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  • POUR GAGNER LE RETRAIT : PARTOUT, DÉTERMINÉ·ES POUR UN 1er MAI MASSIF, UNITAIRE ET POPULAIRE !

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    Télécharger le tract pour la mobilisation du 1er mai

     

    Depuis plus de 3 mois, la mobilisation de millions de grévistes et de manifestant·e·s a mis en minorité le gouvernement et le président Macron. La très grande majorité de la population soutient l’action de l’intersyndicale contre le recul de l’âge de départ à la retraite pour toutes et tous.

    En s’obstinant, le président de la République et son gouvernement ne prennent pas la mesure des attentes des travailleuses et des travailleurs et ne répondent pas aux enjeux industriels et de développement des services publics. Pire, ils sont responsables de la crise sociale et environnementale qu’ils ne cessent d’aggraver.

    En participant massivement aux manifestations du 1er Mai, salariés, jeunes, retraités, privés d’emploi, famille, amis, voisins, collègues de travail, nous montrerons notre refus du passage en force de cette réforme qui nous impose un recul social sans précédent. Nous exprimerons notre colère en affirmant que « pour nous, 64 ans c’est toujours non ! ». Avec cette lutte, nous donnerons de l’espoir pour gagner sur les retraites, mais aussi pour augmenter nos salaires et nos pensions.

    L’URGENCE, C’EST D’AUGMENTER LES SALAIRES, PAS DE RECULER L’ÂGE DE DÉPART À LA RETRAITE !

    Ce 1er Mai est une journée de solidarité internationale pour la paix entre les peuples. À Paris des dirigeants syndicaux du monde entier seront présents pour montrer leur solidarité avec notre mobilisation.
    Le 1er Mai nous manifesterons aussi pour dire notre refus des idées d’extrême droite, du racisme et pour résister à celles et ceux qui distillent le poison de la division.
    Notre force c’est notre nombre : participons nombreuses et nombreux à ce 1er Mai exceptionnel pour maintenir la pression sur le gouvernement et le patronat afin que la loi ne soit pas appliquée !
    Pour gagner dans les semaines et les mois qui viennent, nous invitons tous les salarié·es et privé·es d’emploi, quel que soit leur métier, jeunes ou retraité·es, à se syndiquer pour ne plus être isolé·e, pour s’organiser collectivement dans leur entreprise, leur service et leur territoire.

  • Risques Psychosociaux : AKKA High Tech, filiale d'AKKODIS, condamnée par le Tribunal Judiciaire de Nanterre

    Le Syndicat CGT AKKA, représenté par Maître Fiodor RILOV, obtient devant le Tribunal Judiciaire de Nanterre le 12/04/2023 la condamnation de la société AKKA High Tech, filiale d'AKKODIS et d'ADECCO :
    «… Le juge des référés, statuant par ordonnance contradictoire, publiquement et en premier ressort :
     ENJOINT à la société Akka High Tech, dans le délai de quatre mois à compter de la signification de la présente ordonnance
      et sous astreinte de cinq cent euros par jour de retard, à procéder à adopter un plan de prévention
      des risques psycho-sociaux auxquels sont spécifiquement exposés les salariés. »

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    Télécharger le jugement du TJ de Nanterre

    Ceci n'est pas le fruit du hasard, ni d'une coïncidence si la CGT Akka a obtenu cette condamnation.
     

    LA CGT AKKA par

    - Les salarié.e.s

    - Les élu.e.s et la représentativité en découlant

    - Les salarié.e.s syndiqué.e.s

    - Ses représentant.e.s sur désignation des syndiqué.e.s :

    - Son secrétaire général

    - Ses délégué.e.s syndicaux/ales

    - Son représentant syndical au CSE UES AKKA FRANCE,

    - Ses camarades de la CGT Modis (Modis, filiale d'AKKODIS et d'ADECCO)

    Ensemble nous menons une quête pour la représentation de tous les salarié.e.s.

     

    Mais nous veillons également aux devoirs de l’employeur AKKODIS,
    notamment en terme de santé physique et mentale.

    Notre force c’est vous, c’est nous, ensemble.

    Conditions de travail, temps de travail, salaire, égalité F/H, équilibre travail/vie privée, retraite, …
     sont nos pulsations communes faisant battre le cœur de nos revendications partagées.

     
    Il est en réalité les effets d'une pugnacité inébranlable, née et exacerbée de salarié.e.s fragilisé.e.s et éprouvé.e.s par l'organisation de travail.
     
    Nous rappelons cet article du 17/10/2022, 4 jours avant le suicide d'un collègue de la société EKIS, autre filiale d'AKKODIS et filiale d'ADECCO.
     

    « Je ne veux pas y laisser ma peau » : Akka Technologies, machine à broyer les salariés?

     

    Et l'article de ce jour dans Le Monde :

    Extrait 1:

    Chez Akkodis, un dialogue social impossible sur fond de stress au travail 
    Le groupe d’ingénierie, anciennement appelé Akka Technologies, a été condamné par la 
    justice à mettre en œuvre un plan de prévention des risques psychosociaux. 

