculée entreprise par entreprise, elle verrait son taux diminuer au fur et à mesure des efforts réalisés. Dès 2017, elle rapporterait 4,87 milliards d’euros.

    Ces deux mesures cumulées rapporteraient 7,13 milliards en 2017 et permettraient donc de combler les 6,7 milliards de déficit (chiffrages réalisés par la Direction technique de l’ARRCO et de l’AGIRC)

    Par ailleurs, l’UGICT-CGT met en débat des propositions pour un véritable statut cadre national et interprofessionnel fondé sur :

    - la reconnaissance et le paiement de la qualification

    - la reconnaissance de l’expertise et de la technicité

    - des droits nouveaux pour restaurer le rôle contributif des cadres dans l’entreprise

    - une retraite complémentaire concourant au maintien du niveau de vie lors du passage à la retraite

     

  • Aéronautique : Les salariés organisent les Etats Généraux de l’Aéronautique à quelques jours du salon du Bourget

    A quelques jours du salon du Bourget, la coordination CGT Airbus et sous-traitants organise les Etats Généraux de l'Aéronautique :

    mercredi 10 juin prochain à 13h
    à la Bourse du Travail
    place Saint-Sernin Toulouse

    voir invitation : Invitation Etats Généraux de l'aéronautique 10 juin 2015.pdf

    Experts, institutions, représentants des écoles et syndicalistes aborderont en détail les conséquences de la baisse de charge du bureau d'études Airbus et essayeront de dessiner les solutions pour sortir de la crise organisée de ce secteur, qui supprime 5000 emplois dans la plus grande discrétion alors que les carnets de commande sont pleins.

    Les directions se satisfont de cette situation où ils se débarrassent de salariés qui ont largement contribué au succès des programmes Airbus dans le but d'augmenter la rentabilité à leurs actionnaires.

    L'Etat ferme les yeux malgré les aides publiques massives qu'il octroie à cette filière (subvention, CIR, CICE).
    Les salariés eux, refusent ce tour de cash-crash et ont décidé de prendre leur destin en main.

    Ils proposent ce colloque qui permettra de montrer l’envers du décor de ce secteur et d'aller au-delà de la communication officielle qui ne manquera pas au cours du salon du Bourget.

    Ce sera aussi un moment de réflexion et d’échange sur les solutions et les pistes de développement industriel pour l’emploi et l’économie régionale.

     

    La Coordination CGT de l'aéronautique

    Les sociétés sous-traitantes d’AIRBUS se sont regroupées pour former la coordination CGT de l’aéronautique Midi-Pyrénées :

    AIRBUS - AIRBUS DEFENCE AND SPACE - AEROCONSEIL - AKKA - ALTRAN - ASSYSTEM - ATOS - AUSY - CAPGEMINI - CIMPA - GFI - IBM - LATECOERE SERVICES - MANPOWER - OSIATIS-ECONOCOM - POLYMONT - SAFRAN - SOGETI HIGH TECH - SOPRA – STERIA

     

    Contacts coordination:

     

    coord.aero.cgt.midipy@gmail.com

     

    Philippe Fernin (Airbus)

    06 03 41 28 10

     

    Robert Amade (Coordination Airbus/Sous-traitants)

    06 11 42 58 18

  • Don des salariés d'AKKA aux restos du coeur

    Pour protester contre la répartition inéquitable des résultats de l'entreprise AKKA entre ses salariés (qui n'ont que des miettes) et les actionnaires qui reçoivent l'essentiel du résultat, l'intersyndicale d'AKKA propose aux salariés de faire un don aux restos du cœur. 10, 15 ou 20€ (c'est le montant de la participation cette année), c'est beaucoup pour des personnes dans le besoin, et c'est ridicule par rapport au travail qu'accomplissent les collaborateurs AKKA.

    L'ensemble de ces chèques sera donné courant juin aux "resto du cœur" d'Ile de France, au cours d'une cérémonie relayée par la presse, qui sera chargée de faire écho à ces actes symboliques.

