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Préventions des Risques PsychoSociaux (RPS) - Page 2

  • Akka : « un management par la peur » pour masquer un plan social

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    Extraits de l'article de Rapports de Force.fr du 3/10/2022 :

     

    Multinationale aux 21 000 salariés, Akka a supprimé 1700 emplois en France depuis la crise Covid. Mais seulement 300 l’ont été via un PSE en règle. Pour les 1400 autres, la CGT dénonce un « plan social off ». Un management violent aurait poussé les employés vers la sortie. Une analyse lourdement appuyée par un rapport indépendant. Le procureur a été saisi par la DDETS.

     

    « Moi j’avais peur qu’ils me trouvent une faute quelque part juste pour me virer. (…). Akka c’est le management par la peur » lâche, paradoxalement, un manager. « Je mets tout par écrit, je trace tout. Je connais la promptitude d’Akka à vous licencier pour insuffisance ou autre », ajoute un consultant. 

    Ces extraits du rapport livré par Apteis*, ont été remis le 15 février 2022 au CSE d’Akka High Tech, branche d’Akka Technologies, une entreprise de services numériques spécialisée dans l’industrie. Ses résultats, particulièrement étayés**, sont glaçants. Ainsi, les trois quarts (73%) des salariés de la boîte dépassent leurs horaires de travail, rappelle le rapport, et 41% des salariés sont fortement exposés au stress professionnel. La cause principale : leur management. Ils ont trop de travail et ne disposent pas des moyens nécessaires pour atteindre leurs objectifs.

    « Notre mal-être ? C’est comme si vous preniez un cuisinier en CAP, vous lui donnez un salaire de CAP et vous lui donnez un poste de chef. Ce n’est pas possible », résume un autre consultant, lui aussi interrogé dans le rapport Apteis.

     

    L’aéronautique malade du Covid

    L’idée d’un rapport sur les RPS (risques psycho-sociaux) germe dans l’esprit des élus du CSE d’Akka High Tech dans la période qui suit le premier confinement. De juillet 2020 à juillet 2021, ils remarquent à la fois une augmentation des démissions mais aussi des licenciements. Une observation confirmée par le rapport : 149 démissions et 64 licenciements sur la période pour un effectif total de 953 salariés en juillet 2021. La logique en train de se mettre en place à l’échelle de leur entreprise se déploie par ailleurs dans l’ensemble du groupe, qui compte alors 7700 salariés en France, mais n’en compte plus que 6500 aujourd’hui.

    Rappelons le contexte. Lors du premier confinement, Airbus se met à l’arrêt et prévoit de supprimer 15 000 emplois dans le monde. En France, la sous-traitance aéronautique panique et supprime massivement de l’emploi : 3000 suppressions annoncées chez Daher, 700 chez AAA, 475 à Latécoère… Et quand les patrons ne licencient pas, ils baissent les salaires – ce qui revient aussi à faire partir du monde – comme chez Derichebourg. Pour une boîte de prestations comme Akka Technologies, qui ne dépend que des commandes de ses donneurs d’ordres, c’est la douche froide. Rapidement, la direction annonce qu’environ 1150 emplois pourraient disparaître. On le rappelle, lorsqu’un salarié est placé en chômage partiel seul 25% de son salaire est à la charge de son entreprise. Le reste est pris en charge par l’assurance chômage. Mais pour Akka c’est déjà trop, une suppression drastique de postes est envisagée.

     

    « Plan social off »

    A la suite de cette première séquence Covid, la CGT dénombre 1700 emplois supprimés. 300 à la régulière, lors de différents PSE mis en place dans 5 des 6 filiales du groupe en 2021. Mais aussi 1400 disparus dans la nature suite à un management agressif. « Ils ont mis en place une casse sociale off », résume Franck Laborderie, délégué syndical CGT chez Akka High Tech, qui a même inventé un jeu de mot pour résumer l’affaire : « l’Akkasse sociale ».

