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  • CGT AKKA - Rencontres des salariés avec Maître RILOV

     

    JEUDI 27 OCTOBRE 2022 de 12h30 à 14h00

    devant le site d'AKKA/MODIS Paris La Défense

    Tour Pacific - 11/13 cours Valmy

    Télécharger l'affiche pour la réunion d'information à Paris La Défense du jeudi 27 octobre 2022

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  • UD CGT 69 - Appel rassemblement du jeudi 27 oct de 12h à 14h devant le Medef à Lyon et jeudi 10 nov en grève et en manifestation

    Rassemblement devant le Medef, le jeudi 27 octobre à partir de midi.

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    Une manifestation en grève est prévue le 10 novembre

      • Les modalités seront connues en fin de semaine
      • Un tract de masse sera à disposition, à l’UD,  au plus tard le 4 novembre
  • UD CGT 31- Amplifier la grève et l’action pour faire augmenter nos salaires et nos pensions !

    Nos salaires ne suffisaient déjà pas pour vivre avant l’inflation. Aujourd’hui, la situation est critique pour les travailleurs. L’inflation que l’on nous vend à 7% c’est du vent ! Nous savons bien en faisant nos courses, que c’est du 20 à 30% sur des produits de consommation. L’inflation touche d’abord et plus durement les plus pauvres qu’ils soient actifs, retraités, sans emplois. Les jeunes sont aussi les premières victimes.

    Ainsi, de plus en plus de salariés et leurs familles sont rattrapés par le seuil de pauvreté. Le Medef et le gouvernement viennent d’ajouter un terme de plus dans la Novlangue pour les désigner. Il s’agirait de foyers en « sobriété subie » et non plus de pauvres, quel cynisme !!

    Pourtant, l’argent est bien là. Notre travail crée des profits énormes que se partagent les actionnaires. Les rémunérations des PDG n’ont jamais été aussi élevées.

    Grâce à nos impôts, les recettes de l’Etat continuent d’augmenter. Mais les budgets publics sont dépensés dans l’intérêt des marchés financiers. Les Services Publics reculent et les salaires des fonctionnaires diminuent en valeur absolue du pouvoir d’achat.

    Si on les laisse faire, tous les prix augmentent, sauf nos salaires et nos pensions.

    Dans tous les secteurs, des salariés se mobilisent et entrent en grève pour gagner des augmentations de salaires.

    Partout où les salariés entrent en grève, les directions sont obligées de négocier et de concéder des augmentations comme dans les raffineries. Mais cela s’étend à d’autre secteurs : Edf : + 200 €/mois , Lactalis : +7,2% , Marie Surgelés : +6,9% , Dassault Falcon Services : +140€/mois + prime annuelle entre 800 et 1 400€

    Lorsque les prix augmentent, le prix de notre travail doit augmenter aussi. La seule réponse c’est :

    Le SMIC à 2000 euros

    Ouverture immédiate de négociations salaires dans toutes les entreprises

    Echelle mobile des salaires

     

    Jeudi 27 octobre, nouvelles manifestations inter- professionnelles

    Toulouse : 12h00, Place Jeanne D’ARC

    Saint-Gaudens : 17h00, Place Jean Jaurès

     

    Mobilisons nous pour faire grandir les grèves et l’action dans tous les secteurs, dans toutes les entreprises , services publics et administrations  

    voir le tract en Pj

  • CGT UD 92 - Rassemblement départemental  Jeudi 27 octobre 2022 à 10H devant le MEDEF 92 

    Un rassemblement départemental 
    Jeudi 27 octobre 2022 à 10H
    devant le MEDEF 92 
    au 7 avenue Maréchal Joffre, 92000 Nanterre 
    (à proximité de la Place de la Boule) 
     
    Prises de parole, Atelier pancartes, 
    Suivi d'un pique-nique fraternel (merci d'amener votre sandwich) 
     
    Pour un départ collectif pour la manifestation parisienne 14H (Montparnasse)
    et participer à la manifestation derrière le Ballon de l'UD CGT 92 et notre nouvelle banderole "Tou·te·s ensemble mobilisé·es pour gagner
    l’augmentation des salaires, pensions et retraites !!!"