    Obtenir une juste représentation des salariés, cela fait dix ans que Marc Vicens mène le 
    combat devant les tribunaux. Malgré ses 6 000 salariés et 500 millions d’euros de chiffre 
    d’affaires en France, son employeur, Akka Technologies, devenu Akkodis en octobre 2022 
    depuis son rachat par Adecco, n’a jamais eu d’instance représentant l’unité économique et 
    sociale (UES) du groupe d’ingénierie, prestataire notamment d’Airbus. « Malgré les victoires 
    devant les tribunaux et les demandes de l’inspection du travail, il y avait une volonté 
    délibérée de l’ancienne direction de ne pas avoir d’instance au niveau du groupe », explique 
    Christophe Eychenne, l’avocat de Force ouvrière (FO)."

     

    Extrait 2 :

    « L’Akkasse sociale » 
    Regrettant « l’intérimisation de notre métier » et « “l’Akkasse sociale” » à laquelle cela conduit, Franck Laborderie, délégué CGT, réclame la mise en œuvre d’un « plan de prévention des risques psychosociaux sérieux et effectif ». La décision du tribunal judiciaire de Nanterre, qui a condamné le 12 avril la filiale Akka High Tech d’adopter, dans un délai de quatre mois, « un plan de prévention des risques psychosociaux auxquels sont spécifiquement exposés les salariés », va dans le sens de sa demande."

     

    Lire l'article d'Olivier Pinaud : 

    https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/04/21/chez-akkodis-un-dialogue-social-impossible-sur-fond-de-stress-au-travail_6170473_3234.html

     

     

  • Après 2 ans sans négociations salariales obligatoires, la CGT AKKA passe à l'offensive!

    Lettre ouverte à l’attention de la Direction d’AKKA:

    L’organisation syndicale CGT AKKA vous demande par la présente une demande d’ouverture sur le périmètre de l’UES de Négociations Annuelles Obligatoires (NAO) pour l’année 2022 et l’année 2023.

    Comme vous le savez, la loi impose aux entreprises de négocier chaque année avec les organisations syndicales sur les salaires, le temps de travail et l’égalité professionnelle. Ces négociations ont pour but de trouver un accord sur ces sujets afin de garantir une meilleure répartition de la valeur ajoutée de l’entreprise et de renforcer la cohésion sociale au sein de celle-ci.

    Nous souhaitons donc que ces négociations soient engagées dans les meilleurs délais, afin que tous les salariés de l’UES AKKA France puissent bénéficier rapidement des éventuelles avancées qui en découleront.

    Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire et pour convenir d’une date pour l’ouverture de ces négociations.

    Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.

    La CGT AKKA

    En copie par mail: l’inspection du travail de Lyon

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  • Il est temps que le gouvernement nous entende !

    Près de 2 millions de personnes, soutenues par 93% de la population, se sont de nouveau exprimées ce jeudi 6 avril en grève et dans la rue, pour dire non à la retraite à 64 ans. Prochaine journée de mobilisation le jeudi 13 avril 2023 à la veille des décisions du conseil constitutionnel.

     

    Les mots de la première Ministre Elisabeth Borne qui a reçu l'intersyndicale le 5 avril n’ont fait que renforcer la détermination des salariés, jeunes, privés d’emploi et retraités qui sont mobilisés depuis le 19 janvier.

    Il est temps que le gouvernement les entende.

    Rester sourd, rend ce gouvernement irresponsable, qui plus est quand dans l’unité, les organisations syndicales, ensemble, réaffirment leur exigence de retrait de cette réforme qui s’appuie sur une mobilisation toujours massive du monde du travail après la 11e journée de mobilisation en 3 mois.

    Des taux de grèves encore importants dans de nombreux secteurs, notamment chez EDF avec 30 % de grévistes.

    À ce titre, la CGT salue la décision du tribunal administratif de Rouen estimant que l'arrêté de réquisition à l’encontre des grévistes de la raffinerie Total Energies de Gonfreville- L'Orcher, en Seine-Maritime a porté une atteinte grave et manifestement illégale au droit de grève, et ordonné en référé la suspension des réquisitions.

    La CGT continuera de tout mettre en œuvre pour faire cesser la répression syndicale

    Dans les semaines à venir, la CGT continuera à exiger le retrait pur et simple de la réforme pour les milliers de salariés, jeunes, privés d’emploi qui croient à la victoire . Elle en appelle à la responsabilité du Conseil Constitutionnel, qui doit être attentif à la juste colère des travailleurs et travailleuses.

    Nous appelons le monde du travail à se mobiliser, partout dans les services et les entreprises, par des appels à la grève décidés en AG et à se mettre en grève et en manifestation le jeudi 13 avril 2023 à l’appel de l’intersyndicale et de poursuivre par des initiatives le 14 avril alors que le conseil constitutionnel rendra ses décisions concernant la réforme des retraites, et ce jusqu’au retrait.