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    Lire l'article complet sur Rapport de Force.fr

  • CGT AKKA - Réunions d'informations avec Maître RILOV devant les sites AKKA/AKKODIS de Blagnac et Paris La Défense

    Téléchargez la communication de la CGT AKKA : 202210-FLASH_CSE-CGT-SPECIAL_RPS-SALAIRES.pdf

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    REUNIONS D’INFORMATIONS

    en présence de Maître RILOV, avocat au Barreau de Paris


    Mardi 11 octobre 2022 de 12h30 à 14h00

    devant le site AKKA/AKKODIS de Blagnac Andromède,

    7 boulevard Henri Ziegler


    Jeudi 27 octobre 2022 de 12h30 à 14h00

    site AKKA/AKKODIS de Paris La Défense,

    devant la tour Pacific, 11/13 cours Valmy

    Ces deux premières réunions ont pour but de vous informer sur la possibilité d’engager une action au Conseil de Prud’Hommes (CPH) en vue de faire annuler la clause de mobilité du contrat de travail, ainsi que sur le harcèlement moral dont vous, ou un collègue, êtes actuellement victime, comme vécus par de nombreux salariés en intermission.

    Venez nombreuses et nombreux !

    Téléchargez la communication de la CGT AKKA : 202210-FLASH_CSE-CGT-SPECIAL_RPS-SALAIRES.pdf

    Cela concerne tous les salariés : licenciés depuis moins de 2 ans pour réparation ou présents pour stopper la pression durant la période d’intermission, par exemple. La mobilité contrainte est un des facteurs de risque primaire ayant des conséquences directes sur la santé. La crise de France Telecom de 2008/2011 (hyper-stress, burn-out, suicides) a été stoppée dès que la direction a mis fin aux mobilités forcées (métier et géographique) en février 2011. L'arrêt du 30/09/2022 de la cour d’appel de Paris reconnaît sans ménagement le « harcèlement institutionnel caractérisé » des ex-dirigeants qui ont mis en place « une politique ayant pour effet de créer pour tout le personnel un climat anxiogène ». Ainsi, à la question de savoir si « les dirigeants d'une grande entreprise peuvent se voir reprocher des faits de harcèlement moral résultant non pas de leurs relations individuelles avec leurs salariés mais de la politique d'entreprise qu'ils avaient conçue et mise en œuvre », la cour répond donc clairement « oui » (Sources : Les Echos -  Le Monde).

    La société Matis, devenue AKKA High Tech, a pourtant été condamnée sur cette clause abusive de mobilité dès 2012, clause dite "nulle" encore utilisée par le groupe AKKA pour licencier des salariés « non rentables ».

    Autre bataille, autre facteur de risque primaire : la surcharge de travail. Voir l'impact destructeur sur les salariés de Renault en 2006/2009 : « la cour d'appel de Versailles a reconnu en 2011 la "faute inexcusable" de l'entreprise Renault, responsable du suicide d'un ingénieur survenu en octobre 2006. Les juges ont reproché à l'entreprise de n'avoir pas eu conscience de la gravité de la situation du salarié et de n'avoir mis en place ni système d'évaluation des risques psychosociaux ni mesure de la charge du travail. »  Un outil de décompte des heures travaillées doit être mis à disposition par AKKA aux salariés permettant le paiement et le suivi de leurs heures supplémentaires et ainsi prévenir la surcharge de travail.  

    3ème facteur de risque important : la dévalorisation salariale.

    Des salariés ne sont pas au bon coefficient et/ou ne sont pas cadres malgré la détention d'un diplôme d'ingénieur, ou sont toujours au coefficient 95  (cadre débutant) malgré des années d'ancienneté et d’expériences, ou bien sont au coefficient 130 alors qu'ils ont un rapport hiérarchique vis-à-vis d'autres salariés que mentionne pourtant le coefficient 150, des salaires avec ancienneté en-dessous du marché faute d'augmentations régulières et conséquentes,  créant un fossé avec les nouveaux embauchés, autrement nommés uniquement le temps de l’embauche … les « talents ». Ces incroyables talents mettront moins de deux ans pour fuir AKKA/AKKODIS et sa politique sociale et salariale déplorable. Le turn-over est actuellement de plus de 28% … !