     

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  • Appel de la CGT à la grève et à la mobilisation les 27 octobre et 10 novembre

    Télécharger l'appel de la CGT à la grève et à la mobilisation les 27/10 et 10/11

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    Augmenter les salaires et les pensions, c’est urgent,

    c’est possible, c’est gagnable !

     

    Moi aussi, je me mobilise avec la CGT !


    Les 27 octobre et 10 novembre, je rejoins le mouvement
    social pour vivre dignement de mon salaire et de ma pension,
    pour de meilleures conditions de travail et de vie, pour le
    droit à la protection sociale et à une retraite décente.

  • TOUS ENSEMBLE POUR UNE VÉRITABLE AUGMENTATION DES SALAIRES ET CONTRE LEUR RÉFORME DES RETRAITES

    Télécharger l'appel à la mobilisation de la Fédération CGT des Sociétés d'Etudes

     

    Voici plusieurs mois que le Patronat, comme le Gouvernement, fait la sourde oreille aux revendications salariales des travailleuses et travailleurs. Ils se contentent d’augmentations automatiques du SMIC et de leur application au mieux dans les branches.

    Cette revalorisation du salaire minimum est toujours en retard par rapport à l’inflation galopante que nous connaissons actuellement. Et même dans les branches où nous arrivons péniblement à obtenir une revalorisation de la grille salariale, celle-ci se cantonne aux premiers échelons dépassés par le SMIC.

    Cette situation de paupérisation des masses laborieuses ne se limite plus qu’aux seul.e.s employé.e.s. Elle touche la quasi-totalité du salariat, qui perd de son pouvoir d’achat avec une inflation qui frise les 10%. Et dans le même temps, nous ne pouvons que constater l’augmentation des dividendes versés aux actionnaires des grandes entreprises qui sont aussi de grands donneurs d’ordres. Des donneurs d’ordres qui non content de pressuriser leurs salarié.e.s, pèsent fortement sur celles et ceux de leurs sous-traitants en comprimant d’une main de fer les prix d’achat.

    Une telle situation ne peut pas durer ! Il est plus que vital de montrer, tant au Patronat qu’au Gouvernement, qui crée véritablement la richesse de ce pays ! Ce sont bien les salarié.e.s qui, par leur travail, produisent les bénéfices que se partagent les employeurs et les actionnaires.

    Avec de telles personnes, il ne faut pas attendre un quelconque ruissellement sauf si, comme en 1936 et 1968, les salarié.e.s de tous les secteurs s’arrêtent de produire sans attendre que les autres le fassent à leur place. Nous devons chacun.e prendre notre part de responsabilité dans la lutte qui s’annonce pour l’amélioration de nos conditions de vie et de préservation de nos conquis sociaux.

    De la même façon, le gouvernement attaque notre système de retraite en allongeant la durée de cotisations. Et les conséquences ne sont pas neutres puisqu’il s’agira de travailler plus longtemps, et par conséquent, d’avoir une retraite moins longue. Ces éléments sont à conjuguer à une baisse des pensions. Nous ne pouvons laisser faire.

    Voilà pourquoi la Fédération des Sociétés d’Etudes appelle l’ensemble des salarié.e.s des secteurs qu’elle recouvre à faire grève, toute la journée, le jeudi 27 octobre 2022 ; à participer aux différentes manifestations organisées partout en France ce jour-là ; et à organiser avec leurs collègues des assemblées générales pour définir collectivement la suite du mouvement.

    LE 27 OCTOBRE
    TOUS ENSEMBLE CESSONS LE TRAVAIL POUR NOS SALAIRES
    ET NOS RETRAITES !

  • CGT Airbus - Grève à la FAL A320 de Toulouse !

    Le mouvement de grève de salariés de la FAL A320 de Toulouse a débuté mardi 18 octobre 2022 à 6h30 et s'est étendue aux vacations suivantes de la chaine (soirée et nuit). Cette grève s'est poursuivie aujourd'hui mercredi 19 octobre.
    Ce mouvement a pour conséquence de créer des retards de 24h par jour de grève dans le planning de production. 
     
    Les salariés grévistes appellent l'ensemble des salariés Airbus à se joindre au mouvement et les invite à une assemblée générale le jeudi 20 octobre à 14h devant l'entrée Sud du batiment M91 (FAL A320).
     