    Télécharger l'appel des organisations syndicales : 

    participation_2015 AKKA IS.pdf

  • Mercredi 10 juin 2015 : Etats Généraux de l’aéronautique en Midi-Pyrénées

    La coordination CGT Airbus-SSII-ST-BE invite tous les salariés, les syndicats, et les représentants de la société civile

    à participer aux

    Etats Généraux de l’aéronautique en Midi-Pyrénées

     

    le Mercredi 10 juin 2015 de 13h00 à 18h00

    Bourse du Travail, salle Jean JAURES,

    Place St Sernin, Toulouse

     

    Voir ci-après l’invitation : Invitation Etats Généraux de l'aéronautique 10 juin 2015.pdf

     

    Merci de renvoyer votre inscription à :

    Coordination Aéro MidiPy Cgt : coord.aero.cgt.midipy@gmail.com

    CT SSII : CAPARROS Jean-Pierre : jean-pierre.caparros@altran-so.net

    CGT Airbus : Xavier PETRACHI : xavier.petrachi@airbus.com

  • Journée d'action interprofessionnelle le 9 avril contre les reculs sociaux

    Posez une journée de grève, et allez rejoindre les manifestations organisées à Paris, Toulouse, Lyon notamment.

     

    Tract CGT

     

  • "Un ovni du 19ème siècle!" - Gérard Filoche démolit la loi Macron

    Nous entendons parler beaucoup de la loi Macron : travail le dimanche, mis en place de bus pour les voyageurs pauvres etc. … mais ce n’est pas tout !
     
    Regardez cette petite vidéo, écoutez Gerard Filoche et vous saurez ce qui nous attend avec la loi Macron et que ne disent pas les medias :
     
     
    ou
     

  • Le vrai visage d'AKKA... : Akka Technologies licencie 9 syndicalistes

    L’UGTM (Union Générale des Travailleurs du Maroc) estime qu’il s’agit d’une mesure visant à dissuader les salariés de se syndiquer. Les négociations se poursuivent.


    Un responsable syndical au sein d’Akka Technologies a informé Médias 24 de la décision de licenciement prise à l’encontre de 9 salariés de l’entreprise. Selon notre source, ces 9 salariés ont été empêchés d’accéder aux locaux de l’entreprise depuis le 18 décembre dernier. “Ces 9 personnes sont actives au sein de notre syndicat UGTM, et ce licenciement est un combat contre les droits syndicaux et une tentative de dissuasion du personnel de rejoindre le syndicat” a affirmé à Médias 24, un responsable syndical, salarié de l’entreprise et qui a requis l’anonymat.


    Ce lundi, la direction de l’entreprise, les responsables syndicaux, et les 9 personnes en question avaient rendez-vous chez l’inspection du travail de Casablanca. “L’inspecteur du travail a proposé deux options : le retour des syndicalistes syndiqués ou procéder à la rédaction d’un procès-verbal de conflit social” explique notre source.
    Et d’ajouter :” Akka Technologies a préféré la séparation de ses salariés”. Cette procédure nécessitera la présence des services du gouverneur de Casablanca Anfa.


    Au sein des locaux de l’entreprise, la tension monte d’un cran depuis la décision. Pour exprimer leur désaveu de ce licenciement, les salariés de l’entreprise, plus d’une centaine, portent un brassard rouge depuis vendredi dernier. “Nous attendons la suite des négociations arbitrées par l’inspecteur du travail pour prendre les décisions conséquentes” affirme notre source syndicale.


    Nous avons tenté de joindre la direction de l’entreprise pour avoir sa version, la direction n’a jusque-là pas répondu à nos demandes d’explication.


    Akka Technologies s’est implantée au Maroc en 2008, elle opère dans l’ingénierie documentaire, l’informatique et les systèmes embarqués et l’ingénierie de process à l’adresse des secteurs automobile, aéronautique et spatial.

    Source : article de Medias24.com – 22-12-2014

  • Déclaration fédérale du 7/01/15 sur l’attentat contre l’hebdomadaire CHARLIE HEBDO

    La Fédération CGT des Sociétés d’études est atterrée par l’attentat perpétré, ce jour, à l’encontre de l’hebdomadaire satirique CHARLIE HEBDO, ayant entraîné la mort de plus d’une douzaine de personnes, membres du journal ou de la police. Nous apportons tout notre soutien et notre solidarité à ce journal face à cet attentat odieux et intolérable.

    Notre organisation condamne cet acte criminel qu’aucune idée politique ou religieuse ne peut légitimer.

    Nous rappelons notre fervent attachement à liberté de pensée et d’expression dans notre pays que rien ni personne ne pourra confisquer.

    Nous apportons notre soutien aux familles endeuillées.