    Des inégalités salariales femmes/hommes cachées par la direction, présentées par les rapports d'expertise Syndex 2022 sur l'année 2021 au niveau de l'UES Akka France et de la filiale Akka High Tech. Ces inégalités ne figurent par dans les états des lieux décrits dans le projet d’accord égalité professionnelle F/H rédigé par la direction et proposé à la signature aux organisations syndicales d'Akka High Tech. La Direction d’AKKA emploie les mêmes artifices de tromperie et de manipulations pour cacher des réalités honteuses. Heureusement, selon le baromètre Ugict-Cgt/Secafi/Viavoice, une forte proportion de cadres se dit prête à se mobiliser pour défendre les salaires et la retraite : y compris par la manifestation ou par la grève. «A l’opposé de la caricature individualiste qui leur est souvent associée, les cadres se disent ainsi prêts à se mobiliser pour défendre leurs droits », souligne Sophie Binet, secrétaire générale de l’Ugict-Cgt. Collectivement, y compris par la grève  pour obtenir une augmentation de salaire (35%). Ils sont encore plus nombreux à s’y déclarer prêts pour défendre leur retraite (42%), motivés par leur opposition à un report de l’âge légal : une majorité (56%) souhaite en effet un rétablissement de l’âge de départ à 60 ans, avec une prise en compte des années d’études, financée par une mise à contribution des dividendes (53%).  Nous vous invitons à lire cette étude. Vous pourrez compter sur la CGT afin d’organiser la mobilisation pour le Bien-Être au Travail, pour obliger l’employeur à veiller à la santé et à la sécurité de ses salariés, pour la revalorisation des salaires et pour l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.

    Rejoignez-nous nombreuses et nombreux lors de nos réunions d’informations du 11 et du 27 octobre…

    « L'avenir n'est pas ce qui va arriver, mais ce que nous allons faire. » (Henri Bergson)

  • La Direction d'AKKA/AKKODIS exclut les représentants des CHSCT/CSSCT du Comité de coordination RPS !

    Communication adressée le 23/09/2022 aux représentants du personnel d'Akka, membres des CHSCT/CSSCT et organisations syndicales,

    Copie :  Inspections du travail

     

    Pourquoi la CGT Akka est absente du comité de coordination RPS créé par la Direction d’Akka ?

     

    Selon la Direction, le premier enjeu du plan d’action RPS et donc de ce comité est de « Fédérer les principaux acteurs autour de la démarche collaborative (coordination des actions et visibilité de la démarche) » (présentation faite le 16/09/2022 aux membres de la commission de suivi de l'accord 2012 sur la prévention des risques psychosociaux et de la Qualité de Vie au Travail).

    Pourtant, cette même Direction n'a pas laissé le choix aux membres du comité de groupe d'Akka pour la constitution de ce comité de coordination RPS : les membres devaient décider de la présence de représentants des organisations syndicales ou de représentants des CHSCT/CSSCT des filiales d'Akka mais pas les deux !

     

    Définition de "fédérer" selon le Larousse : "Rassembler, regrouper autour d'un projet commun : Fédérer les énergies."

    Définition de "fédérer" selon la Direction d'Akka : désunir, réduire, restreindre ("pour éviter d'être trop nombreux" : argumentaire apporté par la Direction le 16/09/2022).

     

    La Direction défend sa définition comme elle peut en prétextant qu'elle ne veut pas d'un comité « à 30 ou 40 personnes », a t’elle déclaré le 16/09/2022. Encore de la manipulation quand nous savons qu'1 représentant CHSCT/CSSCT pour les 6 filiales représente au total : 1 x 6 = 6 personnes, soit un comité de 22 personnes (16 actuellement + 6 = 22). Ni 30, ni 40, ni 200! Non 22...

    Si la Direction ne peut travailler ( = imposer ces décisions unilatérales) avec un comité de 22 personnes, comment peut-elle prétendre travailler avec un futur CSE unique composé de minimum 30 élu.e.s titulaires et 30 élu.e.s suppléants!?!? Nous comprenons mieux ses réticences et ses fautes dans l'organisation des élections professionnelles dans l'UES Akka France attendues par les salarié.e.s et leurs représentant.e.s depuis tant d'années.