    Un communiqué écrit par les salariés grévistes a été publié le mardi 18/10/2022 sur notre site web.
    Un tract écrit par ces mêmes salariés a été publié ce matin et distribué aux cantines aujourd'hui mercredi 19/10/2022.
     
    La CGT accompagne et continuera d'accompagner ses salariés dans leur lutte.
     
    Une caisse de grève a été créée pour soutenir les salariés grévistes.
     
    Nous rappelons que la force d'un syndicat, ce sont ses adhérentsRejoignez la CGT Airbus ! 

  • Appel à la grève de la CGT le mardi 18 octobre

    Nous relayons cet appel de l’UGICT CGT pour une grève générale le mardi 18 octobre, notamment pour gagner sur les salaires. L’appel est dans le lien en bas de cet article.
     
    Cela fait suite également dans notre entreprise, alors que les salariés partent massivement pour de meilleurs salaires (44% selon la direction elle-même !), et plus globalement pour de meilleurs employeurs,
    à l’absence de réponse sérieuse de notre Direction sur les revendications associées à l’appel à la grève de la journée d’action du 29 septembre, revendications salariales et d’égalité professionnelle femme-homme.
     
    En effet, interpelé par la CGT le 11 octobre, le DRH AKKA s’est contenté de nous renvoyer vers des NAO, alors qu’il n’a même pas ouvert de NAO (négociations annuelles obligatoires) sur l’ensemble du périmètre de l’UES AKKA l’année dernière en prétextant l’absence de représentativité des organisations syndicales. 
     
    QUAND la Direction d’AKKA va-t-elle répondre sérieusement à nos revendications?
     
    Nous appelons les salariés d’AKKA et de MODIS, y compris ceux détachés chez les clients, à échanger, participer aux assemblées générales, se mobiliser et se mettre en grève et aller manifester dès le 18. 
    D'autres actions seront organisées en complément et à lobg terme (Fin des candidatures chez Akka/Modis/Akkodis! Arrêt des cooptations! ). C’est comme ça que fonctionne la Direction : par le constat que l'entreprise n'est rien sans ses salariés !
     

  • Burn-out et pensées suicidaires chez des salariés d'Akka : un spécialiste de l'aéro dans le collimateur des autorités à Toulouse

    Télécharger l'article de centpourcent.com 

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    Que se passe-t-il dans cette société d’ingénierie et de conseil dont le siège régional se trouve à Blagnac ? La CGT pointe du harcèlement moral institutionnel. 

    « Une institution qui, de par son management, agit défavorablement sur la santé des salariés » Franck Laborderie, représentant CGT d’Akka, rappelle la définition du harcèlement moral institutionnel confirmée le 30 septembre par la cour d’appel de Paris, lors du retentissant procès France Télécom. Selon lui, il y a beaucoup à dire sur la gestion des risques psycho-sociaux chez Akka, société d’ingénierie aéronautique dont le siège régional est à Blagnac. 

    .....

    Lire la suite de l'article sur centpourcent.com 

  • Akka : « un management par la peur » pour masquer un plan social

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    Extraits de l'article de Rapports de Force.fr du 3/10/2022 :

     

    Multinationale aux 21 000 salariés, Akka a supprimé 1700 emplois en France depuis la crise Covid. Mais seulement 300 l’ont été via un PSE en règle. Pour les 1400 autres, la CGT dénonce un « plan social off ». Un management violent aurait poussé les employés vers la sortie. Une analyse lourdement appuyée par un rapport indépendant. Le procureur a été saisi par la DDETS.

     

    « Moi j’avais peur qu’ils me trouvent une faute quelque part juste pour me virer. (…). Akka c’est le management par la peur » lâche, paradoxalement, un manager. « Je mets tout par écrit, je trace tout. Je connais la promptitude d’Akka à vous licencier pour insuffisance ou autre », ajoute un consultant. 

    Ces extraits du rapport livré par Apteis*, ont été remis le 15 février 2022 au CSE d’Akka High Tech, branche d’Akka Technologies, une entreprise de services numériques spécialisée dans l’industrie. Ses résultats, particulièrement étayés**, sont glaçants. Ainsi, les trois quarts (73%) des salariés de la boîte dépassent leurs horaires de travail, rappelle le rapport, et 41% des salariés sont fortement exposés au stress professionnel. La cause principale : leur management. Ils ont trop de travail et ne disposent pas des moyens nécessaires pour atteindre leurs objectifs.