    Fichier à consulter : Déclaration fédérale sur l’attentat contre l’hebdomadaire CHARLIE HEBDO

  • CGT AKKA IS - Indemnités de Congés Payés

    Lors de la réunion du CE AKKA IS, les élus ont demandé à la Direction des informations relatives à la règle d’application du mode d’indemnisation des congés payés : 1/10ième ou maintien de salaires.

    La Direction a expliqué que l’indemnité de Congés payés est égale au dixième de la rémunération perçue par le salarié au cours de la période de référence. Elle ne peut être inférieure au montant de la rémunération qu’il aurait perçue s’il avait travaillé. Différents paramètres combinés déterminent si une régularisation doit être apportée. Aussi, deux personnes ne percevront pas la même indemnité selon la date à laquelle elles prennent leur congé. Le principal impact concerne les personnes qui effectuent beaucoup d’heures supplémentaires ou qui perçoivent beaucoup de primes. En tout état de cause, tous les cas individuels seront revus avec une rétroactivité sur les trois dernières années.

    La Direction a admis avoir fait des erreurs dans le calcul de l’indemnité des congés payés en ne prenant comme seule règle unique : le maintien de salaire.

    Lors de la réunion ordinaire du CE du 28/11/14, nous avons demandé à la Direction de mener une action collective de régularisation afin que chaque salarié soit traité avec égalité dans la démarche. La Direction a indiqué lors de la réunion ordinaire du CE du 18/12/14 (hier), qu’elle n’organisera pas d’action collective, ni de communication et laisse le soin de cette action au CE et aux syndicats.

    Ainsi, le CE communiquera courant janvier 2015 la démarche à suivre en même temps que la diffusion du compte rendu de la séance ordinaire du CE du 18/12/14.

    La Direction a précisé que la période de rétroactivité est de 3 ans à compter de septembre 2014, date à laquelle la question a été soulevée en réunion des Délégués du Personnel et en réunion CE.

    En conclusion :

    Nous vous enverrons via la note du CE la lettre type (une simple demande de vérification du calcul de l’indemnité des congés payés) a envoyé par mail au service compta, au RRH et, tant qu’à faire, le CE en copie pour dénombrer les demandes.

    Pas de précipitations ! Pas de calculs à faire pour l’instant !

    Bref ! Passez de bonnes fêtes de fin d’année en étant le plus relax possible !

    La CGT AKKA IS

  • Salarié-e-s en intercontrats d'AKKA IS et d'AKKA I&S : cette comm' est pour vous!!

    Vous trouverez ci-dessous les 2 tracts distribués ce jour devant les batiments toulousains d'AKKA IS et d'AKKA I&S :

    Intersyndicale_lettre_salariés_11_2014.pdf

    Intersyndicale_lettre_manager_RH_11_2014.pdf

    Erratum : sur les tracts distribués ce matin manquait Marie-José Davrainville dans la liste des DP

     

     

  • JEUDI 12 JUIN à 12h : PIQUE NIQUE au Rond point de la Crabe - organisée par la Coordination CGT de l’Aéronautique Midi-Pyrénées

    Pour vous informer et nous contacter : coord.aero.cgt.midipy@gmail.com


    Soutenez notre action, signez la pétition :
     https://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/m-arnaud-montebourg-pour-la-pr%C3%A9servation-de-l-emploi-organisez-une-table-ronde-sur-l-avenir-de-l-ing%C3%A9nierie-a%C3%A9ronautique

     Les sociétés sous-traitantes d’AIRBUS se sont regroupées pour former

    La Coordination CGT de l’Aéronautique Midi-Pyrénées :

        AIRBUS – ASTRIUM -AEROCONSEIL - AKKA - ALTRAN – ASSYSTEM - ATOS - CAPGEMINI - GFI - IBM - LATECOERE SERVICES - MANPOWER - POLYMONT - SAFRAN - SOGETI HIGH TECH – STERIA

     

    la coordination CGT des sous-traitants d’Airbus en Midi-Pyrénées

    vous convie à rejoindre tous les autres salariés

    pour un pique-nique

    le jeudi 12 juin à partir de 12:00

    au rond-point de la Crabe

    (et c’est nous qui régalons).

     

    venez passer un moment convivial
    échanger et soutenir l’action pour l’EMPLOI et la valorisation de notre TRAVAIL

     

     

    « Ca va mal en ce moment à AKKA ! »

    Qui n’a pas entendu cela lors de son entretien annuel ? C’est ce qui justifierait l’absence d’augmentation depuis des années, la mobilité contrainte et une ambiance de crainte. Il faudrait se contenter de sa situation, aussi précaire soit-elle et ce, malgré tout le travail fourni par chacun.