     

    Si la Direction avait laissé le choix au comité de groupe d'intégrer des représentants des organisations syndicales ainsi que des CHSCT/CSSCT, il est évident que les membres du comité de groupe auraient opté pour cette option naturelle au vu du sujet très important et urgent que représente la prévention des RPS.

     

    Aujourd’hui, non seulement la Direction d’Akka affirme à tort que le comité de groupe n’existe plus mais aussi elle remet la cause de l'absence de représentants des CHSCT/CSSCT aux membres du comité de groupe qui « a validé cette gouvernance » et refusait encore le 16/09/2022 malgré notre argumentaire de les intégrer et malgré nos interventions en CSE AKKA High Tech.

     

    Deuxième enjeu du plan d’actions RPS :

    « Définir une gouvernance claire et acceptée (instances paritaires et pluridisciplinaires) »

     

    Cette gouvernance n’a pas été acceptée mais imposée par la Direction. Quel employeur pourrait se permettre d’écarter les représentants des CHSCT/CSSCT pour établir un plan d’actions RPS ?!?

     

    Nous réclamons que les membres du comité de groupe, toujours existant, demande l'organisation d'une réunion extraordinaire afin de voter cette option permettant d'intégrer légitimement les représentants des CHSCT/CSSCT à ce comité de coordination, en plus des représentants des organisations syndicales.

     

    Nous demandons que chaque CHSCT/CSSCT désigne un de ses membres pour participer au comité de coordination RPS.

     

    Nous ne donnerons aucune légitimité à ce comité dépourvu des représentants des CHSCT/CSSCT de chacune des filiales du groupe AKKA France.

     

    Mensonges et manipulations sont encore les moyens utilisés par cette direction pour installer le cabinet d'expertise de leur choix, un cabinet qui n'aurait jamais travaillé pour Akka afin d'éviter toutes interprétations ou malversations et discréditer ainsi leurs résultats.

    Malheureusement, nous apprenons ensuite, lors de la commission du 16/09/2022, que le fameux cabinet choisi est actuellement en contrat avec ADECCO depuis plus de deux.

    Plus rien de surprenant quant à ses manœuvres ayant pour objectif de réduire la voix des représentants du personnel.

     

    La CGT Akka intégrera ce comité ayant  notamment pour but de fédérer lorsque les actions seront en adéquation avec la théorie, lorsque les actes seront cohérents avec la vitrine reluisante que tente de se donner la Direction d’Akka,  à commencer par une composition fédératrice de ce comité de coordination.

     

    Les décisions unilatérales et irresponsables de la Direction sur des sujets aussi importants que la santé et la sécurité des salariés vont à l'encontre de nos valeurs fédératrices.

     

    La CGT Akka

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  • AKKA : un rapport d'expertise sur les Risques Psychosociaux alarmant et saisi du Procureur de la République

    Un rapport d'expertise sur les Risques Psychosociaux alarmant

    Lors des réunions extraordinaires des 10 et 17/03/2022 du CSE d'une filiale du groupe AKKA, AKKA High Tech, le cabinet d'expertise APTEIS a déroulé son rapport alarmant sur les risques psychosociaux (RPS) : Télécharger le rapport

    1 salarié sur 2 est en état de stress dont les 2/3 en hyper-stress

    Ce même constat avait été relevé lors d'une expertise RPS du cabinet SECAFI en 2015.

    Les conclusions mettent en évidence la responsabilité de l'employeur.