    « Notre mal-être ? C’est comme si vous preniez un cuisinier en CAP, vous lui donnez un salaire de CAP et vous lui donnez un poste de chef. Ce n’est pas possible », résume un autre consultant, lui aussi interrogé dans le rapport Apteis.

     

    L’aéronautique malade du Covid

    L’idée d’un rapport sur les RPS (risques psycho-sociaux) germe dans l’esprit des élus du CSE d’Akka High Tech dans la période qui suit le premier confinement. De juillet 2020 à juillet 2021, ils remarquent à la fois une augmentation des démissions mais aussi des licenciements. Une observation confirmée par le rapport : 149 démissions et 64 licenciements sur la période pour un effectif total de 953 salariés en juillet 2021. La logique en train de se mettre en place à l’échelle de leur entreprise se déploie par ailleurs dans l’ensemble du groupe, qui compte alors 7700 salariés en France, mais n’en compte plus que 6500 aujourd’hui.

    Rappelons le contexte. Lors du premier confinement, Airbus se met à l’arrêt et prévoit de supprimer 15 000 emplois dans le monde. En France, la sous-traitance aéronautique panique et supprime massivement de l’emploi : 3000 suppressions annoncées chez Daher, 700 chez AAA, 475 à Latécoère… Et quand les patrons ne licencient pas, ils baissent les salaires – ce qui revient aussi à faire partir du monde – comme chez Derichebourg. Pour une boîte de prestations comme Akka Technologies, qui ne dépend que des commandes de ses donneurs d’ordres, c’est la douche froide. Rapidement, la direction annonce qu’environ 1150 emplois pourraient disparaître. On le rappelle, lorsqu’un salarié est placé en chômage partiel seul 25% de son salaire est à la charge de son entreprise. Le reste est pris en charge par l’assurance chômage. Mais pour Akka c’est déjà trop, une suppression drastique de postes est envisagée.

     

    « Plan social off »

    A la suite de cette première séquence Covid, la CGT dénombre 1700 emplois supprimés. 300 à la régulière, lors de différents PSE mis en place dans 5 des 6 filiales du groupe en 2021. Mais aussi 1400 disparus dans la nature suite à un management agressif. « Ils ont mis en place une casse sociale off », résume Franck Laborderie, délégué syndical CGT chez Akka High Tech, qui a même inventé un jeu de mot pour résumer l’affaire : « l’Akkasse sociale ».

    .........

    Lire l'article complet sur Rapport de Force.fr

  • CGT AKKA - Réunions d'informations avec Maître RILOV devant les sites AKKA/AKKODIS de Blagnac et Paris La Défense

    Téléchargez la communication de la CGT AKKA : 202210-FLASH_CSE-CGT-SPECIAL_RPS-SALAIRES.pdf

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    REUNIONS D’INFORMATIONS

    en présence de Maître RILOV, avocat au Barreau de Paris


    Mardi 11 octobre 2022 de 12h30 à 14h00

    devant le site AKKA/AKKODIS de Blagnac Andromède,

    7 boulevard Henri Ziegler


    Jeudi 27 octobre 2022 de 12h30 à 14h00

    site AKKA/AKKODIS de Paris La Défense,

    devant la tour Pacific, 11/13 cours Valmy

    Ces deux premières réunions ont pour but de vous informer sur la possibilité d’engager une action au Conseil de Prud’Hommes (CPH) en vue de faire annuler la clause de mobilité du contrat de travail, ainsi que sur le harcèlement moral dont vous, ou un collègue, êtes actuellement victime, comme vécus par de nombreux salariés en intermission.

    Venez nombreuses et nombreux !

    Téléchargez la communication de la CGT AKKA : 202210-FLASH_CSE-CGT-SPECIAL_RPS-SALAIRES.pdf

    Cela concerne tous les salariés : licenciés depuis moins de 2 ans pour réparation ou présents pour stopper la pression durant la période d’intermission, par exemple. La mobilité contrainte est un des facteurs de risque primaire ayant des conséquences directes sur la santé. La crise de France Telecom de 2008/2011 (hyper-stress, burn-out, suicides) a été stoppée dès que la direction a mis fin aux mobilités forcées (métier et géographique) en février 2011. L'arrêt du 30/09/2022 de la cour d’appel de Paris reconnaît sans ménagement le « harcèlement institutionnel caractérisé » des ex-dirigeants qui ont mis en place « une politique ayant pour effet de créer pour tout le personnel un climat anxiogène ». Ainsi, à la question de savoir si « les dirigeants d'une grande entreprise peuvent se voir reprocher des faits de harcèlement moral résultant non pas de leurs relations individuelles avec leurs salariés mais de la politique d'entreprise qu'ils avaient conçue et mise en œuvre », la cour répond donc clairement « oui » (Sources : Les Echos -  Le Monde).