    A l’heure où le groupe AKKA communique sur ses résultats 2013, et puisque l’aspect financier domine tout, regardons les chiffres d’une année « difficile ».

    Effectivement…AKKA est rentable mais …pas assez !!!

     Télécharger le tract : Tract_coordination_pour_le_12_juin.pdf

     Ca va mal à AKKA ? Tout dépend à qui la Direction s’adresse : aux actionnaires ou aux salariés !

     

    Les filiales du Groupe AKKA vont mal ? Exemple d’AKKA IS : sur 2,4M€ de bénéfices, 2,2M€ sont  reversés à titre de dividendes aux associés soit 91,6% des bénéfices et ZERO pour les salarié-e-s!!

     

    « En ce moment, en plus, ca va mal avec Airbus… »

     

    Les syndicats CGT d’Airbus et des SSII ont formé une coordination de l’aéronautique. Elle dénonce la baisse de charge du Bureau d’Etudes et réalise un travail qui l’a conduite à être reçue fin avril par la préfecture. Les pouvoirs publics s’étonnent des difficultés que rencontrent nos sociétés car depuis 3-4 ans ils ne cessent de prévenir nos directions pour qu’elles s’adaptent à la situation économique.

     

    Qu’a fait notre direction pour anticiper la situation d’aujourd’hui alors qu’elle savait ?

    C’est l’état qui le dit : cette situation est de la responsabilité des directions, qui préfèrent encaisser qu’investir… Aujourd’hui elles n’assument pas leur « stratégie » d’entreprise. Pire, elles nous la font payer, en nous culpabilisant alors que nous n’en sommes pas responsables !

     

    Depuis des mois vos élus CGT dénoncent la gestion des intercontrats, l’absence de politique salariale valorisante, l’absence de perspective en terme d’évolution de carrière,  les économies sur le dos des salariés (frais professionnels),
    vous aident au quotidien et soutiennent les emplois de la filière aéronautique.

    Le 12 juin, venez passer un moment convivial
    échanger et soutenir l’action pour l’EMPLOI et la valorisation de notre TRAVAIL

     

    Parce que l’avenir de la filière aéronautique et spatiale européenne n’est pas si rose qu’il y parait,

    Parce que la patiente et discrète transformation d’Airbus Group en pompe à fric produira des effets désastreux sur nos emplois, sur nos conditions de travail et sur nos conditions de vie,

    Parce que les salariés de la sous-traitance d’étude sont, dès aujourd’hui, les 1ères victimes de cette transformation ; parce qu’ils sont des dizaines déjà - et des milliers bientôt – à perdre leur emploi ou à subir des pressions visant à les faire quitter leur entreprise,

    Parce que la sauvegarde de ces emplois serait économiquement insignifiante pour un groupe aussi prospère qu’Airbus et stratégiquement vitale en ce qui concerne les compétences et le savoir-faire,

    Parce que l’industrie aéronautique et spatiale est un joyau dont la compétitivité est menacée,

    Parce qu’il y a urgence à ce que tout cela se sache et parce qu’il y a urgence à agir,

    Parce que les salariés ont le droit de savoir ce que la CGT sait et parce que la CGT a besoin de faire savoir aux salariés ce qu’elle sait. 

    Pour vous informer et nous contacter : coord.aero.cgt.midipy@gmail.com


    Soutenez notre action, signez la pétition :
     https://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/m-arnaud-montebourg-pour-la-pr%C3%A9servation-de-l-emploi-organisez-une-table-ronde-sur-l-avenir-de-l-ing%C3%A9nierie-a%C3%A9ronautique

     

  • Signez la pétition pour la préservation de l’emploi dans l'ingénierie aéronautique !

    Pour signer, cliquez sur le lien suivant : Signez et diffusez la pétition !

    Quel avenir pour l’aéronautique en Midi-Pyrénées ? En France ? En Europe ?

    Quel avenir pour l’emploi dans ce secteur qui compte 9 100 salariés directs en Midi-Pyrénées?

    Quel est l’avenir des Bureaux d’études, des sociétés d’ingénierie dédiées à l’aéronautique, des centres de recherche en aéronautique et spatial, des grandes écoles d’ingénieurs, des centres de formation, notamment à Toulouse et sa région ?