    Extrait des points relevés par le cabinet d'expertise :

    - Une surreprésentation massive des salariés en situation de forte exposition au stress professionnel 
    (Job Strain)

    - Un Faible soutien social particulièrement problématique (Iso-Strain)

    - Des situations de Job Strain et Iso-Strain qui augmentent avec l’âge

    - Job Strain et Iso-Strain selon l’ancienneté : la soutenabilité des carrières chez AKKA en question

    - Une exposition au stress professionnel particulièrement accrue dans les secteurs de l’aérospatial 
    et de l’automobile

    - L’hypothèse d’une exposition au stress professionnel plus forte chez les salariés en assistance 
    technique

    - L’impact majeur de la charge de travail sur l’exposition au stress professionnel

    - Un mauvais état de santé particulièrement fort chez les salariés en Job Strain.

    - Une irritabilité importante chez les salariés qui dégrade les relations professionnelles

    - Un tiers des salariés en situation de stress quasi-permanente

    - Une perception de situation d’épuisement continu qui touche plus d’un tiers des salariés

    - Un impact négatif des conditions de travail sur la vie privée des salariés d’AKKA

    - Une situation de cumul des impacts négatifs des conditions de travail à AKKA HT sur la santé de 
    ses salariés

    LES PRINCIPAUX FACTEURS D’EXPOSITION AUX RISQUES PSYCHOSOCIAUX

    UNE CHARGE DE TRAVAIL NON MAITRISEE : Une surcharge de travail chronique et ne organisation du travail qui favorise la surcharge.

    UN MANQUE DE SOUTIEN DE LA PART DE L’ORGANISATION : Un accès incertain aux ressources du collectif, un manque de soutien venant du management, des managers empêchés de jouer pleinement leur rôle de soutien et une relation dégradée à l’entreprise dans son ensemble.

    L’INSECURITE FACE AU TRAVAIL ET A L’EMPLOI : Une peur du licenciement entretenue par des pratiques managériales et une faible maîtrise des consultants sur leur parcours

    En réponse aux 20 pages de recommandations (page 117 à 137), la Direction d'AKKA vient de mandater une nouvelle expertise sur les RPS. A croire que les expertises vont s'enchainer tant que la Direction n'aura pas un rapport docile permettant de sous-évaluer l'état physique et mental catastrophique des salariés dans le groupe AKKA et sous-estimer le chantier immense pour prévenir les risques psychosociaux bien en amont (actions primaires).

     

    Le Procureur de la République saisi par la DDETS de la Haute-Garonne

    En attendant, suite à ses mises en demeure de fin décembre 2021 et faute de plan d'actions sur la prévention des Risques Psychosociaux d'AKKA, la DDETS de la Haute-Garonne a saisi le Procureur de la République en juillet 2022.

    La CGT AKKA, ainsi que la Fédérations CGT des Sociétés d'Etudes, se porteront partie civile.

    Pour tout salarié du groupe AKKA, et ex-salarié, désirant en faire de même, concerné par le management toxique et destructeur d'AKKA (licenciement pour refus de mobilité, licenciement pour insuffisance professionnelle, surcharge émotionnelle et physique - burn-out, "mise au placard", incitation au départ, etc., nous les invitons à nous contacter (cgtakka.france@gmail.com) ou de noter le numéro du procès-verbal au greffe du tribunal : 22 214 0000 60, nécessaire pour toute démarche.

    Des réunions d'information seront organisées avec notre conseil juridique devant les sites d'AKKA.

    Abonnez-vous à notre lettre de diffusion pour être informés et nous rejoindre afin d'imposer par le droit et la mobilisation des organisations et des conditions de travail bienveillantes et exiger la réparation de tous les préjudices causés !

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  • CGT AKKA : FLASH CSE CGT AKKA de MAI 2022

    Télécharger le Flash CSE CGT Akka de MAI 2022

     

    Ce nouveau bulletin de la CGT Akka aborde les points suivants :

    - NAO : non-augmentations 2022 chez Akka

    - Négociations Annuelles Obligatoires (NAO) : Akka refuse la négociation et passe en force pour favoriser les inégalités et la dévalorisation !

    - L'AKKAsse sociale ... la rentabilité à outrance au mépris de la santé des salariés

    - La fusion Akka - Modis : l'union fait la force pour les salariés !

    - Les Akkariens : un nouveau mutant signalé !

     

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    Télécharger le Flash CSE CGT Akka de MAI 2022