    La société Matis, devenue AKKA High Tech, a pourtant été condamnée sur cette clause abusive de mobilité dès 2012, clause dite "nulle" encore utilisée par le groupe AKKA pour licencier des salariés « non rentables ».

    Autre bataille, autre facteur de risque primaire : la surcharge de travail. Voir l'impact destructeur sur les salariés de Renault en 2006/2009 : « la cour d'appel de Versailles a reconnu en 2011 la "faute inexcusable" de l'entreprise Renault, responsable du suicide d'un ingénieur survenu en octobre 2006. Les juges ont reproché à l'entreprise de n'avoir pas eu conscience de la gravité de la situation du salarié et de n'avoir mis en place ni système d'évaluation des risques psychosociaux ni mesure de la charge du travail. »  Un outil de décompte des heures travaillées doit être mis à disposition par AKKA aux salariés permettant le paiement et le suivi de leurs heures supplémentaires et ainsi prévenir la surcharge de travail.  

    3ème facteur de risque important : la dévalorisation salariale.

    Des salariés ne sont pas au bon coefficient et/ou ne sont pas cadres malgré la détention d'un diplôme d'ingénieur, ou sont toujours au coefficient 95  (cadre débutant) malgré des années d'ancienneté et d’expériences, ou bien sont au coefficient 130 alors qu'ils ont un rapport hiérarchique vis-à-vis d'autres salariés que mentionne pourtant le coefficient 150, des salaires avec ancienneté en-dessous du marché faute d'augmentations régulières et conséquentes,  créant un fossé avec les nouveaux embauchés, autrement nommés uniquement le temps de l’embauche … les « talents ». Ces incroyables talents mettront moins de deux ans pour fuir AKKA/AKKODIS et sa politique sociale et salariale déplorable. Le turn-over est actuellement de plus de 28% … !

    Des inégalités salariales femmes/hommes cachées par la direction, présentées par les rapports d'expertise Syndex 2022 sur l'année 2021 au niveau de l'UES Akka France et de la filiale Akka High Tech. Ces inégalités ne figurent par dans les états des lieux décrits dans le projet d’accord égalité professionnelle F/H rédigé par la direction et proposé à la signature aux organisations syndicales d'Akka High Tech. La Direction d’AKKA emploie les mêmes artifices de tromperie et de manipulations pour cacher des réalités honteuses. Heureusement, selon le baromètre Ugict-Cgt/Secafi/Viavoice, une forte proportion de cadres se dit prête à se mobiliser pour défendre les salaires et la retraite : y compris par la manifestation ou par la grève. «A l’opposé de la caricature individualiste qui leur est souvent associée, les cadres se disent ainsi prêts à se mobiliser pour défendre leurs droits », souligne Sophie Binet, secrétaire générale de l’Ugict-Cgt. Collectivement, y compris par la grève  pour obtenir une augmentation de salaire (35%). Ils sont encore plus nombreux à s’y déclarer prêts pour défendre leur retraite (42%), motivés par leur opposition à un report de l’âge légal : une majorité (56%) souhaite en effet un rétablissement de l’âge de départ à 60 ans, avec une prise en compte des années d’études, financée par une mise à contribution des dividendes (53%).  Nous vous invitons à lire cette étude. Vous pourrez compter sur la CGT afin d’organiser la mobilisation pour le Bien-Être au Travail, pour obliger l’employeur à veiller à la santé et à la sécurité de ses salariés, pour la revalorisation des salaires et pour l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.

    Rejoignez-nous nombreuses et nombreux lors de nos réunions d’informations du 11 et du 27 octobre…

    « L'avenir n'est pas ce qui va arriver, mais ce que nous allons faire. » (Henri Bergson)