    Airbus a été constitué par la volonté des Etats Français, Allemand, Espagnol plus tard Britannique qui ont construit l’Europe politique et économique.

    En 2013, le Conseil d’administration d’EADS a décidé d’augmenter la part actionnariale. 

    EADS devient Airbus Group, une nouvelle entreprise non plusindustrielle mais financière, dont les objectifs sont réorientés vers les actionnaires.

    Le but aujourd’hui est moins de développer l’activité aéronautique en relevant les défis techniques par des nouveaux programmes d'avion que d’assurer une plus forte rentabilité aux actionnaires coûte que coûte. Ce qui veut dire par tous les moyens, qui passeront par des économies à court terme et par le report des programmes de développement de nouveaux modèles (successeur de l’A320). Si les bénéfices d’Airbus Group vont dans les poches des actionnaires plus que dans l’investissement de nouveaux programmes, ce n’est plus une entreprise digne de ce nom, c’est tout au plus une vache à lait. Les exemples ne manquent pas pour comprendre ce que cela veut dire : Baisse de charge de travail, fermeture d’entreprises, difficultés sociales multipliées dans et hors le secteur aéronautique, ... C’est donc la mise en danger de tout l’outil industriel, souvent cité en exemple en France et incontournable pour la région Midi-Pyrénées.

    Déjà les sociétés de sous-traitance subissent les premières conséquences de ces décisions récentes. Les prévisions des cabinets d’expertise qui travaillent dans le secteur annoncent entre 3000 et 5000 pertes d’emploi sur 7500 postes dans le secteur sur Midi-Pyrénées d’ici 3 ans.

    Nous avons le droit de savoir pourquoi ces changements d’orientation industrielle ont été décidés. Pour quelles nécessités ? Quels seront les impacts pour les salariés, leurs familles, l’économie régionale ou la formation des futurs diplômés ?

    Nous, salariés du secteur, nous voulons savoir, parce qu’il s’agit de nos emplois.

    Nous, habitants de la région, nous le voulons, parce que de près ou de loin nous dépendons de ce tissu industriel.

    Nous, citoyens français, nous le voulons car la situation économique de notre pays dépend de celle de l’aéronautique.

    Pourtant des projets viables, économiquement et socialement justifiés existent. Ils sont dans les cartons et délibérément laissés en sommeil pour réaliser des économies. La coordination a des propositions pour amortir cette baisse de charge. Mais sans le soutien de la population et des salariés, ces projets resteront dans les cartons.

    Aussi nous demandons au personnel politique représentant de l’état de réclamer les explications de cette nouvelle gestion auprès des dirigeants du groupe Airbus. De nous les transmettre. Et si les perspectives désastreuses s’avéraient peu ou prou vraies, nous dire quelles mesures ils prendront pour les compenser.

    Pour que le personnel politique se mette au service des citoyens en informant la population hautement concernée, à travers l’organisation d’une table ronde qui réunira des représentants du patronat, des représentants des organisations syndicales, des acteurs des filières aéronautiques, Signez et diffusez la pétition !

    Pour nous contacter : coord.aero.cgt.midipy@gmail.com

  • Jeudi 15 mai à Aéroconseil - Blagnac : rencontre avec la Coordination CGT de l'Aéronautique Midi-Pyrénées

    La Coordination CGT de l'Aéronautique Midi-Pyrénées

    vous donne rendez-vous devant le site d'Aéroconseil, filiale du Groupe AKKA Technologies

    JEUDI 15 MAI

    de 8h00 à 9h30 :

    3, rue Dieudonné Costes - BLAGNAC

    (à côté de l'aéroport et de la chambre de commerce et de l'industrie, face à l'hôtel Radisson Blu)

    pour vous informer sur la réorganisation du Groupe AIRBUS et ses conséquences directes sur le personnel de l'ingénierie aéronautique

    (distribution de tracts)

    La Coordination CGT de l'Aéronautique Midi-Pyrénées comprend à ce jour les sociétés suivantes :

    AIRBUS - AEROCONSEIL - AKKA - ALTRAN - ASSYSTEM - ATOS - CAPGEMINI - GFI - IBM - LATECOERE SERVICES - MANPOWER - POLYMONT - SAFRAN - SOGETI HIGH TECH - STERIA.

    Venez nous rejoindre durant votre "pause café" afin de nous soutenir,... de vous soutenir !